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Musée des Sciences et de la Technologie du Canada
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Histoires 



En quête du sublime : le parc Algonquin et l’origine du tourisme en milieu sauvage au Canada

À la fin du dix-neuvième siècle, l’industrialisation rapide et l’augmentation de l’immigration modifièrent de façon marquante la vie au Canada. Les villes devinrent le berceau de grandes tensions et de contradictions criantes, et la classe moyenne urbaine en expansion se tourna alors vers les activités récréatives de plein air. Créé en 1893, le parc Algonquin devint la retraite idéale. Le chemin de fer fit de cette incarnation du sublime un lieu accessible. Outre les nombreux visiteurs, un nombre restreint d’individus aux objectifs clairs et aux vues scientifiques, esthétiques, religieuses, pédagogiques et féministes tranchées se mirent à fréquenter le parc : les chercheurs. Parmi eux, on compte John Macoun, Tom Thomson, Henry Burton Sharman et Fannie L. Case. Avec les années, un nombre croissant de touristes se mirent à visiter les parcs, dont le parc Algonquin, participant du coup à ce qui est considéré comme l’expérience canadienne par excellence.


Enfants invités

L’histoire a été écrite pour discuter du « Canada en guerre » et de la vie au Canada pendant la Deuxième Guerre mondiale. Racontée à travers les yeux de deux personnages fictifs, des écoliers anglais envoyés aux Canada pour échapper au « blitz » allemand de 1940, l’histoire les suit tout au long de leur périple en train pour traverser le Canada à partir de leur point d’entrée au pays, à Halifax, en Nouvelle-Écosse, jusqu’à leur destination finale à Vancouver, en Colombie-Britannique. Les sujets abordés incluent entres autres : Le Canada en guerre, le système des convois dans l’Atlantique, l’effort de guerre du Canada, l’essor des femmes sur le marché du travail, le rationnement en temps de guerre et le Programme d’entraînement aérien du Commonwealth britannique.


Chère Ellie : Lettres de l’OuestLogo Flash

Ce compte rendu fictif d’un voyage à travers les provinces des Prairies en 1937 met en relief l’industrie touristique croissante dans cette région dans les années 1930. On y raconte le développement des parcs nationaux de Jasper et de Banff et l’aménagement d’une série d’hôtels et de centres de villégiature luxueux pour attirer de nouveaux touristes et leur faire découvrir les merveilles naturelles des Prairies et des Rocheuses. Le compte rendu effleure aussi les problèmes de l’époque — la grande crise et la famine dans les Prairies — et illustre leur impact sur le Canada et les Canadiens à cette époque.


Messageries CN et camions de marchandises

L’exploitation réussie d’un chemin de fer n’est pas toujours seulement une question de locomotives et de trains. Ce texte montre combien le transport routier était important pour le CN dans les années 1940 jusqu’aux années 1970. À cette époque, le transport routier faisait partie de ses activités globales d’exploitation pour assurer la livraison rapide de marchandises porte-à-porte, avant et après leur expédition par chemin de fer.


Un voyage en train à travers la vallée de l’Outaouais

Dans le passé, les chemins de fer ont joué un rôle de premier plan dans le développement du Canada en général, et de la vallée de l’Outaouais en particulier, mais leur importance s’est estompée depuis longtemps. Ce texte nous fait faire un voyage imaginaire à travers la vallée de l’Outaouais et met en relief le rôle que les chemins de fer ont joué autrefois dans le développement de cette région, tout en nous montrant ce qui a changé ou disparu du paysage local depuis l’époque où « le chemin de fer était roi ».


Le Central Vermont Railway

Situé principalement dans l’état américain du Vermont, chose bizarre, ce chemin de fer a été exploité pendant plus de soixante-dix ans par le gouvernement du Canada, dans le cadre du système des Chemins de fer nationaux du Canada, qui lui appartenaient. Ce texte, qui explique comment ce chemin de fer est devenu la propriété du CN, fait aussi l’historique de son exploitation et décrit sa signification unique dans le développement du Canada et de nos relations économiques et sociales avec les États-Unis.


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