Kenya

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Niveau(x) de risque

Niveau(x) de risque

Kenya - Faites preuve d'une grande prudence

Aucun avertissement n’est en vigueur pour l’ensemble du Kenya. Il convient toutefois de faire preuve d’une grande prudence en raison du nombre croissant d’attentats terroristes et d’actes criminels. Des attentats terroristes ont eu lieu à Nairobi (y compris à Eastleigh), le long de la côte (notamment à Mombasa) et dans le nord-est du pays. D’autres attentats demeurent possibles.

Les zones bordant la Somalie et une portion de la région de la Côte - Évitez tout voyage

Affaires mondiales Canada recommande d’éviter tout voyage à moins de 150 km de la frontière avec la Somalie, y compris les comtés de Lamu et de Garissa, ainsi qu’à moins de 50 km de la côte, du nord de la ville de Malindi jusqu’à la frontière avec la Somalie. Il existe un risque d’enlèvements et d’attaques.

Consultez l'onglet Sécurité pour plus de renseignements.

Les zones bordant le Soudan du Sud et l'Éthiopie - Évitez tout voyage

Affaires mondiales Canada recommande d’éviter tout voyage à moins de 100 km des frontières avec le Soudan du Sud et l’Éthiopie en raison du banditisme armé et de la violence transfrontalière.

Consultez l'onglet Sécurité pour plus de renseignements.

Le quartier d'Eastleigh à Nairobi - Évitez tout voyage non essentiel

Affaires mondiales Canada recommande d’éviter tout voyage non essentiel dans le quartier d’Eastleigh à Nairobi, où plusieurs attentats ont eu lieu récemment.

Consultez l'onglet Sécurité pour plus de renseignements.

Sécurité

Sécurité

Zones bordant la Somalie et une portion de la côte (voir l’avertissement)

Même si la frontière avec la Somalie est fermée, elle est poreuse et des milices ainsi que des groupes de bandits somaliens mènent des attaques transfrontalières contre des étrangers et des travailleurs humanitaires dans la région. Certaines de ces attaques, perpétrées au moyen d’engins explosifs improvisés, ont fait des morts et des blessés, notamment dans le camp de réfugiés de Dadaab, situé à 80 km de la frontière somalienne. La possibilité que de telles attaques se produisent dans la région demeure élevée. Les querelles entre clans somaliens rendent cette région instable et dangereuse. Les déplacements vers les régions du nord, près de la frontière somalienne, sont très limités en raison des efforts déployés par le Kenya pour restreindre les incursions somaliennes et le trafic d’armes.

Le 2 avril 2015, une attaque à Garissa University College a fait au moins 140 morts et plusieurs autres blessés.

Les logements en bord de mer et les embarcations au large de la côte sont particulièrement vulnérables aux attaques de pirates. Depuis juin 2014, des groupes d’hommes armés ont attaqué plusieurs endroits sur la côte du compté de Lamu, faisant au moins 85 morts.

Quartier d’Eastleigh à Nairobi (voir l’avertissement)

On signale de vives tensions dans le quartier d’Eastleigh à Nairobi, où plusieurs explosions ont eu lieu depuis la fin novembre 2012. Bon nombre de personnes ont été tuées ou blessés.

Mombasa

On signale occasionnellement des manifestations violentes et des émeutes à Mombasa, y compris, suite à l’assassinat d’un responsable religieux éminent, le 1er avril 2014.

Il y a eu plusieurs attaques à Mombasa depuis 2013, possiblement perpétrées par des groupes terroristes. Des étrangers ont été ciblés dans certaines de ces attaques. On ne peut écarter la possibilité que d’autres attaques soient perpétrées. Faites preuve de vigilance, évitez les grands rassemblements, surveillez les médias locaux et suivez les conseils des autorités locales.

Nord du Kenya

Certaines zones situées au nord de l’axe Kitale-Samburu-Garissa, au nord du Kenya, sont considérées dangereuses. La menace constante que représente le terrorisme se combine à divers conflits régionaux, tribaux et claniques concernant les terres, le bétail et l’eau. Faites-vous accompagner d’une escorte armée pour vous rendre dans cette région ou pour en sortir. Les postes de police locaux offrent des escortes armées, et il est recommandé de les contacter avant d’entreprendre un voyage dans cette région. Évitez de vous éloigner des lieux touristiques et de vous déplacer après la tombée de la nuit.

Ouest du Kenya

Des conflits intertribaux se sont produits dans les environs du mont Elgon, dans l’ouest du Kenya. Si vous décidez de voyager dans cette région, soyez sur vos gardes et consultez les médias locaux.

Terrorisme

Il existe une menace terroriste élevée partout au Kenya, y compris à Nairobi et à Mombasa. La police kényane a émis un communiqué recommandant une vigilance accrue à Nairobi et dans les aires balnéaires des régions côtières de Mombasa et de Malindi en raison du risque d’attentats terroristes.

