Le 15 octobre 2015 - Dernière mise à jour
Voici le dernier compte rendu sur cette enquête, car l'éclosion semble terminée
L'Agence de la santé publique du Canada a collaboré avec ses partenaires provinciaux en santé publique, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Pêches et Océans Canada et Santé Canada pour faire enquête sur 82 cas canadiens d'infection à Vibrio parahaemolyticus associés à la consommation de mollusques crus en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et en Ontario. La majorité des cas étaient liés à la consommation d'huîtres crues. Puisqu'aucun cas d'infection à vibrions n'a été signalé depuis le 3 septembre, l'éclosion semble terminée, et l'enquête tire à sa fin.
Le risque pour les Canadiens est faible. Même si l'éclosion semble terminée, on rappelle aux Canadiens que la cuisson des mollusques permet de prévenir les maladies causées par les vibrions.
Les vibrions (bactéries Vibrio) sont naturellement présents dans les eaux côtières, où de fortes concentrations peuvent être observées lors des périodes d'augmentation de la température de l'eau. La plupart des personnes entrent en contact avec des vibrions lorsqu'elles mangent des mollusques crus ou partiellement cuits, surtout des huîtres.
Au Canada, 82 cas en tout ont été signalés en Colombie-Britannique (60), en Alberta (19), en Saskatchewan (1) et en Ontario ( 2). Une personne touchée a été hospitalisée. Aucun décès n'a été constaté. La maladie est apparue chez les personnes touchées entre le 26 mai et le 3 septembre 2015, et toutes ont déclaré avoir consommé des mollusques crus, principalement des huîtres.
D'après l'enquête sur l'éclosion de maladie d'origine alimentaire menée par l'Agence canadienne d'inspection des aliments, des huîtres récoltées dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique et destinées à être consommées crues le 18 août 2015 ou avant cette date ont été retirées du marché. Veuillez consulter l'avis de rappel d'aliments pour en savoir plus sur les produits rappelés qui ont été distribués à l'échelle nationale. Les consommateurs ne doivent pas consommer les produits visés par le rappel.
Les femmes enceintes, les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes vivant avec une maladie du foie ou une hypoacidité gastrique, les jeunes enfants et les aînés ont un risque accru de complications.
La plupart des personnes atteintes se rétablissent complètement en une semaine.
Les aliments contaminés par des vibrions peuvent avoir une apparence, une odeur et un goût normaux.
Les personnes infectées par des vibrions peuvent avoir divers symptômes. Certaines ne sont pas malades du tout, tandis que d'autres croient avoir une mauvaise grippe intestinale. Peu de gens sont gravement malades.
Chez la plupart des personnes atteintes, un ou plusieurs des symptômes suivants apparaissent de 12 à 24 heures après l'infection par la bactérie :
La maladie peut durer jusqu'à trois jours, et les cas graves sont rares. Les malades devraient boire beaucoup pour compenser la déshydratation causée par la diarrhée.
L'Agence de la santé publique du Canada coordonne l'intervention contre cette éclosion et communique régulièrement avec ses partenaires fédéraux et provinciaux pour surveiller la situation et prendre des mesures concertées. Santé Canada effectue des évaluations visant à déterminer si la présence d'une substance ou d'un micro-organisme dans les aliments présente un risque pour la santé des consommateurs. L'Agence canadienne d'inspection des aliments mène des enquêtes sur la salubrité des aliments afin d'isoler la source possible d'une éclosion. De plus, elle surveille les biotoxines présentes dans les mollusques dans les secteurs de récolte et se charge d'agréer et d'inspecter les établissements de transformation de poisson, de mollusques et de crustacés. Pêches et Océans Canada s'occupe de l'ouverture et de la fermeture des secteurs coquilliers ainsi que du respect des fermetures en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement sur la gestion de la pêche du poisson contaminé. Le gouvernement du Canada fournira des mises à jour aux Canadiens à mesure que de nouveaux renseignements relatifs à l'enquête seront connus.
