<
 
 
 
 
×
>
Vous consultez une page Web conservée, recueillie par Bibliothèque et Archives Canada le 2007-05-15 à 23:04:28. Il se peut que les informations sur cette page Web soient obsolètes, et que les liens hypertextes externes, les formulaires web, les boîtes de recherche et les éléments technologiques dynamiques ne fonctionnent pas. Voir toutes les versions de cette page conservée.
Chargement des informations sur les médias

You are viewing a preserved web page, collected by Library and Archives Canada on 2007-05-15 at 23:04:28. The information on this web page may be out of date and external links, forms, search boxes and dynamic technology elements may not function. See all versions of this preserved page.
Loading media information
X
Sauter les liens de navigation (touche d'accès : Z)Bibliothèque et Archives Canada / Library and Archives Canada
Élément graphique EnglishContactez-nousAideRechercheSite du Canada
AccueilÀ notre sujetQuoi de neuf?À l'affichePublications

Bannière : Le Fonds d'archives Glenn Gould Élément graphiqueRessources
Élément graphiqueConsulter les collections
IntroductionÀ propos de site
À propos de GouldCommentaires
AudioDroits d'auteur/Sources

Fin de carrière : Œuvres


Au milieu des années 1960, Gould comptait désormais parmi les pianistes qui, de leur vivant, font le plus parler d'eux. « Ses idées provocantes sur la musique, renforcées par une intégrité sans faille quant au but à atteindre et par une compréhension érudite et profonde des mécanismes d'une pièce, font de lui l'avocat du diable ou l'enfant terrible de la musique selon le point de vue où l'on se place7. »

Deux œuvres d'envergure caractérisent la maturité de Gould: le Quatuor à cordes, op. 1 (il n'y a pas « d'opus 2 ») et la pièce légère So You Want to Write a Fugue, écrite pour The Anatomy of the Fugue, émission de télévision de la CBC présentée dans le cadre du programme Festival, le 4 mars 1963. Il s'agit d'une pièce d'une « érudition » considérable.

Il exerçait également sa créativité en composant des cadences. Ses Cadences pour le concerto no 1 en do majeur pour piano et orchestre, op. 15, de Beethoven constituent presque une composition originale. Il a effectué également des transcriptions d'œuvres de Wagner, de Ravel, de Richard Strauss et d'autres compositeurs.


 

 

Précédent | Suivant