Des groupes terroristes régionaux, y compris certains associés à al Quaeda et à al-Shabaab, continuent de proférer des menaces, notamment contre les intérêts occidentaux au Kenya. Des attentats terroristes ont été perpétrés dans des endroits achalandés, y compris dans des lieux de culte. Depuis le milieu de l’année 2013, le groupe al-Shabaab a démontré son intention  de et sa capacité à perpétrer des attentats terroristes de plus en plus fréquents et sophistiqués dans la région. Un attentat terroriste pourrait être perpétré à tout moment dans des endroits fréquentés par les expatriés et les voyageurs, tels que les ambassades occidentales, les établissements de l’ONU, les restaurants, les bars, les cafés, les centres commerciaux, les marchés, les hôtels, les centres de villégiature, les gîtes pour safaris, les écoles internationales, les lieux de culte, les aéroports et les autres plaques tournantes du transport. Les secteurs à grande concentration d’immeubles gouvernementaux comme le Central Business District de Nairobi pourraient aussi être ciblés. Il pourrait s’agir d’opérations-suicide, d’attentats à la grenade ou à l’arme à feu, d’attaques dans des véhicules ou en bordure des routes au moyen d’engins explosifs improvisés, ou d’attaques ciblant l’aviation civile ou les navires près de ports kényans.

Soyez extrêmement vigilant dans les endroits achalandés. Évitez les boîtes de nuit, ne fréquentez pas les commerces pendant les heures de pointe et tenez-vous à l’écart des lieux très fréquentés. Faites preuve d’une grande prudence lorsque vous circulez sur des routes très achalandées de même qu’aux intersections près des lieux que fréquentent les expatriés, particulièrement aux heures de pointe.

Soyez particulièrement vigilant lors des fêtes religieuses et autres célébrations publiques, car il est arrivé que des militants profitent de ces occasions pour organiser des attentats. Les autorités kenyanes indiquent qu’al-Shabaab pourrait mener un attentat au Kenya pendant le Ramadan.

Faites preuve de beaucoup de prudence si vous assistez à des événements sportifs tels que des matchs de soccer. Évitez les endroits publics qui diffusent ces matchs, comme les bars d’amateurs de sport, les boîtes de nuit et les restaurants. Évitez aussi les transports publics, y compris les taxis, pour vous rendre à ces événements et pour en revenir.

Criminalité

Le taux de criminalité est élevé dans la plupart des régions du Kenya, particulièrement dans les principales villes que sont Nairobi, Mombasa et Kisumu ainsi que dans les stations balnéaires sur la côte. On signale une augmentation marquée de la criminalité à Nairobi depuis 2014, notamment des détournements de voiture, des cambriolages de domicile et des enlèvements commis en plein jour, même dans des endroits habituellement considérés comme sûrs. Les crimes mineurs tels que les vols de sac à l’arraché et les vols qualifiés et les vols commis par des pickpockets se produisent.

À Nairobi, il faut faire preuve d’une extrême prudence dans les quartiers de Kibera, Kasarami, Mathare et Eastleigh.

La vieille ville de Fort Jésus à Mombasa connait le même taux de criminalité qu’ailleurs à Mombasa pendant le jour, mais celui-ci augmente grandement la nuit, notamment le risque de vols, attaques et petite criminalité.

Des malfaiteurs et des escrocs se font parfois passer pour des employés d’hôtel, des policiers ou des représentants du gouvernement. Lorsque vous quittez votre chambre d’hôtel, verrouillez la porte et accrochez la pancarte « ne pas déranger ». Placez vos objets de valeur sous clé. Évitez à tout prix de circuler à pied ou en voiture après la tombée de la nuit et soyez sur vos gardes lorsque vous circulez à pied pendant le jour. Ne faites pas étalage de richesse et ne gardez pas d’importantes sommes d’argent sur vous. On signale régulièrement des cas de lynchage, où des individus suspectés d’avoir commis un acte criminel sont agressés par la foule avant l’arrivée de la police.

Aéroports

Des touristes ont  été la cible de détournements de voitures, de vols qualifiés et d’enlèvements en se rendant ou en arrivant des aéroports internationaux de Nairobi et de Mombasa. Si vous arrivez à l’un de ces aéroports, n’utilisez que les services de compagnies de transport réputées ou de taxis officiels. Soyez particulièrement si vous vous déplacez seul.

N’échangez pas d’argent dans les aires publiques de l’aéroport. On signale des cas de vol de passeport dans l’aire d’embarquement à l’aéroport international Jomo Kenyatta (JKIA). À l’aéroport, les bagages enregistrés peuvent faire l’objet de vol. Rangez vos objets de valeur dans vos bagages à main verrouillés. Soyez sur vos gardes dans tous les aéroports.

