Marc-André Gosselin

Sous-chef

Marc-André Gosselin est devenu sous-chef du département de la Stabilité financière (SFI) le 19 mai 2015. À ce titre, il aide à superviser les travaux d’analyse et de recherche de la Banque sur des sujets liés au secteur financier et à la stabilité financière au Canada et à l’étranger. Responsable de la Section de l’évaluation du risque systémique et de la Section des institutions financières, il est le cadre supérieur de la SFI qui supervise la Revue du système financier de la Banque du Canada, publiée deux fois l’an. Dans le cadre de ses fonctions, il assume, au besoin, le rôle de chef et veille à l’administration efficace du département.

M. Gosselin est entré à la Banque en 1999 comme économiste. Au fil des ans, il a occupé des postes aux responsabilités croissantes et a acquis une expertise en matière de modèles et de projections macroéconomiques. Récemment, en tant que directeur au département des Analyses de l’économie canadienne, il a grandement contribué aux travaux de recherche et d’analyse à l’appui des politiques.

Né à Montréal, au Québec, M. Gosselin est titulaire d’une maîtrise en économie appliquée de l’École des hautes études commerciales de Montréal.

Notice biographique : Marc-André Gosselin

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Marc-André Gosselin

Sous-chef
Stabilité financière
Orientation stratégique et soutien opérationnel

Banque du Canada
234, avenue Laurier Ouest
Ottawa, ON, K1A 0G9

Dernières parutions

19 novembre 2015 Une enquête sur les attentes des consommateurs pour le Canada

La Banque du Canada a récemment mis en place une enquête trimestrielle pour mesurer les attentes des ménages canadiens : l’Enquête sur les attentes des consommateurs au Canada. Les données recueillies fournissent une information détaillée sur les anticipations des consommateurs concernant l’inflation, le marché du travail et la situation financière de leur ménage, ainsi que sur leur incertitude à ces égards. Le présent article décrit l’Enquête et illustre la richesse des renseignements qu’elle est susceptible de fournir aux chercheurs et aux décideurs publics au sujet des consommateurs canadiens.

14 mai 2015 La dynamique de l’inflation dans l’après-crise

Les économies avancées ont été confrontées à deux énigmes successives après la crise financière mondiale : anormalement élevés de la fin de 2009 à 2011, les taux d’inflation sont, contre toute attente, devenus faibles de 2012 au milieu de 2014. Ces tendances sont analysées sous deux angles. Tenir compte des anticipations des ménages permet d’expliquer une bonne partie de l’évolution inhabituelle de l’inflation mondiale. Pour le Canada, la dynamique de l’inflation dans l’après-crise s’explique aussi à la lumière de l’incidence notable de l’intensification de la concurrence dans le commerce de détail.

Analyzing and Forecasting the Canadian Economy through the LENS Model

Rapport technique n° 102 Olivier Gervais, Marc-André Gosselin
Les auteurs exposent les principales caractéristiques d’un nouveau modèle de prévision macroéconomique de grande taille pour le Canada.
Type(s) de contenu : Rapports techniques Sujet(s) : Méthodes économétriques et statistiques, Modèles économiques Code(s) JEL : C, C5, C53, E, E1, E17, E2, E27, E3, E37, F, F1, F17

Estimating DSGE-Model-Consistent Trends for Use in Forecasting

Document de travail du personnel 2009-35 Jean-Philippe Cayen, Marc-André Gosselin, Sharon Kozicki
Le modèle d'équilibre général dynamique et stochastique (EGDS) généralement employé dans l'analyse de la politique monétaire est conçu de manière à rendre compte des fluctuations économiques dans une logique d'optimisation. Il est courant de log-linéariser le modèle et d'en exprimer les variables en écart par rapport à la situation d'équilibre.

13 décembre 2007 La performance des banques centrales en régime de cibles d'inflation

L'auteur examine l'apport des divers facteurs qui concourent à l'atteinte de la cible d'inflation. L'étude de données portant sur un groupe de 21 pays pourvus d'une cible d'inflation, et couvrant la période du premier trimestre de 1990 au deuxième trimestre de 2007, met en lumière des disparités notables entre les banques centrales quant au respect de leurs cibles respectives. Les mouvements de change, les déficits des finances publiques et les niveaux de développement différents du secteur financier peuvent expliquer une partie des écarts observés. Les autres écarts tiennent plutôt à des différences dans le régime lui-même et les caractéristiques de sa mise en oeuvre.

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