RMR 2013-2014 Renseignements supplémentaires

Rapport ministériel sur le rendement (RMR) 2013‑2014 liens rapide

Stratégie ministérielle de développement durable

Cibles relatives aux achats écologiques

En conformité avec la section 7 de la Politique d'achats écologiques (PGP), le CNRC a planifié des initiatives d'approvisionnement écologique précises afin d'atténuer les impacts sur l'environnement.

Initiative 1 : Postes de travail informatiques et ordinateurs portables

D'ici le 31 mars 2015, le CNRC mettra en œuvre une initiative de consolidation et d'uniformisation des achats de postes de travail informatiques et d'ordinateurs portables en utilisant les instruments d'achats regroupés de Travaux publics et services gouvernementaux Canada (TPSGC), ce qui réduira les quantités de produits d'emballage et les besoins de transport, et bonifiera les mesures d'achats écologiques déjà intégrées aux instruments d'achats de TPSGC.

Mesure de rendement État d'avancement du rendement
Cible : 50 % d'ici le 31 mars 2014 Cible atteinte
Pourcentage de réduction du nombre d'achats individuels. On a réduit les achats individuels d'au moins 50 %, atteignant ainsi l'objectif visé.

Le CNRC a mis en œuvre un programme de cycle de vie aux fins d'acquisition de tous les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portatifs; il fournit des précisions sur les normes communes en matière de matériel, l'achat en grandes quantités et le processus de commande Web libre-service. L'achat consolidé en grandes quantités d'ordinateurs de bureau et portatifs normalisés a permis de réaliser des économies de 14 % au cours de l'exercice 2013-2014. Ces mesures visent à améliorer l'efficacité et l'efficience de la prestation de services de TI, et à réduire les déchets.

Initiative 2 : Appareils ou photocopieurs multifonctionnels

D'ici le 31 mars 2015, le CNRC aura mis en œuvre une norme pour tous les appareils ou photocopieurs multifonctionnels loués qui devront répondre à des critères précis d'efficacité énergétique.

Mesure de rendement État d'avancement du rendement
Cible : 30 % d'ici le 31 mars 2014 Possibilité d'amélioration
Pourcentage d'appareils écoénergétiques achetés au moyen de l'instrument d'achat de TPSGC. 25 %

Le CNRC a lancé un projet de développement afin de normaliser la location et l'achat d'imprimantes et de photocopieurs multifonctionnels. Bien que l'on soit actuellement aux premières étapes du processus de retrait progressif des anciens appareils en vertu de leur plan respectif de gestion du cycle de vie, on a établi des normes et mis des personnes-ressources en place à l'aide de l'outil d'approvisionnement de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC).

Initiative 3 : Papier

D'ici le 31 mars 2015, 80 % du papier à photocopieur acheté annuellement contiendra au moins 30 % de matières recyclées (déchets avant consommation ou fibre de postconsommation).

Mesure de rendement État d'avancement du rendement
Cible : 50 % d'ici le 31 mars 2014 Cible dépassée
Pourcentage de papier pour photocopieur acheté contenant au moins 30 % de matières recyclées. 100 %

Tout le papier à imprimante acheté contenait au moins 30 % de matières recyclées.

Objectifs relatifs aux processus et aux mesures de contrôle de la formation, de l'évaluation du rendement des employés et de la gestion

En conformité avec la section 7 de la Politique d'achats écologiques (PGP), le CNRC a établi des cibles en matière de formation, d'évaluation du rendement des employés et des processus et contrôles de gestion, en ce qui a trait à la prise de décisions liées à l'approvisionnement.

Formation pour les employés désignés

À partir du 31 mars 2013, 80 % de tous les nouveaux titulaires de carte d'achat et de tous les nouveaux gestionnaires du matériel recevront dans un délai d'un an un encadrement et une formation qui leur permettront de se familiariser avec les principes de la gestion du matériel et avec les pratiques exemplaires en matière d'achat et d'achats écologiques.

Mesure de rendement État d'avancement du rendement
Cible : 80 % d'ici le 31 mars 2014 Cible dépassée
Progrès accomplis par rapport à la mesure de rendement pour l'exercice visé 100 %

Tous les membres du personnel nouveaux et actuels ont suivi le cours Achats écologiques (C215), offert par l'École de la fonction publique du Canada, et ont les compétences pour évaluer les décisions en matière d'approvisionnement en fonction des considérations relatives aux achats écologiques. On a ajouté une section sur les achats écologiques à la formation offerte aux détenteurs de carte d'achat pour tous les nouveaux candidats. On s'est engagé à mettre à jour la formation en fonction d'un cycle de renouvellement.