Agence de la santé publique du Canada
Relations avec les médias
613-957-2983
Le 10 septembre 2015 - Mise à jour
Le présent avis a été mis à jour pour inclure quatre nouveaux cas d'infections à Vibrio parahaemolyticus relevés en Colombie-Britannique (4) et en Saskatchewan (1).
L'Agence de la santé publique du Canada collabore avec ses partenaires provinciaux en santé publique, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Pêches et Océans Canada et Santé Canada pour faire enquête sur 81 cas canadiens d'infection à Vibrio parahaemolyticus associés à la consommation de mollusques crus en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et en Ontario. La majorité des cas sont liés à la consommation d'huîtres crues.
Le risque pour les Canadiens est faible, et la cuisson des mollusques permet de prévenir l'infection. Les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les aînés ont un risque accru de complications s'ils sont malades.
Les vibrions (bactéries Vibrio) sont naturellement présents dans les eaux côtières, où de fortes concentrations peuvent être observées lors des périodes d'augmentation de la température de l'eau. La plupart des personnes entrent en contact avec des vibrions lorsqu'elles mangent des mollusques crus ou partiellement cuits, surtout des huîtres.
Au Canada, 81 cas en tout ont été signalés en Colombie-Britannique (60), en Alberta (19), en Saskatchewan (1) et en Ontario (1). Une personne touchée a été hospitalisée. Aucun décès n'a été constaté. La maladie est apparue chez les personnes touchées entre le 26 mai et le 26 août 2015, et toutes ont déclaré avoir consommé des mollusques crus, principalement des huîtres.
D'après l'enquête sur l'éclosion de maladie d'origine alimentaire menée par l'Agence canadienne d'inspection des aliments, des huîtres récoltées dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique et destinées à être consommées crues le 18 août 2015 ou avant cette date ont été retirées du marché. Veuillez consulter l'avis de rappel d'aliments pour en savoir plus sur les produits rappelés qui ont été distribués à l'échelle nationale. Les consommateurs ne doivent pas consommer les produits visés par le rappel.
Les femmes enceintes, les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes vivant avec une maladie du foie ou une hypoacidité gastrique, les jeunes enfants et les aînés ont un risque accru de complications.
La plupart des personnes atteintes se rétablissent complètement en une semaine.
Les aliments contaminés par des vibrions peuvent avoir une apparence, une odeur et un goût normaux.
Les personnes infectées par des vibrions peuvent avoir divers symptômes. Certaines ne sont pas malades du tout, tandis que d'autres croient avoir une mauvaise grippe intestinale. Peu de gens sont gravement malades.
Chez la plupart des personnes atteintes, un ou plusieurs des symptômes suivants apparaissent de 12 à 24 heures après l'infection par la bactérie :
La maladie peut durer jusqu'à trois jours, et les cas graves sont rares. Les malades devraient boire beaucoup pour compenser la déshydratation causée par la diarrhée.
L'Agence de la santé publique du Canada coordonne l'intervention contre cette éclosion et communique régulièrement avec ses partenaires fédéraux et provinciaux pour surveiller la situation et prendre des mesures concertées. Santé Canada effectue des évaluations visant à déterminer si la présence d'une substance ou d'un micro-organisme dans les aliments présente un risque pour la santé des consommateurs. L'Agence canadienne d'inspection des aliments mène des enquêtes sur la salubrité des aliments afin d'isoler la source possible d'une éclosion. De plus, elle surveille les biotoxines présentes dans les mollusques dans les secteurs de récolte et se charge d'agréer et d'inspecter les établissements de transformation de poisson, de mollusques et de crustacés. Pêches et Océans Canada s'occupe de l'ouverture et de la fermeture des secteurs coquilliers ainsi que du respect des fermetures en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement sur la gestion de la pêche du poisson contaminé. Le gouvernement du Canada fournira des mises à jour aux Canadiens à mesure que de nouveaux renseignements relatifs à l'enquête seront connus.