Manifestations

Des manifestations en lien avec les élections de 2017 se produisent à travers le pays. Il y a eu des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre qui ont fait des victimes. Évitez les manifestations et les rassemblements, conformez-vous aux instructions des autorités locales et surveillez les médias locaux.

Sécurité des femmes

Les femmes qui voyagent seules doivent être particulièrement vigilantes, car des attaques avec agression sexuelle sont souvent signalées, y compris contre des étrangères, et ce, même si la municipalité de Nairobi fait une campagne de sensibilisation contre le viol. Voir Voyager au féminin : La sécurité avant tout, qui renferme des conseils à l’intention des voyageuses canadiennes.

Organisations non gouvernementales (ONG)

Des cas de fraudes, de menaces et de mauvais traitement de la part du personnel local ont été signalés par des étrangers bénévoles au sein d’ONG locales. D’autres bénévoles ont été laissés en plan lorsque les ONG illégitimes pour lesquelles ils travaillaient ont fermé leurs portes.

Si vous comptez faire du bénévolat au sein d’une ONG au Kenya, vous devriez communiquer avec le Conseil national des ONG avant de prendre des engagements et avant de quitter le Canada, afin de vérifier l’authenticité de l’organisation pour laquelle vous voulez travailler. Toutes les ONG au Kenya sont légalement tenues de s’enregistrer auprès du Conseil national des ONG, un organisme d’autoréglementation non partisan.

Pour vous informer sur les permis que vous devez obtenir pour travailler dans une ONG ou pour faire du bénévolat, consultez l’onglet Exigences d’entrée et de sortie.

Transport routier

Les véhicules roulent à gauche. La vitesse excessive, les comportements imprévisibles des conducteurs, la conduite en état d’ébriété (surtout la nuit), les routes mal éclairées et les véhicules mal entretenus constituent des dangers. De plus, les routes sont en mauvais état. Durant la saison des pluies, certaines routes non asphaltées peuvent devenir impraticables, même en véhicule tout terrain. Conduisez de façon préventive et gardez les portières verrouillées et les fenêtres fermées en tout temps. La route qui relie Nairobi et Mombasa est embouteillée et peut être dangereuse pour les touristes qui ne sont pas habitués aux conditions routières locales. Envisagez plutôt de prendre l’avion. Pour vos déplacements par la route entre le Kenya et la Tanzanie, n’empruntez que les postes frontaliers autorisés.

Transports publics

Les transports publics ne sont pas sûrs. Des autobus interurbains ont été impliqués dans de nombreux accidents graves. Les minibus (matatus) sont généralement mal entretenus et conduits de façon irresponsable. De plus, ils ne sont généralement pas assurés. On a signalé des détournements de matatus lors desquels des passagers ont été victimes de vol. N’utilisez que les taxis d’hôtel et confirmez le prix de la course à l’avance. Les trains ne sont pas sûrs et sont régulièrement en retard.

Le traversier Likoni (qui relie Likoni à Mombasa) n’est pas sûr à cause du niveau élevé de criminalité, des foules incontrôlées, du manque de formation en matière de sécurité des employés, de bris fréquents et de manque d’entretien. Ces dernières années, il y a eu une augmentation du nombre d’incidents par lesquels des bousculades ont fait plusieurs blessés parce que le traversier était trop chargé. Évitez de prendre ce traversier.

Transport aérien

Le gouvernement du Canada n’évalue pas la conformité des compagnies aériennes intérieures étrangères aux normes internationales de sécurité de l’aviation civile. Consulter Vols intérieurs dans d’autres pays pour plus de détails.

Parcs nationaux, safaris et réserves

La plupart des voyageurs qui visitent les parcs nationaux, les réserves fauniques et les autres destinations touristiques populaires au Kenya ne rencontrent aucun problème. Cependant, des touristes étrangers, dont des Canadiens, ont déjà été victimes d’actes criminels, parfois violents. Soyez vigilant en tout temps. Évitez de faire du camping seul ou sans l’assistance d’un expert local.

On trouve de nombreuses installations touristiques à Nairobi, sur la côte, dans les parcs fauniques et les réserves naturelles, mais pas dans les régions proches des frontières avec le Soudan du Sud, la Somalie et l’Éthiopie.

Des visiteurs se rendant dans certaines réserves fauniques par la route ont été attaqués par des bandits armés. La route reliant Malindi et Lamu peut être dangeureuse. On a signalé quelques rares attaques ou vols contre des voyageurs sur les routes reliant Nairobi et les réserves fauniques de Masaï Mara, d’Amboseli, de Nakuru, de Tsavo et de la région du mont Kenya et d’Aberdares. Toutefois, il y a régulièrement des actes de piraterie routière, des vols qualifiés et des tentatives de vol sur la route principale qui relie Nairobi à la frontière tanzanienne, route qu’on emprunte aussi pour se rendre au parc national d’Amboseli au Kenya.

