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Le Parlement du Canada vu de l'intérieur
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  Accueil
  Préface
  Introduction
  Les fondements de notre régime
  Les institutions
  À l'oeuvre
  Le maintien des traditions
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À l'oeuvre


Ils représentent …
Les rôles clés au Parlement
« Comment un projet de loi devient loi »
Ils légifèrent ...
Ils font enquête ...
Ils surveillent ...

Les parlementaires, qu’ils soient sénateurs ou députés, ont de nombreux rôles à remplir.  Non seulement ils représentent les électeurs et servent loyalement leur parti, mais ils sont médiateurs, législateurs, et ils surveillent les actes du gouvernement et de l’administration.

La journée normale d’un parlementaire pourrait se résumer ainsi : rencontrer des journalistes, le public, des collègues; trouver le temps de répondre à une foule de lettres et d’appels; préparer ses interventions à la Chambre; examiner des documents pour les travaux des comités.  Le parlementaire est appelé à emprunter le circuit habituel, qui va du Sénat ou de la Chambre des communes aux salles de caucus et de comité en passant par son bureau du Parlement ou de circonscription.  Pour la plupart, ce sont de longues heures de travail.

Une des « constantes » du travail de parlementaire, que ce soit au Sénat ou à la Chambre, en caucus ou en comité, est l’étude et la discussion rigoureuse des questions dont ils sont saisis.  C’est là une garantie certaine que les grands enjeux feront l’objet d’un examen approfondi et qu’ils seront portés à l’attention du public.

Ils représentent …

Les parlementaires mettent en application le principe du gouvernement représentatif en écoutant les opinions de leurs concitoyens, en se faisant leurs intermédiaires, ainsi qu’en défendant des positions et en lançant des initiatives.  La plupart des parlementaires appartiennent à un parti, de sorte qu’ils doivent en appuyer les politiques et participer à ses activités.

Au Sénat : Représentants nommés, les sénateurs exercent leurs fonctions dans leur division sénatoriale d’une autre manière que les députés dans leur circonscription.  Aux termes de la loi, ils doivent résider dans la province ou le territoire d’où ils sont nommés.  Il est présumé qu’ils s’intéresseront aux incidences régionales des mesures législatives et des politiques.  Certains se donnent aussi des clientèles non officielles, accordant leur attention à des groupes ou à des régions dont les droits et les intérêts sont souvent négligés.  Les jeunes, les pauvres, les aînés, les anciens combattants, voilà autant de groupes qui ont profité de la tribune publique que constituent les travaux du Sénat.

À la Chambre des communes : À titre de représentants élus, il est entendu que les députés veilleront à défendre les intérêts de leurs électeurs dans l’accomplissement de leur mandat.  Ils jouent aussi un rôle de médiateurs — ils répondent aux lettres et aux appels des électeurs, qui ont des préoccupations à porter à l’attention de ministères ou d’organismes gouvernementaux.  Cela peut être plutôt vaste, et porter sur des sujets comme l’assurance-emploi, des cas d’assistance sociale, des questions de pensions, des problèmes d’immigration, des enjeux liés à l’agriculture ou au commerce.  Les députés assistent à une multitude de réceptions et de cérémonies officielles, tant dans leur circonscription qu’ailleurs au pays.  Pour mieux répondre aux besoins de leurs électeurs, les députés ont un bureau à la fois dans leur circonscription et à Ottawa.

Les rôles clés au Parlement

Le président du Sénat est nommé sur la recommandation du premier ministre pour présider les débats du Sénat, veiller au déroulement ordonné des travaux et rendre des décisions sur toute question de procédure, qui peuvent faire l’objet d’un appel devant l’ensemble du Sénat.  Le fauteuil du président est installé sur une plate-forme surélevée, devant les deux trônes réservés à la Souveraine ou à la gouverneure générale et son conjoint.

Le président de la Chambre des communes est élu par ses pairs, au scrutin secret, pour agir comme porte-parole des Communes.  Il préside les travaux de la Chambre et il veille au respect de toutes les règles et procédures.  Comme il s’agit d’un poste non partisan, le président prend part au débat et au vote seulement pour rompre l’égalité.  Ses décisions sont sans appel, et ne peuvent être contestées. En tant que président du Bureau de régie interne, il supervise l’administration de la Chambre des communes.

Le greffier du Sénat et greffier des Parlements, nommé par le gouverneur en conseil, est le dirigeant principal du Sénat et le grand responsable de ses activités quotidiennes.  En séance, il est responsable de divers aspects du processus législatif, comme l’assermentation des nouveaux sénateurs, ou encore de donner des avis au président sur la procédure parlementaire ou l’interprétation du Règlement.  Comme greffier des Parlements, il a la garde de l’original de toutes les lois et il en authentifie les copies conformes.