Agence de la santé publique du Canada
Relations avec les médias
613-957-2983
Le 28 août 2015 - Mise à jour
Le présent avis a été mis à jour pour inclure quatre nouveaux cas d'infections à Vibrio parahaemolyticus relevés en Colombie-Britannique (3) et en Ontario (1).
L'Agence de la santé publique du Canada collabore avec ses partenaires provinciaux en santé publique, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Pêches et Océans Canada et Santé Canada pour faire enquête sur 76 cas canadiens d'infection à Vibrio parahaemolyticus associés à la consommation de mollusques crus en Colombie-Britannique, en Alberta et en Ontario. La majorité des cas sont liés à la consommation d'huîtres crues.
Le risque pour les Canadiens est faible, et la cuisson des mollusques permet de prévenir l'infection. Les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les aînés ont un risque accru de complications s'ils sont malades.
Les vibrions (bactéries Vibrio) sont naturellement présents dans les eaux côtières, où de fortes concentrations peuvent être observées lors des périodes d'augmentation de la température de l'eau. La plupart des personnes entrent en contact avec des vibrions lorsqu'elles mangent des mollusques crus ou partiellement cuits, surtout des huîtres.
Au Canada, 76 cas en tout ont été signalés en Colombie-Britannique (56), en Alberta (19) et en Ontario (1). Une personne touchée a été hospitalisée. Aucun décès n'a été constaté. La maladie est apparue chez les personnes touchées entre le 1er juin et le 10 août 2015, et toutes ont déclaré avoir consommé des mollusques crus, principalement des huîtres.
D'après l'enquête sur l'éclosion de maladie d'origine alimentaire menée par l'Agence canadienne d'inspection des aliments, des huîtres récoltées dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique et destinées à être consommées crues ont été retirées du marché. Veuillez consulter l'avis de rappel d'aliments pour en savoir plus sur les produits rappelés qui ont été distribués à l'échelle nationale. Les consommateurs ne doivent pas consommer les produits visés par le rappel.
Les femmes enceintes, les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes vivant avec une maladie du foie ou une hypoacidité gastrique, les jeunes enfants et les aînés ont un risque accru de complications.
La plupart des personnes atteintes se rétablissent complètement en une semaine.
Les aliments contaminés par des vibrions peuvent avoir une apparence, une odeur et un goût normaux.
Les personnes infectées par des vibrions peuvent avoir divers symptômes. Certaines ne sont pas malades du tout, tandis que d'autres croient avoir une mauvaise grippe intestinale. Peu de gens sont gravement malades.
Chez la plupart des personnes atteintes, un ou plusieurs des symptômes suivants apparaissent de 12 à 24 heures après l'infection par la bactérie :
La maladie peut durer jusqu'à trois jours, et les cas graves sont rares. Les malades devraient boire beaucoup pour compenser la déshydratation causée par la diarrhée.
L'Agence de la santé publique du Canada coordonne l'intervention contre cette éclosion et communique régulièrement avec ses partenaires fédéraux et provinciaux pour surveiller la situation et prendre des mesures concertées. Santé Canada effectue des évaluations visant à déterminer si la présence d'une substance ou d'un micro-organisme dans les aliments présente un risque pour la santé des consommateurs. L'Agence canadienne d'inspection des aliments mène des enquêtes sur la salubrité des aliments afin d'isoler la source possible d'une éclosion. De plus, elle surveille les biotoxines présentes dans les mollusques dans les secteurs de récolte et se charge d'agréer et d'inspecter les établissements de transformation de poisson, de mollusques et de crustacés. Pêches et Océans Canada s'occupe de l'ouverture et de la fermeture des secteurs coquilliers ainsi que du respect des fermetures en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement sur la gestion de la pêche du poisson contaminé. Le gouvernement du Canada fournira des mises à jour aux Canadiens à mesure que de nouveaux renseignements relatifs à l'enquête seront connus.
