Témoignages
Syed Ayub
Secteur de la technologie et des programmes énergétiques
 Après avoir terminé ma maîtrise en économie à l’Université de Calgary, j’ai été recruté par RNCan dans le cadre du Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques. Je viens de terminer le programme et je travaille actuellement pour le groupe Politique et Programmes sur les carburants de l’Office de l’efficacité énergétique (OEE), à l’élaboration d’une stratégie nationale sur les carburants renouvelables.
Avant cette affectation au sein de l’OEE, j’ai travaillé pour la Division de l’industrie et du commerce du Service canadien des forêts où je devais notamment mener des recherches et des analyses et produire des rapports sur les questions d’accès aux marchés pour les produits forestiers canadiens et sur le potentiel de la bioénergie au Canada.
J’ai d’abord été affecté au Groupe des grands émetteurs finaux du Secteur de la politique énergétique. Je faisais partie d’une équipe qui travaillait avec le secteur de l’électricité afin de réduire les émissions annuelles de gaz à effet de serre.
Mon travail est stimulant et captivant; je suis confronté à toutes les complexités de l’élaboration de politiques publiques. J’ai également la chance de travailler avec les associations de l’industrie, les provinces, les établissements de recherche et d’autres intervenants, ce qui me permet de comprendre les enjeux de différents points de vue. La rotation des affectations est excellente pour le perfectionnement professionnel puisqu’elle offre un très bon aperçu des secteurs clés de l’économie canadienne et qu’elle permet aux stagiaires de diversifier leurs connaissances.
La formation est soutenue et encouragée par RNCan. J’ai assisté à plusieurs conférences, cours d’élaboration de politiques et cours de langue seconde. Le mentorat constitue un des aspects clé du programme et cela m’a permis de profiter de l’expérience d’un cadre supérieur.
Les gens à RNCan sont sympathiques et accueillants, ce qui m’a aidé à m’installer à Ottawa après avoir quitté Calgary. La capitale nationale est un endroit merveilleux où il fait bon vivre. Elle bourdonne à longueur d’année d’activités, de festivals et d’événements.
Nicolas Duval-Mace
Direction des politiques stratégiques
 J’ai fait mes premiers pas au sein du Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques en février 2006. À cette époque, j’étais en voie de compléter ma maîtrise en politique commerciale internationale à la Norman Paterson School of International Affairs (Université Carleton). J’avais obtenu précédemment un baccalauréat en administration des affaires à l’Université Laval, en plus de m’impliquer activement pendant deux ans dans l’association étudiante du campus. Ces expériences combinées m’ont amené à développer un vif attrait pour les politiques publiques.
Par un heureux hasard, ma première journée de travail a coïncidé avec la nomination du nouveau gouvernement. Au sein de la Direction des politiques stratégiques, je me suis retrouvé au cœur de l’élaboration des plans et priorités du ministère. L’environnement y est très stimulant; nous participons de près à la contribution du ministère aux étapes cruciales que sont, pour le gouvernement, le discours du trône et le budget. Ici, les choses bougent énormément : le plan de travail de notre équipe évolue continuellement en fonction de l’actualité. En plus de travailler sur l’agenda du ministère et la coordination entre les secteurs, je fais à la fois de l’analyse stratégique et économique qui m’amène à toucher à des dossiers fort variés.
