Études de casétudes de cas sur la propriété intellectuelle Vos étudiants sont les innovateurs de demain!Vous pouvez leur montrer la voie en leur offrant l'occasion d'apprendre comment protéger et commercialiser leurs idées. Nos études de cas représentent des situations pratiques et réalistes auxquelles vos étudiants feront probablement face dans leur vie académique ou professionnelle. Qu'ils poursuivent une carrière en recherche, en affaires, en génie ou autre discipline, ils tireront grandement profit de ces nouvelles connaissances.
BioCellProtection et commercialisation des cellules souchesKim Wilson a obtenu une prestigieuse bourse postdoctorale afin de travailler dans un laboratoire de recherche sur les cellules souches à une université canadienne. Ses travaux mènent à des découvertes importantes pour traiter les traumatismes médullaires. Même si Kim souhaite commercialiser une partie de ses recherches, elle veut s'assurer qu'elle n'empêche pas d'autres chercheurs d'avoir accès à ses résultats.
Samantha Changà qui appartient l'idée?Samantha Chang est une étudiante qui travaille au laboratoire d'un professeur durant l'été. Dans le cadre d'un projet de contrôle des procédés pour un fabricant automobile, Samantha conçoit et met en oeuvre une idée qui a le potentiel de générer des revenus additionnels considérables pour le client. Celui-ci souhaite maintenant protéger cette trouvaille par brevet.
Jean LaflècheComment mettre en marché une inventionJean Laflèche est un jeune entrepreneur diplômé d'un collège communautaire. Il possède et exploite une entreprise de recyclage du verre. Il a conçu une machine, le SuperTrieur, qui trie le verre par couleur avant qu'il ne soit broyé et recyclé. L'invention de Jean permet de réduire les coûts de triage du verre et devrait contribuer à accroître les profits de son entreprise. Il aimerait commercialiser son invention et s'adresse au bureau de recherche appliquée de son ancien collège pour obtenir des conseils sur la protection et la commercialisation de son invention.
AutoPaintMarques de commerces et noms de domaineFrank, un marchand de tableaux canadien achète une machine qui peint des toiles comme si elles avaient été créées par de véritables artistes. Le nom de la machine est AutoPaintTM. Il décide d'enregistrer le nom de domaine canadien autopaint.ca et vend de nombreuses toiles produites par la machine, sans tenir compte d'une clause du contrat de Charlie, le vendeur, selon laquelle les oeuvres créées par cette machine ne peuvent être vendues.
Essayez-les!Vous aurez accès à la série complète à : www.opic.ic.gc.ca/etudesdecas Vous trouverez :
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