Agence de la santé publique du Canada
Relations avec les médias
613-957-2983
Le 19 août 2015 - Mise à jour
Le présent avis a été mis à jour pour inclure des renseignements au sujet de l'avis de rappel d'aliments de l'Agence canadienne d'inspection des aliments lié à l'enquête en cours ainsi que cinq nouveaux cas d'infections à Vibrio parahaemolyticus relevés en Colombie-Britannique.
L'Agence de la santé publique du Canada collabore avec ses partenaires provinciaux en santé publique, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Pêches et Océans Canada et Santé Canada pour faire enquête sur 72 cas canadiens d'infection à Vibrio parahaemolyticus associés à la consommation de mollusques crus en Colombie-Britannique et en Alberta. La majorité des cas sont liés à la consommation d'huîtres crues.
Le risque pour les Canadiens est faible, et la cuisson des mollusques permet de prévenir l'infection. Les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les aînés ont un risque accru de complications s'ils sont malades.
Les vibrions (bactéries Vibrio) sont naturellement présents dans les eaux côtières, où de fortes concentrations peuvent être observées lors des périodes d'augmentation de la température de l'eau. La plupart des personnes entrent en contact avec des vibrions lorsqu'elles mangent des mollusques crus ou partiellement cuits, surtout des huîtres.
Au Canada, 72 cas en tout ont été signalés en Colombie-Britannique (53) et en Alberta (19). Une personne touchée a été hospitalisée. Aucun décès n'a été constaté. La maladie est apparue chez les personnes touchées entre le 1er juin et le 7 août 2015, et toutes ont déclaré avoir consommé des mollusques crus, principalement des huîtres.
D'après l'enquête sur l'éclosion de maladie d'origine alimentaire menée par l'Agence canadienne d'inspection des aliments, des huîtres récoltées dans les eaux côtières de la Colombie-Britannique et destinées à être consommées crues ont été retirées du marché. Veuillez consulter l'avis de rappel d'aliments pour en savoir plus sur les produits rappelés qui ont été distribués à l'échelle nationale. Les consommateurs ne doivent pas consommer les produits visés par le rappel.
Les femmes enceintes, les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes vivant avec une maladie du foie ou une hypoacidité gastrique, les jeunes enfants et les aînés ont un risque accru de complications.
La plupart des personnes atteintes se rétablissent complètement en une semaine.
Les aliments contaminés par des vibrions peuvent avoir une apparence, une odeur et un goût normaux.
Les pratiques de salubrité des aliments qui suivent réduiront votre risque de contracter une infection à vibrions et d'autres maladies d'origine alimentaire.
Les personnes infectées par des vibrions peuvent avoir divers symptômes. Certaines ne sont pas malades du tout, tandis que d'autres croient avoir une mauvaise grippe intestinale. Peu de gens sont gravement malades.
Chez la plupart des personnes atteintes, un ou plusieurs des symptômes suivants apparaissent de 12 à 24 heures après l'infection par la bactérie :
La maladie peut durer jusqu'à trois jours, et les cas graves sont rares. Les malades devraient boire beaucoup pour compenser la déshydratation causée par la diarrhée.
L'Agence de la santé publique du Canada coordonne l'intervention contre cette éclosion et communique régulièrement avec ses partenaires fédéraux et provinciaux pour surveiller la situation et prendre des mesures concertées. Santé Canada effectue des évaluations visant à déterminer si la présence d'une substance ou d'un micro-organisme dans les aliments présente un risque pour la santé des consommateurs. L'Agence canadienne d'inspection des aliments mène des enquêtes sur la salubrité des aliments afin d'isoler la source possible d'une éclosion. De plus, elle surveille les biotoxines présentes dans les mollusques dans les secteurs de récolte et se charge d'agréer et d'inspecter les établissements de transformation de poisson, de mollusques et de crustacés. Pêches et Océans Canada s'occupe de l'ouverture et de la fermeture des secteurs coquilliers ainsi que du respect des fermetures en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement sur la gestion de la pêche du poisson contaminé. Le gouvernement du Canada fournira des mises à jour aux Canadiens à mesure que de nouveaux renseignements relatifs à l'enquête seront connus.