Étant originaire de Québec, je me suis adapté plutôt rapidement à la région d’Ottawa-Gatineau. En effet, les deux agglomérations sont des centres de pouvoir où la fonction publique exerce une place économique prépondérante. Bien que l’histoire d’Ottawa soit certes plus courte que celle de Québec, la région a aussi ses charmes! L’Outaouais offre de nombreuses opportunités de divertissement, que ce soit le plein air, les musées ou les festivals. Le marché By regorge de saveurs avec ses nombreux restaurants, cafés et bars. Le canal Rideau séduit les romantiques, été comme hiver. Et par-dessus tout, nos bureaux sont situés au cœur même de la petite Italie…
Jimena Eyzaguirre
Secteur des sciences de la Terre
 Mon intérêt pour la gestion durable des ressources, mon désir d’aider les décideurs à prendre de meilleures décisions et mes tendances à voir la « situation dans son ensemble » m’ont amenée à faire carrière au sein du gouvernement fédéral après avoir terminé ma maîtrise en gestion des ressources et de l’environnement. Je suis entrée à RNCan en février 2005 grâce au PRPAP. J’ai d’abord été affectée à la Direction des sciences et des programmes du Service canadien des forêts, où j’ai travaillé principalement à favoriser l’innovation dans le secteur forestier. J’ai surtout produit de petits rapports d’analyse pour les cadres supérieurs. En plus de me renseigner sur différents aspects des enjeux forestiers à l’échelle nationale et internationale, sur les principaux intervenants et leurs intérêts, je me suis fait une meilleure idée des défis à relever pour rendre la science et la recherche pertinentes pour les décideurs. Mon directeur au SCF a fait preuve d’une grande générosité en investissant dans mon perfectionnement professionnel; j’ai assisté à quatre conférences en un an, dont une en Italie!
En février 2006, je suis passée à la Direction des impacts et de l’adaptation liés aux changements climatiques du Secteur des sciences de la Terre. Puisque le climat touche directement ou indirectement toutes les régions et tous les secteurs économiques du pays, les questions stratégiques sont particulièrement intéressantes et compliquées. J’offre un soutien analytique aux cadres supérieurs responsables des politiques, au moment où nous réfléchissons à l’approche que le Canada choisira pour s’adapter aux incidences d’un climat changeant.
Jusqu’à maintenant, mon expérience comme fonctionnaire fédérale est positive. Mon gestionnaire et mes collègues m’offrent un juste équilibre entre l’autonomie et la supervision. Ils apprécient mon travail et mes idées et me confrontent à des gens importants et à des dossiers prioritaires. Les occasions de perfectionnement professionnel sont excellentes. Sur le plan personnel, j’ai vécu plusieurs fois à Ottawa par le passé et je m’y suis toujours bien sentie. Cette fois, j’essaie de profiter davantage des paysages naturels et des espaces verts, des événements culturels et des activités communautaires offerts dans la région.
Farah Huq
Service canadien des forêts
 Après avoir terminé ma maîtrise en économie du développement à l’Université d’Oxford, j’ai travaillé en Inde où j’ai mis en œuvre et géré un projet pilote d’agriculture biologique. En Inde, dans ma vie professionnelle et personnelle, j’ai appris de première main que la gestion des ressources naturelles peut avoir une incidence directe sur les moyens de subsistance des gens. Je suis entrée à RNCan grâce au Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques, après avoir travaillé dans le secteur privé en tant qu’experte‑conseil en économie, car je désirais travailler aux questions de politique gouvernementale sur les ressources naturelles qui ont une incidence sur la vie quotidienne des Canadiens.
Dans le cadre de ma première affectation à la Division de l’industrie et du commerce du Service canadien des forêts, je mène une étude sur les pénuries de main‑d’œuvre qualifiée dans le secteur des forêts. La nature transversale du projet m’a permis d’établir des liens avec des collègues d’autres ministères fédéraux et provinciaux, des établissements d’enseignement, des associations de l’industrie et du mouvement syndical. J’ai également travaillé à des questions liées à la rationalisation de l’industrie et aux collectivités dépendantes de la forêt.
Depuis que je fais partie du programme, j’ai eu la chance de recevoir la formation en langue seconde et d’assister à de nombreux ateliers à l’interne et à l’externe. Le réseau du Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques m’a définitivement facilité la transition vers le secteur public et la vie à Ottawa.