Le greffier de la Chambre des communes, nommé par le gouverneur en conseil à titre de dirigeant principal de la Chambre, joue le rôle de secrétaire du Bureau de régie interne.  Il conseille le président et les députés en matière de procédure et d’usages parlementaires et tient le compte rendu officiel des délibérations.

L’huissier du bâton noir fait fonction de messager royal, convoquant la Chambre des communes à venir entendre le discours du Trône, lequel inaugure une nouvelle législature ou session, ou à venir assister à la cérémonie de sanction royale, dernière étape pour qu’un projet de loi devienne loi.  Le titre du poste vient du bâton d’ébène que porte l’huissier — c’est le symbole de sa charge — et qui lui sert pour frapper aux portes, notamment à celles de la Chambre des communes.

Le sergent d’armes est chargé de la sécurité à la Chambre des communes, conformément aux directives du président.  Il porte la masse, symbole de l’autorité de la Chambre, lors du défilé quotidien du président à la Chambre, ou lorsqu’il doit se rendre au Sénat.

Dans l’ombre : En plus de fournir un appui sur le plan financier et administratif, le personnel de l’administration fait en sorte que les parlementaires communiquent efficacement, tant dans l’enceinte parlementaire qu’avec leurs bureaux de circonscription ou les divers groupes d’intérêts.  Le personnel recherche et applique des solutions technologiques, comme Internet et le courrier électronique, et assure la formation des usagers pour qu’ils puissent se servir des nouveaux systèmes.  Le personnel a mis en place des moyens de contrôle qui aident les parlementaires à suivre l’utilisation de leurs budgets et à repérer des occasions d’économies, par exemple dans les frais de déplacement ou la gestion du matériel.

Coup d’œil sur le bureau de circonscription

Lorsqu’ils n’assistent pas aux séances de la Chambre ou des comités, les députés doivent trouver le temps de faire leur travail de circonscription.  Si chaque circonscription a son caractère propre, et chaque député, son style et sa vision des choses, les tâches sur le terrain sont nombreuses : participer à des activités et des cérémonies, garder le contact avec les personnalités locales et les journalistes, rencontrer leurs électeurs ou d’autres personnes, faire des démarches pour les électeurs, veiller à ce que l’information se rende dans la circonscription, et ainsi de suite.


« Comment un projet de loi devient loi »

Le processus législatif en bref

1 - Adoption par la première Chambre
(parfois le Sénat, d’habitude la Chambre des communes)

Le processus dans chaque Chambre est assez semblable :

  • Première lecture (le projet de loi est reçu, imprimé et diffusé)
  • Deuxième lecture (débat sur le principe du projet de loi : est-ce une bonne mesure?)
  • Étape du comité
Première étape : Ministres, fonctionnaires, spécialistes et membres du public témoignent devant le comité*
Deuxième étape : Les membres du comité font l’étude détaillée du projet de loi
Troisième étape : Le comité adopte un rapport sur le projet de loi, recommandant qu’il soit adopté tel quel ou avec des amendements, ou encore qu’il n’y soit pas donné suite
  • Étape du rapport (à la Chambre des communes, les motions tendant à amender des dispositions du projet de loi sont étudiées par l’ensemble de la Chambre, alors qu’au Sénat c’est le rapport du comité qui est étudié, auquel des amendements peuvent être proposés)
  • Troisième lecture (adoption définitive du projet de loi; au Sénat, d’autres amendements peuvent être proposés à cette étape)

2 - Adoption par la seconde Chambre

3 - Sanction royale par la gouverneure générale : le projet de loi devient loi

* NOTA :
Normalement, le projet de loi est renvoyé au comité après la deuxième lecture, mais une réforme récente permet d’en saisir le comité avant l’adoption en deuxième lecture.

Ils légifèrent …

Par un examen détaillé des mesures législatives, les sénateurs et les députés apportent leurs idées et leur énergie à l’élaboration des lois du Canada.  De fait, la majeure partie des débats en séance et des travaux des comités portent sur des initiatives législatives.  Forts des vues de leurs électeurs ou d’autres intéressés, des recherches approfondies qu’ils mènent, des consultations avec leur caucus, et de leurs propres convictions, les parlementaires participent à un processus continu d’écoute, de débat et de révision de la législation du gouvernement, ainsi que des mesures législatives spécifiques dont ils sont saisis.  Comme le montre « Comment un projet de loi devient loi », chaque projet de loi doit être adopté dans les mêmes termes à la fois par le Sénat et les Communes, avant de recevoir la sanction royale et devenir loi.