L’observation d’animaux sauvages comporte toujours un risque, particulièrement lorsqu’on le fait à pied ou à une distance rapprochée. Tenez‑vous toujours à une distance sûre quand vous observez des animaux sauvages et ne sortez pas de votre véhicule à moins qu’un guide professionnel ou un garde ne vous dise que vous pouvez le faire en toute sécurité. N’ayez recours qu’aux services de guides ou d’entreprises touristiques professionnels de bonne réputation. Respectez rigoureusement les règlements des parcs et les conseils des gardes.

La Fédération kényane du tourisme (Kenya Tourism Federation) exploite un Centre de sécurité et de communications qui fournit des renseignements à jour sur le tourisme et l’état des routes, ainsi qu’une aide en cas d’urgence. Vous pouvez obtenir de l’information en composant, à Nairobi, le +254 (0) 20‑6004-767 ou en envoyant un courriel à safetour@wananchi.com.

Piraterie

On signale des attaques perpétrées par des pirates dans les eaux côtières et parfois aussi plus loin au large. Les navigateurs devraient prendre les précautions qui s’imposent. Pour de plus amples renseignements, consultez le site Web Live Piracy Report (en anglais) de l’International Maritime Bureau.

Fraude

On signale fréquemment des tentatives de fraude au Kenya. Voir La fraude à l’étranger pour plus de détails.

Renseignements généraux en matière de sécurité

Les autorités locales procèdent de plus en plus souvent à des contrôles d’identité. Gardez votre passeport sur vous en tout temps et coopérez si l’on vous questionne.

Soyez sur vos gardes en tout temps et en tout lieu. Prenez les mesures de sécurité appropriées, particulièrement sur les routes qui relient le centre-ville aux quartiers résidentiels. Évitez de vous déplacer la nuit. On conseille aux victimes d’attaques de ne pas résister à leur agresseur. Suivez l’évolution de la situation locale, enregistrez-vous auprès du Service d’inscription des Canadiens à l’étranger et suivez de près les conseils que vous recevrez de ce service.

Exigences d'entrée et de sortie

Exigences d'entrée et de sortie

La décision de laisser entrer ou sortir les voyageurs étrangers appartient à chaque pays ou région. Les agents consulaires canadiens ne peuvent pas intervenir en votre nom si vous ne répondez pas aux exigences d’entrée ou de sortie. Les renseignements qui suivent à ce sujet ont été obtenus auprès des autorités kényanes et pourraient changer à tout moment. Les conditions d’entrée et de sortie propres au pays ou au territoire sont fournies dans cette page à titre de renseignement seulement. Même si tous les efforts voulus sont déployés pour fournir de l’information exacte, les renseignements que renferme la présente publication sont fournis « tels quels », sans garantie d’aucune sorte, explicite ou implicite. Le gouvernement du Canada n’assume aucune responsabilité et ne pourra être tenu responsable d’aucun préjudice en lien avec ces renseignements. C’est à vous qu’il incombe de vous informer auprès du haut‑commissariat de la République du Kenya pour des renseignements à jour.

Les titulaires de passeports officiels (spéciaux et diplomatiques) doivent consulter la page Voyages officiels car ils pourraient être assujettis à des exigences d'entrée différentes.

Passeport

Les Canadiens qui se rendent au Kenya doivent présenter un passeport qui sera valide pendant au moins six mois après leur arrivée au Kenya. Avant de partir, vérifiez les exigences de votre compagnie de transport en ce qui a trait à la validité des passeports, puisqu’elles peuvent être plus strictes que les règles d’entrée du pays.

Les détenteurs de passeports temporaires pourraient être soumis à des exigences d’entrée différentes. Informez-vous auprès des représentants diplomatiques pour obtenir des renseignements à jour.

Visas

Les Canadiens doivent être munis d’un visa pour se rendre au Kenya. Temporairement, il est possible d’obtenir un visa à l’arrivée à l’aéroport, ou on peut s’en procurer un sur le site Web eCitizen du ministère des Services d’immigration (en anglais seulement). Il est recommandé de se procurer un visa avant d’arriver au Kenya sur le site eCitizen. Les visas sont valides pendant trois mois et peuvent être prolongés en communiquant avec les autorités responsables de l’immigration une fois dans le pays.

Visa de touriste : exigé (voir exception ci-dessous pour enfants)
Visa d’affaires : exigé
Visa d’étudiant : exigé
Visa de transit : exigé
Permis de travail : exigé

Les enfants qui voyagent avec un parent et sont âgés de 16 ans ou moins n’ont pas besoin d’un visa pour visiter le Kenya.

Permis de travail

Au Kenya, il faut détenir un permis pour travailler bénévolement ou contre rémunération. Les personnes qui dérogent à ce règlement sont passibles d’une amende, d’une peine d’emprisonnement ou de l’expulsion, selon la nature de l’infraction.