Après avoir vécu à l’étranger durant les cinq dernières années, je ne peux imaginer un meilleur retour au Canada que de vivre dans la capitale nationale. La région de la capitale nationale est un rêve pour les amoureux de plein air. Le ski, le canot, la voile, tout est facilement accessible. Puisque les bureaux de RNCan sont tout à côté du lac Dow, il n’y a aucune excuse pour ne pas jogger, patiner ou rouler à vélo pour se rendre au travail!
Cecilia Lei
Direction des politiques stratégiques
 Alors que je faisais ma maîtrise en physique, j’ai commencé à m’intéresser à la résolution de problèmes d’un genre différent; les enjeux dans le domaine public me fascinaient et j’avais envie de contribuer à l’élaboration de politiques gouvernementales, ce qui m’a poussée à obtenir une maîtrise en administration publique. Alors que je terminais mes études et que je travaillais pour le ministère de l’Environnement de la Colombie-Britannique, j’ai été embauchée par le Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques (PRPAP) de RNCan.
Le programme m’a intéressée parce que RNCan gère des dossiers qui sont au cœur de l’actualité. Le fait de concilier le développement et la durabilité me stimulait. J’ai aussi été impressionnée par le dévouement envers la fonction publique que j’ai noté chez les professionnels que j’ai rencontrés durant mes entrevues. Cette impression s’est confirmée, et je me sens constamment privilégiée de travailler avec des personnes aussi engagées.
J’ai presque terminé ma première affectation au sein de la Direction des politiques stratégiques, dans la section du Développement durable et des affaires internationales. Au cours des neuf derniers mois, j’ai été confrontée à une vaste gamme de dossiers allant de l’initiative de Réglementation intelligente à des évaluations environnementales. La direction a également soutenu avec ferveur ma formation et mon perfectionnement. J’ai su saisir de nombreuses occasions d’apprentissage au sein et à l’extérieur du Ministère, y compris une formation régulière en français. En juillet, je vais même étudier le français à l'Université Laval durant cinq semaines. Sur le plan social, le Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques a également été important pour moi, car il m’a donné accès à un réseau instantané d’amis et à un système de soutien mutuel.
Originaire de la côte Ouest, j’ai été agréablement surprise par la beauté d’Ottawa et par la façon dont les habitants apprécient le plein air. Tout comme en Colombie‑Britannique, je peux aller travailler en vélo durant l’été et, grâce aux patients conseils de mes amis du programme, j’ai pu aller travailler en patins et j’ai appris le ski de fond.
Holly Palen
Service canadien des forêts
 J’ai fait un baccalauréat en sciences environnementales à l’Université de Guelph. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai vécu et travaillé à Édimbourg, en Écosse, un endroit reconnu pour ses magnifiques paysages et sa riche histoire. Vivre à l’étranger m’a permis de mieux apprécier le paysage, la faune, les langues et la diversité culturelle du Canada et a cristallisé mon désir d’aider mon pays à créer un avenir durable. J’ai donc décidé de faire une maîtrise en études environnementales à l’Université Dalhousie, en Nouvelle‑Écosse; j’y ai ensuite travaillé comme chercheure à l’École des ressources et des études environnementales et j’ai siégé au conseil d’administration d’une organisation environnementale non gouvernementale. Après quelques années passées à étudier, à analyser, à rédiger des rapports, à essayer d’influer sur la politique et à trouver des solutions locales, j’ai saisi l’occasion de participer à l’élaboration des politiques nationales au sein de Ressources naturelles du Canada.
Le Canada est confronté à des défis de taille liés aux ressources naturelles et RNCan contribue à la recherche et à la mise en œuvre de solutions. RNCan travaille en collaboration avec des ministères, organismes, gouvernements et partenaires de la société civile, ce qui nous offre des occasions de travailler avec d’autres personnes et d’apprendre de leurs expériences. J’ai d’abord été affectée à la Division du développement durable et des affaires internationales de la Direction des politiques stratégiques, où j’ai participé à plusieurs projets relatifs à la réglementation. Je suis récemment passée à la Division de la politique scientifique au sein du Service canadien des forêts, où je vais travailler dans une équipe qui élabore des approches stratégiques en vue de relever les défis posés par les ravageurs forestiers.