Évaluation du rendement des employés pour les gestionnaires et les administrateurs fonctionnels responsables de la gestion des achats et du matériel.

D'ici le 31 mars 2015, des considérations environnementales seront intégrées aux évaluations annuelles de rendement de tous les responsables fonctionnels des approvisionnements et de la Gestion du matériel.

Mesure de rendement État d'avancement du rendement
Cible : 100 % d'ici le 31 mars 2014 Cible atteinte
Pourcentage de postes clés répertoriés qui ont inclus aux évaluations de rendement des considérations environnementales liées aux initiatives d'écologisation des achats. 100 %

Tous les membres du personnel d'approvisionnement ont suivi une formation à l'aide du matériel fourni par l'équipe écologique de TPSGC. On a informé les membres du personnel d'approvisionnement du CNRC de la disponibilité de l'équipe écologique de TPSGC pour les aider au sujet des considérations environnementales des critères d'évaluation de la demande de propositions, au besoin. Tous les membres du personnel nouveaux et actuels ont suivi le cours Achats écologiques (C215), offert par l'École de la fonction publique du Canada, et ont les compétences pour évaluer les décisions en matière d'approvisionnement en fonction des considérations relatives aux achats écologiques. On a ajouté une section sur les achats écologiques à la formation offerte aux détenteurs de carte d'achat pour tous les nouveaux candidats, et l'on s'est engagé à mettre à jour la formation des détenteurs de carte d'achat actuels en conséquence. Les réunions du personnel comprenaient souvent des points suivis à l'ordre du jour sur des considérations environnementales liées à l'approvisionnement. Tout cela a favorisé la sensibilité et l'incitation à évaluer efficacement les décisions en matière d'approvisionnement en fonction de la Politique d'achats écologiques.

Les processus et les mesures de contrôle.

D'ici le 31 mars 2015, dans le cadre du processus clé de gestion des approvisionnements, le Comité d'examen des contrats (CEC) intégrera des considérations environnementales à son processus décisionnel pour 70 % des achats de produits applicables révisés annuellement.

Mesure de rendement État d'avancement du rendement
Cible : 70 % d'ici le 31 mars 2014 Cible dépassé
Pourcentage des dossiers d'achats applicables pour lesquels des considérations environnementales ont été prises en compte pour les produits applicables faisant l'objet d'un examen du CEC. 100 %

Le Comité d'examen des marchés (CEM) a tenu des réunions hebdomadaires pour examiner et approuver les marchés désignés dans son mandat. Pour chacun des marchés, on devait répondre à la question « A-t-on traité les considérations relatives aux achats écologiques ou environnementaux? » dans la liste de vérification du CNRC que l'agent d'approvisionnement devait remplir et que les membres du Comité devaient signer. Cet engagement a permis de s'assurer que les agents d'approvisionnement et le Comité intégraient les éléments relatifs à l'approvisionnement écologique lorsqu'ils devaient le faire.

Renseignements sur les programmes de paiements de transfert

Programme de paiements de transfert 1 :  Programme d'aide à la recherche industrielle (PARI-CNRC)

Date de mise en œuvre : 1er avril 1965

Date de clôture : Continu

Description : Ce programme contribue à la croissance et à la prospérité des petites et moyennes entreprises (PME) canadiennes en stimulant l'innovation, l'adoption et/ou la commercialisation de produits, de services et de procédés de haute technologie au Canada. Cela se fait par 1) la prestation de conseils techniques et commerciaux connexes et de services de maillage facilités par un réseau de professionnels travaillant sur le terrain dans tout le pays; 2) des contributions à coûts partagés fondées sur le mérite; et 3) des contributions visant à soutenir l'embauche de diplômés postsecondaires. Le programme utilise les fonds des paiements de transfert suivants : Contributions du PARI aux entreprises; Contributions du PARI à la Stratégie emploi jeunesse; Contributions aux organisations; et Contributions du PARI pour le Programme pilote d'adoption de la technologie numérique.

Résultat stratégique : Les entreprises canadiennes prospèrent grâce à l'innovation technologique

Résultats obtenus : Les résultats sur le rendement sont inscrits dans le Rapport ministériel sur le rendement de 2013-2014 du CNRC.