Permis de travail pour les employés d’ONG

Les personnes qui envisagent de travailler pour une ONG locale peuvent obtenir l’aide du Conseil national des ONG pour obtenir un permis de travail, à condition de communiquer à l’avance avec le Conseil. En cas de changement d’employeur, le premier permis de travail n’est plus valide, et il faut présenter une nouvelle demande de permis pour travailler au sein d’une autre organisation.

Pour de plus amples renseignements sur les permis de travail, communiquez avec le haut‑commissariat du Kenya à Ottawa.

Les enfants et le voyage

Les enfants ont besoin de documents spéciaux pour visiter certains pays. Consulter Enfants pour plus de détails.

Fièvre jaune

Voir Santé pour connaître les exigences de ce pays relatives à la vaccination.

Les contrôles aléatoires de preuve d’immunisation contre la fièvre jaune sont de plus en plus fréquents au Kenya. Ayez toujours sur vous une copie de votre certificat de vaccination.

Santé

Santé

Conseils de santé aux voyageurs
Consultez un fournisseur de soins de santé ou visitez une clinique santé-voyage de préférence six semaines avant votre départ.
Vaccins

Vaccins administrés systématiquement

Assurez-vous que votre vaccination est à jour, peu importe votre destination de voyage.

Vaccins recommandés

Vous pourriez être à risque de contracter ces maladies évitables par la vaccination lors de votre voyage dans ce pays. Adressez-vous à votre professionnel de santé-voyage pour savoir si ces vaccins vous conviennent.

Grippe

La grippe saisonnière sévit partout dans le monde. La saison grippale est de novembre à avril dans l'hémisphère Nord, d'avril à octobre dans l'hémisphère Sud et elle dure toute l'année dans les tropiques. La grippe (influenza) est causée par un virus qui se transmet d'une personne à l'autre par la toux ou les éternuements ou par le contact avec des objets et surfaces contaminés. Faites-vous vacciner contre la grippe. Faites-vous vacciner contre la grippe.

Hépatite A

L'hépatite A est une maladie du foie qui se propage par la consommation d'eau ou d'aliments contaminés, ou par le contact avec une personne infectée. Tous les voyageurs qui se rendent dans des régions où il existe un risque de contracter l'hépatite A devraient être vaccinés.

Hépatite B

L'hépatite B est une maladie du foie qui se propage par le sang ou les autres liquides corporels. Tous les voyageurs qui pourraient y être exposés (rapports sexuels, traitement médical, partage d'aiguilles, tatouage, acuponcture ou exposition professionnelle) devraient être vaccinés.

Méningococcie

Ce pays se retrouve dans la "ceinture de méningite" africaine, une région où il y a plusieurs cas de méningococcie.  La méningococcie est une infection grave et parfois mortelle. Le risque est faible pour la plupart des voyageurs. Les voyageurs qui pourraient courir un risque élevé de contracter la maladie (ceux qui vivent ou qui travaillent avec la population locale, c'est-à-dire les professionnels de la santé, les personnes qui se rendent dans des zones surpeuplées ou qui participent à de grands rassemblements) devraient envisager de se faire vacciner.

Rage

La rage est une maladie fatale qui se transmet aux humains par une morsure, une griffure ou l'exposition à la salive d'un animal atteint de la rage. Les voyageurs qui comptent se rendre dans des régions où il existe un risque de contracter la rage et qui pourraient courir un risque élevé d'être exposés à la maladie (c'est-à-dire les personnes en contact étroit avec des animaux, les personnes pour lesquelles il existe un risque professionnel et les enfants) devraient envisager la possibilité de se faire vacciner.

Rougeole

La rougeole est une maladie virale qui est très contagieuse. Elle s'agit d'une maladie courante dans la plupart des régions du monde. Assurez-vous que votre vaccination contre la rougeole est à jour, peu importe votre destination de voyage.

Vaccination contre la fièvre jaune

La fièvre jaune est une maladie causée par un flavivirus qui se transmet par la piqûre d'un moustique infecté.

Les voyageurs se font vacciner soit parce qu'il s'agit d'une exigence pour entrer dans certains pays, soit parce qu'il est recommandé de le faire pour se protéger contre la fièvre jaune.