Le programme est excellent : la direction appuie le programme et accueille les recrues; les recrues sont très sympathiques et forment un réseau instantané; le perfectionnement professionnel est encouragé et on nous offre des cours de langue seconde. C’est inspirant de travailler avec des gens talentueux et dévoués au sein de la fonction publique du Canada.
Ottawa est une très jolie ville avec beaucoup d’espaces verts, des festivals palpitants, des événements artistiques et culturels de grande qualité et un centre-ville dynamique. Les occasions de pratiquer des loisirs de plein air sont infinies, et chaque saison permet de s’adonner à de nouvelles activités, dont le patinage sur le canal Rideau, le ski de fond dans les collines de la Gatineau, le vélo le long des sentiers récréatifs de la rivière des Outaouais, et la navigation de plaisance sur les rivières et lacs avoisinants.
Farhan Rahman
Service canadien des forêts
 Depuis que j’ai terminé le PRPAP plus tôt cette année, j’ai eu l’occasion de réfléchir au temps que j’ai passé au sein de RNCan. Lorsque je suis entré au Ministère, je venais tout juste de terminer ma maîtrise et j’avais fait un peu de travail international. Je savais que je désirais travailler à des questions touchant le développement durable, mais je ne savais pas à quel point le fait de travailler au Ministère me transformerait. Lorsque je compare mes idées et nouvelles façons de voir concernant les questions politiques et le développement à ce qu’elles étaient auparavant, je dois dire que mon expérience au sein du PRPAP a eu une influence très positive dans un très court laps de temps. Durant les deux ans que j’ai passés au sein du programme, j’ai eu la chance de mener des recherches stratégiques, d’apprendre une nouvelle langue, de gérer mes propres projets avec le secteur privé, et de mieux comprendre les rouages du gouvernement. RNCan et la fonction publique du Canada ont besoin de jeunes professionnels enthousiastes qui feront leur marque; le PRPAP est un excellent moyen de les recruter.
Julie Richter
Secteur de la politique énergétique
 Je suis entrée à RNCan en décembre 2005, après avoir terminé mon doctorat en foresterie à l’Université de Missouri‑Columbia. J’ai entamé ma première affectation il y a cinq mois, au sein de la Division de l’énergie renouvelable et électrique du Secteur de la politique énergétique. Après des années de recherche en foresterie à l’université, travailler en politique de l’électricité a été un changement énorme pour moi, comme le fut le passage de l’université à la fonction publique. Il y a eu beaucoup à apprendre, sur le secteur de l’électricité et sur les rouages du gouvernement. Jusqu’à maintenant, l’expérience a été stimulante et enrichissante.
Depuis quelques mois, je travaille avec un groupe d’experts en électricité du Mexique, des États‑Unis et du Canada pour mettre en œuvre certains des objectifs du Partenariat nord-américain pour la sécurité et la prospérité. De plus, je fais partie d’une équipe qui rédige des profils du secteur de l’électricité dans chacune des provinces et chacun des territoires.
Le PRPAP est une excellente façon d’entrer dans la fonction publique. Je profite pleinement de ma relation avec mon mentor, de la formation linguistique et du réseau de recrues. Je cherche actuellement ma deuxième affectation et je peux affirmer que les gestionnaires appuient grandement le programme et qu’ils ont tous le désir de nous aider à avancer sur le plan professionnel.
Jusqu’à maintenant, j’aime beaucoup vivre à Ottawa. Il y a beaucoup de possibilités de profiter du plein air, de faire du ski de fond et du cyclisme dans le parc de la Gatineau, de patiner sur le canal, de faire du canot, du kayak ou de la voile sur la rivière des Outaouais et la rivière Rideau. Certaines des recrues ont même formé une équipe de canot‑dragon cette année!