Le pouvoir de l’argent

Chaque année, le ministre des Finances livre un exposé dans lequel il précise les intentions budgétaires du gouvernement.  Cet « exposé budgétaire » énonce les grands plans et projets du gouvernement pour l’année à venir, précisant les sommes nécessaires pour financer ces activités et les moyens pour en assurer le financement.  Pour percevoir les sommes necéssaires, le ministre des Finances présente des « motions de voies et moyens », pour obtenir l’autorisation de présenter un projet de loi d’imposition.  L’expression « travaux de crédits » désigne le processus qui consiste à estimer les dépenses, à examiner et débattre les prévisions et à autoriser les dépenses.  L’ensemble des dépenses proposées par le gouvernement (le Budget principal des dépenses) est examiné en comité et débattu à la Chambre des communes et au Sénat.  Un projet de loi correspondant aux prévisions budgétaires — le projet de loi portant affectation de crédits — est toujours étudié d’abord à la Chambre des communes, puis au Sénat, avant de recevoir la sanction royale.  Le Règlement prévoit aussi d’autres occasions pour discuter et débattre de questions relatives aux dépenses.

À la Chambre des communes : De façon générale, le gouvernement a la maîtrise du programme législatif, sauf les jours réservés à l’opposition, le Cabinet étant chargé d’approuver les propositions législatives avant leur dépôt aux Communes.  Les spécialistes du ministère de la Justice se chargent de la rédaction du projet de loi, d’après les instructions reçues.  Le projet de loi est ensuite soumis à l’ensemble des Communes et au comité compétent, qui l’examinent et en débattent.  La discipline de parti est généralement appliquée fermement aux Communes.  Le parti ministériel s’attend à ce que ses membres appuient les mesures qu’il présente, tandis que les partis d’opposition s’entendent habituellement pour attaquer les propositions du gouvernement.

Coup d’œil sur le caucus

Le mercredi matin, lorsque le Parlement siège, les sénateurs et les députés se rencontrent à huis clos au sein du caucus national de leur parti.  Ils y font connaître les vues de leurs électeurs, établissent la stratégie parlementaire et définissent la politique du parti.  C’est également là, loin des caméras, des journalistes et d’une opposition partisane, que les parlementaires peuvent s’écarter de la « ligne du parti », se dissocier de leurs collègues ou contester leurs actions.  C’est aussi l’occasion pour eux de travailler avec le caucus régional du parti, et de profiter des services du bureau de recherche du parti.

(Le mot « caucus » viendrait de l’algonquin cau’-cau-as’u, qui veut dire « conseiller ».)

Au Sénat :  Avant de devenir lois, tous les projets de loi doivent être étudiés au Sénat, où ils suivent une procédure semblable à celle des Communes.  Le Sénat se distingue par un échéancier plus souple et des règles moins rigides que les Communes quant à la « ligne de parti ».  Les sénateurs peuvent engager de longs débats, menés librement, en mettant à profit leurs vastes compétences et antécédents pour examiner à fond le projet de loi, et y apportent souvent des amendements de fond ou de clarification.  À l’exception des mesures financières, le Sénat peut aussi présenter des projets de loi.  Et bien qu’il ait le pouvoir de rejeter les projets de loi des Communes, il l’utilise rarement.

Dans l’ombre : Les administrations du Sénat et des Communes assurent toute une gamme de services à l’appui du processus législatif.  Les légistes et spécialistes de la procédure examinent et révisent les avant-projets de loi.  Et des spécialistes de la Bibliothèque du Parlement font des recherches et donnent des conseils sur les aspects politiques des mesures législatives, en plus de rédiger des analyses et des documents d’information sur les projets de loi du gouvernement.  Le personnel administratif s’emploie à trouver des moyens de réduire l’utilisation du papier et d’accroître l’efficacité — par la distribution des avis et documents des comités par courrier électronique, l’établissement de liaisons électroniques entre les deux Chambres et le Bureau de la traduction, l’enregistrement audionumérique à la Chambre et en comité, et la diffusion électronique des documents.  Les agents de sécurité du Sénat et des Communes assurent la sécurité des parlementaires et de leur personnel, ainsi que de leurs visiteurs; à partir de leur poste, ils peuvent consulter les données sur les employés et les visiteurs, à qui ils remettent au besoin des laissez-passer temporaires.

Ils font enquête ...

Un élément essentiel du travail des parlementaires est l’étude des problèmes, des politiques et des programmes.  Une grande partie de ce travail se fait en comité, où les sénateurs et les députés peuvent faire un examen beaucoup plus approfondi qu’en séance au Sénat ou aux Communes.

Au Sénat : Outre leur travail au sein des comités législatifs, les sénateurs mènent de vastes travaux de recherche et d’enquête.  Les sénateurs ont des antécédents et des intérêts aussi divers, on ne s’étonne pas de voir dans leurs rangs des gens d’affaires, des juristes, des enseignants, des chirurgiens, des dirigeants autochtones, des journalistes, ainsi que des spécialistes de questions comme l’environnement, l’industrie manufacturière, l’économie et, bien entendu, la politique.  Le long mandat des sénateurs (jusqu’à 75 ans) leur permet d’acquérir de solides compétences dans les domaines qui les intéressent.