* Il est important de souligner que les exigences liées à l'entrée dans un pays pourraient ne pas correspondre à votre risque de contracter la fièvre jaune à cet endroit. Il est également recommandé de communiquer avec la mission diplomatique ou consulaire de la ou des destinations où vous comptez vous rendre pour vérifier s'il y a d'autres exigences d'entrée.
Risque
  • Il y a un risque de contracter la fièvre jaune dans ce pays.
Les exigences liées à l'entrée*
  • Une preuve de vaccination est exigée des voyageurs en provenance des pays où sévit la fièvre jaune.
Recommandation
  • La vaccination peut être recommandée selon votre itinéraire.
  • Il y a présentement une pénurie du vaccin de la fièvre jaune au Canada. Il est important que les voyageurs communiquent avec un Centre de vaccination contre la fièvre jaune désigné bien à l'avance de leur voyage pour assurer que le vaccin est disponible.
  • Discutez de vos plans, de vos activités et de vos destinations de voyage avec un professionnel de la santé.
  • Protégez-vous contre les piqûres d'insectes.
Eau/aliments

Maladies d'origine alimentaire et hydrique

Les personnes qui se rendent à n'importe quelle destination mondiale peuvent développer la diarrhée du voyageur en consommant de l'eau ou des aliments contaminés.

Dans certaines régions de l'Afrique de l'Est, l'eau et les aliments peuvent aussi être porteurs de maladies comme le choléra, la fièvre typhoïde, l'hépatite A et la schistosomiase. Faites attention à ce que vous mangez et buvez lorsque vous vous rendez en Afrique de l'Est. Rappelez-vous : N'ingérez rien qui n'ait été bouilli, cuit ou pelé!

Choléra

Le choléra est une maladie bactérienne qui se propage souvent par la consommation d'eau et d'aliments contaminés. Il cause la diarrhée et, dans les cas graves, il peut entraîner la déshydratation, voire la mort.

Le risque est faible pour la plupart des voyageurs. Les voyageurs les plus à risque sont ceux qui séjournent, travaillent ou habitent dans des régions où l'accès à des aliments salubres et à de l'eau potable est limité et les conditions de salubrité sont déficientes, ou dans des régions où des éclosions surviennent. Les voyageurs les plus à risque, devraient discuter avec un fournisseur de soins de santé des avantages à recevoir un vaccin.

Diarrhée du voyageur
  • La diarrhée du voyageur est la maladie qui touche le plus fréquemment les voyageurs. Elle se transmet par la consommation d'eau ou d'aliments contaminés.
  • Le risque de contracter la diarrhée du voyageur est accru dans les régions où les conditions de salubrité et d'hygiène sont déficientes. Faites attention à ce que vous mangez et buvez.
  • Le traitement le plus important contre la diarrhée du voyageur est la réhydratation (buvez beaucoup de liquides). Apportez des sels pour réhydratation orale lors de votre voyage.
Schistosomiase

La schistosomiase peut se transmettre aux humains par contact avec de l'eau douce contaminée par les douves (minuscules vers plats). Les oeufs du ver peuvent provoquer des maladies intestinales comme la diarrhée et des crampes ou des problèmes urinaires. Le risque est généralement faible pour la plupart des voyageurs. Évitez de nager dans les eaux douces (lacs, rivières, étangs). Il n'existe aucun vaccin contre la schistosomiase.

Typhoïde

La fièvre typhoïde est une infection bactérienne qui se transmet par la consommation d'eau ou d'aliments contaminés. Les jeunes voyageurs ainsi que les personnes qui se rendent dans des zones rurales, qui visitent des amis et des parents ou qui ont un système immunitaire affaibli pourraient courir un risque plus élevé de contracter l'infection. Si elles comptent se rendre dans des régions où il existe un risque de fièvre typhoïde, en particulier si elles se rendent à des endroits où les conditions d'hygiène sont mauvaises, les personnes qui courent un risque élevé de contracter la maladie devraient envisager la possibilité de se faire vacciner.


Insectes

Insectes et maladies

Dans certaines régions de l'Afrique de l'Est, certains insectes sont porteurs de maladies comme le chikungunya, la dengue, la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, la fièvre de la vallée du Rift, la fièvre jaune, la filiarose lymphatique, la leishmaniose, l'onchocercose (cécité des rivières), le paludisme, la trypanosomiase africaine (maladie du sommeil) et le virus du Nil occidental.

Il est recommandé aux voyageurs de prendre les mesures nécessaires pour se protéger contre les piqûres d'insectes.

Dengue
  • La dengue est présente dans ce pays. La dengue est une maladie virale qui peut provoquer des symptômes graves d'allure grippale. Dans certains cas, elle peut entraîner une fièvre dengue hémorragique qui peut être mortelle.
  • Le risque de contraction est plus élevé durant le jour, notamment au lever et au coucher du soleil.
  • Protégez­-vous contre les piqûres de moustiques. Il n'existe ni vaccin ni médicament qui protègent contre la dengue.

Paludisme

Paludisme

  • Il y a un risque de paludisme dans certaines zones de ce pays et/ou pendant une période particulière de l'année.
  • Le paludisme est une maladie grave et parfois mortelle qui se transmet par la piqûre d'un moustique infecté.  Il n'existe aucun vaccin contre le paludisme. 
  • Protégez-vous contre les piqûres de moustiques en recouvrant la peau exposée, en utilisant un insectifuge et en restant dans des endroits fermés et climatisés. Vous pouvez également traiter vos vêtements et affaires de voyage à l'insecticide et dormir sous une moustiquaire traitée à l'insecticide.
  • Des antipaludéens pourraient être indiqués, selon votre itinéraire et la période de l'année où vous vous rendez dans le pays. Consultez un professionnel de la santé ou rendez-vous dans une clinique santé-voyage de préférence six semaines avant votre départ pour vérifier quels sont vos besoins.