Agence de la santé publique du Canada
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Le 13 août 2015 - Premier avis
L'Agence de la santé publique du Canada collabore avec ses partenaires provinciaux en santé publique, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Pêches et Océans Canada et Santé Canada pour faire enquête sur 67 cas canadiens d'infection à Vibrio parahaemolyticus associés à la consommation de mollusques crus en Colombie-Britannique et en Alberta. La majorité des cas sont liés à la consommation d'huîtres crues.
Le risque pour les Canadiens est faible, et la cuisson des mollusques permet de prévenir l'infection. Les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les aînés ont un risque accru de complications s'ils sont malades.
Les vibrions (bactéries Vibrio) sont naturellement présents dans les eaux côtières, où de fortes concentrations peuvent être observées lors des périodes d'augmentation de la température de l'eau. La plupart des personnes entrent en contact avec des vibrions lorsqu'elles mangent des mollusques crus ou partiellement cuits, surtout des huîtres.
Au Canada, 67 cas en tout ont été signalés en Colombie-Britannique (48) et en Alberta (19). Une personne touchée a été hospitalisée. Aucun décès n'a été constaté. La maladie est apparue chez les personnes touchées entre le 1er juin et le 7 août 2015, et toutes ont déclaré avoir consommé des mollusques crus, principalement des huîtres. L'enquête en cours vise à déterminer la source et la distribution des produits en cause.
Les femmes enceintes, les personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes vivant avec une maladie du foie ou une hypoacidité gastrique, les jeunes enfants et les aînés ont un risque accru de complications.
La plupart des personnes atteintes se rétablissent complètement en une semaine.
Les aliments contaminés par des vibrions peuvent avoir une apparence, une odeur et un goût normaux.
Les pratiques de salubrité des aliments qui suivent réduiront votre risque de contracter une infection à vibrions et d'autres maladies d'origine alimentaire.
Les personnes infectées par des vibrions peuvent avoir divers symptômes. Certaines ne sont pas malades du tout, tandis que d'autres croient avoir une mauvaise grippe intestinale. Peu de gens sont gravement malades.
Chez la plupart des personnes atteintes, un ou plusieurs des symptômes suivants apparaissent de 12 à 24 heures après l'infection par la bactérie :
La maladie peut durer jusqu'à trois jours, et les cas graves sont rares. Les malades devraient boire beaucoup pour compenser la déshydratation causée par la diarrhée.
L'Agence de la santé publique du Canada coordonne l'intervention contre cette éclosion et communique régulièrement avec ses partenaires fédéraux et provinciaux pour surveiller la situation et prendre des mesures concertées. Santé Canada effectue des évaluations visant à déterminer si la présence d'une substance ou d'un micro-organisme dans les aliments présente un risque pour la santé des consommateurs. L'Agence canadienne d'inspection des aliments mène des enquêtes sur la salubrité des aliments afin d'isoler la source possible d'une éclosion. De plus, elle surveille les biotoxines présentes dans les mollusques dans les secteurs de récolte et se charge d'agréer et d'inspecter les établissements de transformation de poisson, de mollusques et de crustacés. Pêches et Océans Canada s'occupe de l'ouverture et de la fermeture des secteurs coquilliers ainsi que du respect des fermetures en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement sur la gestion de la pêche du poisson contaminé. Le gouvernement du Canada fournira des mises à jour aux Canadiens à mesure que de nouveaux renseignements relatifs à l'enquête seront connus.
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