Tout sénateur peut soulever une question et en proposer le débat — ce qui peut aboutir parfois à un « ordre de renvoi » ou même à la création d’un comité sénatorial.  Les sénateurs peuvent ainsi entreprendre des études sur des enjeux sociaux et économiques, qui ne sont peut-être pas prévus dans le programme législatif du gouvernement.  Dans l’ensemble, les comités du Sénat sont plus affranchis de la ligne partisane que ceux des Communes et s’efforcent d’accorder plus de temps à l’étude exhaustive d’enjeux importants.

À la Chambre des communes : Dans leur travail en comité, les députés entendent des individus et des groupes donner leur avis sur les mesures législatives et les politiques du gouvernement.  Environ les quatre cinquièmes des études des comités des Communes sont entreprises à leur propre initiative; à la différence des comités sénatoriaux, ils n’ont pas besoin d’un « ordre de renvoi » officiel pour le faire.  Les comités donnent au public et à des spécialistes l’occasion de s’exprimer sur les affaires du gouvernement — par des mémoires, des lettres ou des témoignages.  Les députés de l’opposition membres des comités se servent de cette tribune pour interroger les ministres et les hauts fonctionnaires sur la gestion des ministères et des sociétés d’État.  Des groupes de pression assistent aux séances des comités pour exposer les vues de leurs clients et établir des contacts avec les décideurs.

Dans l’ombre : Le personnel de la Bibliothèque répond à quelque 100 000 demandes de renseignements chaque année, et apporte son soutien aux travaux des comités, par des notes documentaires, analyses de contexte, propositions d’études, projets de rapports, en plus des documents d’information classiques.  L’administration du Sénat et celle des Communes offrent de nombreux services : recherches et avis en matière de procédure pour les présidents et les membres des comités; coordination des mémoires et de la comparution de témoins; préparation d’ordres du jour, de procès-verbaux et de rapports; distribution de documents revus ou produits par les comités; rédaction d’amendements aux projets de loi, enregistrement et transcription des délibérations.

Ils surveillent ...

Dans un régime parlementaire, le pouvoir de gouverner du Cabinet est contrebalancé par sa responsabilité devant l’assemblée législative.  Un des rôles clés des parlementaires est de protéger l’intérêt public en examinant à la loupe l’activité du gouvernement.  Par cette étroite surveillance, l’opposition fait en sorte que les questions importantes sont soulevées et portées à l’attention du public.  L’examen de la législation du gouvernement est un exemple du rôle de surveillance des parlementaires.

À la Chambre des communes : La forme de surveillance la plus connue est la période des questions, qui retient souvent l’attention des médias.  Quotidiennement, les ministres doivent être prêts à exposer et défendre leurs positions sur une multitude de sujets, allant de la pauvreté chez les enfants à la politique fiscale, d’une crise dans une localité du Nord à un différend commercial international.  La période des questions donne à l’opposition l’occasion de remettre en question les actions du gouvernement et aux ministres la possibilité de les défendre.

Pour le débat sur le budget, quatre jours sont réservés pour discuter de la politique fiscale et de la politique financière du gouvernement.  Les députés jouent aussi un important rôle de surveillance — après la vérification des dépenses du gouvernement — en mettant en lumière les cas de gaspillage et d’inefficacité révélés dans les rapports du vérificateur général.  Un autre débat spécial — qui n’est pas limité aux questions budgétaires — suit le discours du Trône, dans lequel le gouvernement annonce ses grandes initiatives législatives au cours de la session qui s’ouvre.

Au Sénat : À titre de « Chambre de réflexion », le Sénat joue un important rôle de « surveillant » au Parlement.  Il passe au peigne fin la politique et la législation du gouvernement.  Dans certains cas, la seule existence de cette Chambre peut dissuader le gouvernement de lancer des initiatives qui pourraient ne pas résister à l’examen du Sénat.  Au cours de la période des questions, les sénateurs interrogent le leader du gouvernement au Sénat sur les mesures et les politiques du gouvernement.

Dans l’ombre : Un large éventail de services administratifs permet aux parlementaires de remplir efficacement leurs fonctions.  Le personnel prépare et distribue de l’information sur l’ordre du jour, l’état des travaux et les procès-verbaux du Sénat et des Communes.  Il consigne les débats et les décisions et assure un soutien en procédure aux haut fonctionnaires de chaque Chambre, surveille la télédiffusion et la transcription des délibérations et veille à ce que des mesures de sécurité appropriées soient appliquées.  Le personnel de la Bibliothèque produit des compilations et offre un service de dépouillement électronique des médias, d’articles récents et d’études portant sur des questions liées aux travaux des parlementaires.

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© Bibliothèque du Parlement - novembre 2002