Animaux

Animaux et maladies

Les voyageurs doivent éviter tout contact avec les animaux, y compris les chiens, les singes, les serpents, les rongeurs, les oiseaux et les chauves-souris. Certaines infections, telles que la grippe aviaire ou la rage, sévissent dans certaines régions en Afrique de l'Est, et peuvent être transmises entre les humains et les animaux.


Personne à personne

Infections de personne à personne

Le fait de se trouver en présence de nombreuses personnes peut accroître le risque de certaines maladies. N'oubliez pas de vous laver les mains souvent et d'observer les règles d'hygiène lorsque vous toussez ou éternuez afin d'éviter de contracter le rhume, la grippe ou d'autres maladies.

Les infections transmissibles sexuellement (ITS) et le VIH se transmettent par contact avec du sang ou des liquides corporels; adoptez des pratiques sexuelles protégées.

Tuberculose

La tuberculose est une infection causée par une bactérie qui touche habituellement les poumons.

Pour la plupart des voyageurs, le risque de contracter la tuberculose est faible.

Les voyageurs qui pourraient courir un plus grand risque de contracter la tuberculose et qui doivent se rendre dans une région où il existe un risque de tuberculose devraient consulter un professionnel de la santé afin de déterminer quelles sont les mesures à prendre avant et après leur voyage.

Les personnes qui pourraient courir un plus grand risque sont celles qui se rendent ou qui travaillent dans une prison, un camp de réfugiés, un refuge pour sans-abris ou un hôpital, ou les voyageurs qui rendent visite à des amis ou à des membres de leur famille.

VIH

Le VIH (virus de l'immunodéficience humaine) s'attaque au système immunitaire de l'organisme et l'affaiblit, et donne lieu à une maladie chronique progressive appelée le SIDA (syndrome d'immunodéficience acquise).

Parmi les activités à risque élevé, on compte toutes celles où vous êtes en contact avec du sang ou des liquides organiques, c'est-à-dire des rapports sexuels non protégés, l'exposition à des seringues non stérilisées pour la prise de médicaments ou d'autres substances (par exemple, stéroïdes ou drogues) ou l'exposition à des aiguilles non stérilisées pour le tatouage, le perçage corporel ou l'acupuncture.


Services et établissements médicaux

On trouve de bons établissements médicaux à Nairobi, mais la qualité des soins de santé est variable dans le reste du pays.

À retenir...

La décision de voyager appartient entièrement au voyageur. Le voyageur est également responsable de sa propre sécurité.

Soyez bien préparé(e). Ne vous attendez pas à ce que les services médicaux soient les mêmes que ceux offerts au Canada. Apportez dans vos bagages une trousse de produits de santé pour le voyage, en particulier si vous vous rendez dans des zones éloignées des grands centres urbains.

Lois et coutumes

Lois et coutumes

Vous devez vous conformer aux lois locales. Consulter Arrestation et détention pour plus de détails.

Il est interdit de fumer dans tous les lieux publics. Les contrevenants sont passibles d’une lourde amende ou d’une peine d’emprisonnement. La vente et la consommation d’alcool dans les endroits publics font l’objet de restrictions sévères.

La possession d’ivoire, même sous la forme d’un bijou acheté à l’extérieur du Kenya, est formellement interdite. Les contrevenants s’exposent à l’arrestation,  à une amende très importante ou aux deux.

Il est illégal de détruire la monnaie kényane, même en petite quantité. Les contrevenants pourraient être arrêtés et condamnés à payer une amende.

Il est interdit de travailler bénévolement ou contre rémunération au Kenya sans détenir un permis de travail valide. Pour de plus amples renseignements sur les permis de travail, voir Exigences d’entrée et de sortie.

Pour obtenir un permis de port d’arme, il faut en faire la demande aux autorités locales avant d’entrer au pays. Les armes à feu sont strictement interdites dans les réserves fauniques et les parcs nationaux.

Les sanctions pour possession, usage ou trafic de stupéfiants sont sévères. Les personnes reconnues coupables de ces délits sont passibles de peines d’emprisonnement et de lourdes amendes. La possession de stupéfiants, y compris la marijuana, est passible d’une peine d’emprisonnement de 10 ans.

La possession de matériel pornographique est interdite.

Les personnes qui photographient des édifices officiels ou des ambassades peuvent être arrêtées et mises en détention.

