F1 - Commerce international
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Vertical Specialization and Gains from Trade
Il est généralement reconnu que la segmentation des processus de production est une caractéristique importante de l’économie mondiale actuelle. Ce fractionnement du processus de production en plusieurs étapes a été incorporé à de nombreux modèles quantitatifs modernes du commerce, et il a été démontré qu’il produit des gains additionnels importants sur le plan du commerce international. -
An Improved Equation for Predicting Canadian Non-Commodity Exports
Nous estimons deux nouvelles équations des exportations hors produits de base qui incorporent trois changements importants par rapport à l’équation qui est présentement utilisée à la Banque. -
Global Real Activity for Canadian Exports: GRACE
Les chiffres des exportations canadiennes tendent à décevoir depuis la Grande Récession. L’apparent décalage entre les exportations observées et la mesure de la demande étrangère utilisée par la Banque du Canada a constitué une incitation à rechercher une autre mesure. -
Producer Heterogeneity, Value-Added, and International Trade
Les nouveaux modèles types de commerce extérieur représentent l’hétérogénéité des producteurs sur le plan de la productivité totale des facteurs. Dans cet article, nous adaptons le modèle de commerce international d’Eaton et Kortum (2002) pour prendre en compte les biens intermédiaires échangeables et l’hétérogénéité des producteurs dans la productivité à valeur ajoutée. -
Conférence commémorative Paul-Storer – L’intégration du commerce transfrontalier et la politique monétaire
Dans le présent document, nous étudions le lien entre l’intégration du commerce transfrontalier et la politique monétaire. Nous examinons d’abord les indications d’un accroissement du degré d’intégration en Amérique du Nord induit par la libéralisation des échanges et concluons que, si des inférences structurelles robustes restent difficiles à cerner, la preuve recueillie est suffisante pour inciter les banques centrales à prendre la question au sérieux. -
A New Measure of the Canadian Effective Exchange Rate
La compétitivité du Canada sur les marchés internationaux est de plus en plus débattue depuis quelques années dans un contexte où l’évolution des exportations canadiennes ne répond pas aux attentes et où le pays perd des parts de marché. Ce document d’analyse cherche à déterminer si l’indice de taux de change effectif du dollar canadien (TCEC) qu’utilise la Banque du Canada est encore une mesure fidèle de la compétitivité des entreprises canadiennes à l’étranger. -
Exchange Rate Fluctuations and Labour Market Adjustments in Canadian Manufacturing Industries
Nous examinons le lien entre les variations du taux de change et celles du facteur travail dans les industries manufacturières canadiennes. Notre analyse est fondée sur un modèle dynamique de la demande de travail, et notre méthode économétrique met à profit une approche en deux étapes pour données de panel, afin d’estimer les relations de cointégration. -
An Update - Canadian Non-Energy Exports: Past Performance and Future Prospects
Face au recul persistant des parts de marché du Canada aux États-Unis, Binette, de Munnik et Gouin-Bonenfant (2014) ont étudié l’évolution individuelle de 31 catégories de biens non énergétiques canadiens. -
Decomposing Movements in U.S. Non-Energy Import Market Shares
Les parts de marché aux États-Unis des pays exportateurs de produits non énergétiques ont beaucoup évolué depuis 2002, affichant une volatilité variable au cours de trois sous-périodes : avant-crise (2002-2007), crise (2007-2009) et après-crise (2009-2014). Dans cette étude, les auteurs analysent les parts de marché de quatre des principaux partenaires commerciaux des États-Unis (Canada, Mexique, Chine et Japon). -
Revisiting National Border Effects in Foreign Trade in Goods of Canadian Provinces
Un important corpus de travaux empiriques fait ressortir la présence d’effets frontière considérables qui ont influé sur le commerce extérieur des provinces canadiennes tout au long des années 1980 et 1990. Dans la présente étude, l’auteur réexamine l’analyse de ces effets, et en élargit la portée, en estimant, à partir de données plus récentes (2001-2010), les effets frontière dans le cas des échanges avec des États américains ainsi qu’avec des pays de l’Union européenne (EU) et du G20.