FOU DU
HOCKEY
Le
hockey est né il y a plus d'un siècle
et demi, dans notre beau pays de froid et de neige.
Ce sport a vite conquis les coeurs et
suscité des passions, lesquelles s'expriment
jusque dans la rue, chez les enfants, qui jouent au
hockey bottine en rêvant de ligue nationale.
Des familles entières s'époumonent
devant le téléviseur pour encourager
leurs idoles. Dans les stades, là où
les dieux de la glace forgent bravement leur
légende, c'est l'euphorie pure et
simple.
Beaucoup sont
appelés au temple du hockey, mais peu sont
élus. Quand s'imposent des joueurs
d'exception, des mythes se créent, enrichis
de génération en
génération.
La passion du hockey,
c'est celle de la victoire. Et le triomphe ultime
est symbolisé par un simple bol d'argent, la
coupe Stanley.
Le site « Fou du
Hockey » se veut un hommage aux hommes
et aux femmes qui ont aimé, qui aiment et
qui vont aimer ce sport. Depuis 1837, le hockey
fait partie de notre quotidien. Il n'y a pas un
jour où le hockey ne fait pas les
manchettes. Depuis 1837, d'une époque
à l'autre, il y a toujours un joueur
étoile qui suscite l'admiration des foules,
que ce soit un Aurèl Joliat, un Maurice
Richard, un Jacques Plante, un Jean
Béliveau, un Guy Lafleur, un Mario Lemieux
ou un Patrick Roy. Le hockey fait partie de notre
culture, de notre quotidien.
Maintenant le hockey,
notre sport national, a aussi un site, lequel veut
refléter notre engouement pour ce jeu sur
glace. Ainsi, dans une section, on fait ressortir
plus de 200
grandes dates qui ont
jalonné l'histoire du hockey au
Québec et au Canada. Dans une autre, vous
pourrez lire une trentaine de témoignages
de gens comme vous et moi qui racontent leurs
souvenirs liés au hockey, car rares sont
ceux qui n'ont pas un jour ou l'autre vécu
un moment fort à cause du hockey. Ailleurs,
on vous dévoilera la face humaine du hockey
tels que les rituels
que nos joueurs pratiquent afin de conjurer le sort
et on vous racontera quelques anecdotes sur ce
symbole presque sacré qu'est la
coupe
Stanley.
Bonne visite, fous du
hockey, c'est la mise au jeu!
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