« J'ai vécu l'histoire, j'ai fait l'histoire et je sais que j'aurai ma place dans l'histoire. Ce n'est pas de l'égoïsme. » - Diefenbaker, 1973 Seuls deux premiers ministres canadiens sont décédés en fonction (Macdonald et Thompson). Les autres ont pris leur retraite ou ont été battus aux élections. Bien des premiers ministres ont servi pendant un moment comme chefs de l'opposition, et quelques-uns ont même réussi à reprendre leur fonction de premier ministre; cependant, vient finalement le temps où nos dirigeants doivent lâcher les rênes du pouvoir. Lorsqu'ils ne sont plus au pouvoir, les premiers ministres restent au Parlement ou retournent à la vie privée. Ce n'est qu'à ce point, lorsqu'ils se retirent de la scène publique, que nous pouvons commencer à évaluer leurs réalisations et leurs échecs. Ce processus est suivi, plus tard, par des commémorations à la fois dans l'art des lieux publics et dans la culture populaire. Le désir de commémorer des politiciens qui ont fait auparavant l'objet de critiques, sinon d'hostilité, provient d'une reconnaissance parfois réticente de leur contribution au Canada. La vie après le pouvoirDécès
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