Les lois du Kenya interdisent les actes sexuels entre personnes de même sexe. Les voyageurs LGBT devraient examiner soigneusement les risques d’un voyage au Kenya. Voir Homosexualité, bisexualité et transgendérisme pour plus de détails.

Le prosélytisme religieux est interdit.

Double citoyenneté

La double citoyenneté est légalement reconnue au Kenya. Cependant, les représentants du Canada pourraient être limités dans leur capacité à vous offrir des services consulaires si les autorités locales vous considèrent comme un citoyen Kenyan. Vous devriez toujours vous servir de votre passeport canadien valide pendant le voyage et toujours vous présenter aux autorités locales en tant que citoyen canadien afin de minimiser ce risque. Il vous faudra peut-être aussi voyager avec votre passeport Kenyan et le présenter pour des raisons légales, par exemple pour entrer dans le pays et en sortir (consulter l'onglet Exigences d'entrée et de sortie pour les exigences concernant les passeports). La citoyenneté est uniquement déterminée en fonction des lois nationales, et la décision de reconnaître la double citoyenneté revient entièrement au pays où vous vous trouvez lorsque vous cherchez à obtenir de l’aide consulaire. Veuillez consulter la page intitulée Voyager avec une double citoyenneté pour plus de détails.

Culture

Pendant le mois lunaire du ramadan (le neuvième mois du calendrier musulman), faites preuve de discrétion lorsque vous buvez, mangez ou fumez dans les lieux publics entre le lever et le coucher du soleil. En 2017, le ramadan doit commencer le 27 mai ou près de cette date.

Habillez-vous et comportez-vous avec bon sens et discrétion, particulièrement dans la région côtière où la majorité de la population est musulmane. Portez des tenues sobres, et respectez les traditions sociales et religieuses pour ne pas froisser les habitants.

Monnaie

La devise est le shilling du Kenya (KES). Bon nombre de banques et d’hôtels acceptent les devises étrangères. Les notes d’hôtel sont généralement réglées en dollars américains. Les cartes de crédit sont acceptées presque partout. Les chèques de voyage, de préférence en dollars américains, peuvent être encaissés dans les banques, les hôtels et les bureaux de change. Les voyageurs qui apportent au Kenya une somme équivalant à 5 000 $ US ou plus doivent être munis de documents indiquant la source de cet argent et ce à quoi il est destiné. Il est possible de reconvertir les shillings du Kenya en devises étrangères dans les aéroports au moment du départ.

Catastrophes naturelles et climat

Catastrophes naturelles et climat

Saisons des pluies

En règle générale, le Kenya connaît deux saisons des pluies : l’une s’étend d’octobre à novembre, et l’autre de la fin mars à la mi-juin. Les pluies abondantes sont susceptibles de causer des inondations soudaines et des glissements de terrain dans tout le pays. On a signalé des évacuations, des décès et des dommages causés aux infrastructures. Il arrive que de tels dommages nuisent à la prestation des services essentiels. Si vous résidez ou voyagez dans les régions touchées, faites preuve de prudence, surveillez les nouvelles et les bulletins météorologiques, et suivez les conseils des autorités locales.

Volcans

L’activité volcanique de la région peut entraîner des catastrophes naturelles. Suivez attentivement tous les avertissements donnés.

Assistance

Assistance

Services locaux

Services d’urgence

Il n’y a pas de numéro centralisé pour accéder aux services d’urgence. Faites des recherches et ayez avec vous les coordonnées de la police et des installations médicales locales.

Aide consulaire

Nairobi - Haut-commissariat du Canada
AdresseLimuru Road, Gigiri, Nairobi, KenyaAdresse postaleC.P. 1013, Nairobi, 00621, Kenya,Téléphone254 (20) 366-3000Télécopieur254 (20) 366-3900Courrielnrobi.consulaire@international.gc.caInternetwww.canadainternational.gc.ca/kenya/ServicesDes services de passeport sont offertsTwitter@HCCanKenya

Pour obtenir une aide d'urgence en dehors des heures de bureau, téléphonez au haut-commissariat à Nairobi et suivez les instructions qui vous seront données. Vous pouvez aussi appeler le Centre de surveillance et d’intervention d’urgence à Ottawa au 613-996-8885.


La décision de voyager relève de vous seul. C’est également à vous seul qu’il incombe de veiller à votre sécurité personnelle à l’étranger. Le gouvernement du Canada prend très au sérieux la sécurité des Canadiens à l’étranger et diffuse des renseignements fiables et à jour dans ses Conseils aux voyageurs. Les présents Conseils aux voyageurs ont pour but de vous fournir des renseignements à jour afin que vous puissiez prendre des décisions éclairées. Dans le cas d’une urgence à grande échelle, tous les efforts seront faits pour vous aider. La capacité du gouvernement du Canada d’offrir de l’aide peut cependant être restreinte.

Consulter Les urgences à grande échelle à l’étranger pour plus d’information.

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