Si le circuit amateur canadien n'a eu droit à son magazine de photographie que relativement tard (au début des années 1930), les photographes amateurs qui prenaient leur art au sérieux appartenaient à une culture florissante axée sur les salons d'art. En outre, ceux qui prenaient des photos simplement pour leur propre plaisir s'inspiraient souvent de l'esthétique de la nature et du cadre bâti qui les entouraient.