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L'esprit olympique

Selon Pierre de Coubertin, « l'olympisme est un état d'esprit ». Les fondements de l'esprit olympique sont bien exprimés par la devise « Citius–Altius–Fortius » qui signifie « plus vite – plus haut – plus fort ». Élaborée en 1894 par le prêtre dominicain Henri Didon, cette devise traduit « une manière de vivre ». L'esprit olympique est un esprit d'amitié, de loyauté, de paix, mais aussi de féroce compétition.

Étant donné que peu d'athlètes se qualifient pour les Jeux olympiques, le seul fait d'y participer importe davantage pour la plupart des concurrents. Avoir le privilège de représenter sa nation, de se mesurer aux meilleurs athlètes du monde, d'aller au maximum de ses capacités, voilà l'esprit des Jeux olympiques.

Le privilège de représenter sa nation...

Pierre de Coubertin déclarait au début du XXe siècle : « [...] l'important dans ces olympiades, c'est moins d'y gagner que d'y prendre part. [...] L'important dans la vie, ce n'est point le triomphe mais le combat; l'essentiel, ce n'est pas d'avoir vaincu mais de s'être bien battu. » (Revue Olympique, juillet 1908, p. 110. Extrait d'un discours prononcé lors des Jeux olympiques de Londres en 1908). Cet esprit olympique demeure le même aujourd'hui. Ainsi, l'athlète canadienne Perdita Felicien, qui a participé aux Jeux de Sydney en 2000, témoignait que, malgré son élimination au premier tour des qualifications dans la compétition des 100 mètres haies, ses 13,21 secondes de course valaient bien l'épuisant vol de 30 heures qu'elle a dû faire pour se rendre aux Jeux olympiques.

Les Jeux olympiques tendent à faire ressortir ce qu'il y a de meilleur en chacun. L'esprit olympique suggère une ligne de conduite que tous les concurrents visent à suivre. Il contribue à créer une famille olympique mondiale.

Ressources complémentaires