Simon Vallières
Secteur de la technologie et des programmes énergétiques
 J’ai débuté ma première affectation à RNCan en décembre 2005 à l’Office de l’efficacité énergétique (OEE) quelques jours à peine après avoir terminé ma maîtrise en économie à l’Université Laval. M’étant intéressé à l’économie de l’environnement au cours de mes études universitaires, les enjeux liés à l’efficacité énergétique qui occupent quotidiennement le personnel de l’OEE me paraissaient une excellente opportunité de poursuivre dans la même veine. Dans le cadre de mon travail, je m’intéresse particulièrement à la consommation d’énergie du secteur des transports, ce qui m’emmène à collaborer avec différentes divisions de RNCan ainsi qu’avec le personnel d’autres ministères du gouvernement fédéral, notamment Statistique Canada et Transports Canada. L’équipe à laquelle je me suis joint est jeune et dynamique. Je participe pleinement aux activités de ma division, ce qui rend mon travail des plus motivants.
L’environnement proposé par le PRPAP est extraordinaire. La formation étant au sommet des priorités, nous sommes encouragés à participer à différents cours. Mes superviseurs sont d’ailleurs très ouverts à cette idée et m’ont appuyé dans toutes les démarches que j’ai entreprises en ce sens. En ce qui à trait à l’environnement social du PRPAP, des activités de groupe sont organisées régulièrement. Les gens sont accueillants et sympathiques, ce qui facilite grandement l’intégration des nouvelles recrues.
À mon arrivée, mes capacités de communiquer en anglais étaient loin d’être parfaites. J’ai toutefois fait des progrès considérables en quatre mois, notamment grâce à l’aide de mes collègues et aux cours d’anglais auxquels je participe. Tous les employés de RNCan que j’ai rencontrés ainsi que toutes les recrues du PRPAP sont ouverts à l’apprentissage de leur seconde langue. De plus, la région d’Ottawa-Gatineau offre la possibilité de vivre dans un milieu complètement bilingue: des pubs du Centre-ville jusqu’à la Place Banque Scotia où évoluent les Sénateurs. Pour ma part, j’ai choisi de m’installer dans le Secteur du Plateau (Hull) à deux pas du Parc de la Gatineau. De là, le centre-ville d’Ottawa est facile d’accès tant en voiture qu’en autobus ou qu’à vélo!
Matt Young
Direction des politiques stratégiques
 Après avoir obtenu une maîtrise en administration publique et un diplôme en droit à l’Université de Dalhousie en 2005, j’avais hâte d’appliquer ma formation dans un endroit où je pourrais continuer d’apprendre et faire une différence. RNCan m’a attiré en raison de son engagement envers le perfectionnement professionnel et les questions stratégiques nationales et internationales qui touchent les Canadiens.
J’ai été engagé grâce au Programme de recrutement et de perfectionnement d’analystes de politiques et je ne l’ai jamais regretté. Ma première affectation au sein de la Direction des politiques stratégiques m’a permis d’acquérir une vue d’ensemble. J’ai eu l’occasion de jouer un rôle clé dans l’élaboration du tout premier plan stratégique de RNCan, de décrire aux cadres supérieurs du Ministère mes propres projets, et d’assister à des conférences sur les questions stratégiques qui m’intéressent. Selon moi, c’était la meilleure façon de lancer ma carrière dans le domaine de l’élaboration des politiques publiques au sein du gouvernement du Canada.
Et maintenant? En juillet, j'ai commencé à travailler au Secteur de la politique énergétique. J’aurai alors l’occasion de travailler avec un groupe qui mène des consultations auprès des Autochtones et qui examine diverses questions de politique énergétique importantes comme la capture et le stockage du dioxyde de carbone. Je suis certain que ce sera aussi trépidant, dynamique et enrichissant que ma première affectation.
Il va sans dire qu’Ottawa est un milieu de vie palpitant. Après le travail et durant les fins de semaine, il y a plus de choix d’activités et d’événements amusants que de temps disponible.
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