<
 
 
 
 
×
>
Vous consultez une page Web conservée, recueillie par Bibliothèque et Archives Canada le 2006-10-29 à 13:37:20. Il se peut que les informations sur cette page Web soient obsolètes, et que les liens hypertextes externes, les formulaires web, les boîtes de recherche et les éléments technologiques dynamiques ne fonctionnent pas. Pour toutes les demandes ou pour recevoir du soutien, envoyez un courriel à archivesweb-webarchives@bac-lac.gc.ca. Voir toutes les versions de cette page conservée.
Chargement des informations sur les médias

You are viewing a preserved web page, collected by Library and Archives Canada on 2006-10-29 at 13:37:20. The information on this web page may be out of date and external links, forms, search boxes and dynamic technology elements may not function. For all requests or for support, email archivesweb-webarchives@bac-lac.gc.ca. See all versions of this preserved page.
Loading media information
X
Renseignements généraux
Activités et festivités
Programmes scolaires
Visite du Musée
Expositions
Collection et recherche
Pleine participation
Magasinage en ligne
Communiqués de presse
La Société
AccueilEnglishContactez-nousPlan du siteRechercheLiens
Musée de l'agriculture du Canada
Collection et recherche
>Les tracteurs - D'homme et de bête de somme

Dans la collection

Les tracteurs

D’homme et de bête de somme

Traditionnellement, les fermiers ne comptaient que sur leurs chevaux de trait et sur eux-mêmes pour mener à bien des activités saisonnières comme les semailles, le travail du sol et la moisson. Les éleveurs sélectionnaient les chevaux de manière à reproduire les qualités qui amélioraient la fonction de l’animal en tant que source de puissance. Mais les chevaux avaient leurs limites. Il fallait les loger, les soigner et les nourrir, qu’ils travaillent ou pas. Une partie des terres devait être consacrée à la culture du fourrage et, quand le fermier avait à en cultiver une plus grande superficie, il était forcé d’augmenter le nombre de bêtes et d’embaucher d’autres ouvriers pour les soigner.

Malgré leur taille et leur force, les chevaux n’étaient pas faits pour les tâches exigeant une grande force de traction, comme le défrichage, ou une grande puissance à la courroie, comme le fonctionnement des batteuses. À la fin des années 1800, les fermiers ont commencé à se servir de machines de traction à vapeur pour accomplir ces tâches, mais ce genre de force motrice avait aussi ses inconvénients. On devait garder une réserve de combustible, comme le bois ou le charbon, pas trop loin du moteur et être qualifié pour faire fonctionner la machine.

Trois attelages de chevaux tirant chacun une charrue à siège, en Alberta, vers 1900
Trois attelages de chevaux tirant chacun une charrue à siège, en Alberta, vers 1900 (Collection MSTC/AAC)

PrécédentTable des matièresSuivant

© 2006 Musée de l'agriculture du Canada