Programme (en millions de dollars)

  Dépenses réelles
2011-2012
Dépenses réelles
2012-2013
Dépenses prévues
2013-2014
Autorisations totales
2013-2014
Dépenses réelles
2013-2014
Écart
Total des contributions 90,4 173,2 184,9 195,5 192,5 7,6
Total pour le programme 90,4 173,2 184,9 195,5 192,5 7,6

Commentaires sur les écarts : Le montant des dépenses prévues de 184,9 M$ représente les autorisations mentionnées dans le Budget principal des dépenses. Les autorisations totales de 195,5 M$ englobent les dépenses prévues et les crédits additionnels au titre des contributions reçus dans le cadre du processus du budget supplémentaire des dépenses compensés par les transferts vers d'autres programmes de paiements de transfert du CNRC. La différence nette entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est de 7,6 M$, et elle s'explique par des transferts de 9,5 M$ du crédit des dépenses de fonctionnement au crédit des contributions, des transferts de 1,4 M$ en provenance d'Environnement Canada (EC) et du ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement (MAECD) au titre du programme de la Stratégie emploi jeunesse (SEJ), moins des crédits de 3,0 M$ de l'enveloppe budgétaire du PARI-CNRC venus à échéance en fin d'exercice. La conversion d'une somme de 9,5 M$ du crédit de fonctionnement en crédit de contributions est imputable à des retards dans les embauches.

Vérification effectuée ou prévue : La vérification continue du programme a commencé et a pris fin en 2013-2014. Les activités de vérification approfondies feront l'objet d'une évaluation dans le cadre du plan de vérification axée sur le risque du prochain exercice financier.

Évaluation réalisée ou prévue : Une évaluation du PARI-CNRC s'est terminée en 2012-2013. La prochaine évaluation devrait prendre fin en 2017-2018.

Programme de paiements de transfert 2 :  TRIUMF

Date de mise en œuvre : 1er avril 1977

Date de clôture : 31 mars 2015

Description : TRIUMF est le laboratoire national canadien de physique nucléaire et de physique des particules, et l'un des principaux investissements du Canada dans les grandes infrastructures scientifiques. Il offre des installations de recherche de classe mondiale en physique subatomique, sciences de la vie, médecine nucléaire et sciences des matériaux. Un consortium de onze universités canadiennes est propriétaire de TRIUMF et en dirige le fonctionnement avec la collaboration de six universités partenaires. TRIUMF reçoit des crédits fédéraux sous la forme d'allocations quinquennales versées en vertu d'un accord de contribution conclu avec le CNRC, qui joue auprès de TRIUMF un important rôle de supervision et d'intendance au nom du gouvernement du Canada.

Résultat stratégique : Infrastructure de R-D pour une économie du savoir novatrice.

Résultats obtenus : TRIUMF a obtenu un financement de 222 300 000 $ pour la période de 2010 à 2015 de son nouveau plan. En plus de favoriser les retombées scientifiques, l'installation TRIUMF a servi de plateforme à la formation de la prochaine génération de scientifiques et d'ingénieurs, et à l'élaboration de matériel et de services de haute technologie pour soutenir la croissance économique et l'innovation.

Généralités

  • TRIUMF a fourni de la formation et des occasions d'emploi à 30 étudiants diplômés, à 68 étudiants de premier cycle et à cinq étudiants du secondaire. TRIUMF, en collaboration avec deux instituts canadiens, a également lancé l'École d'été tripartite sur les particules élémentaires (TRISEP). Quelque 45 étudiants et chercheurs au niveau postdoctoral (17 de l'extérieur du Canada) ont participé à cette première édition de l'école d'été internationale, qui leur a permis d'interagir avec des experts et d'apprendre de ces chefs de file.
  • Quelque 477 personnes ont visité le laboratoire TRIUMF dans le cadre d'activités scientifiques, opérationnelles et commerciales.
  • 251 articles ont été publiés dans des revues scientifiques.

Science nucléaire et physique des particules

  • Le Advanced Rare IsotopE Laboratory (ARIEL), qui appartient à la prochaine génération d'installations de production d'isotopes, a été construit selon le calendrier et le budget établis et des permis d'occupation ont été accordés.
  • TRIUMF et le Variable Energy Cyclotron Centre (VECC), son laboratoire frère en Inde, ont signé une entente de partenariat de 10 000 000 $, qui prévoit la fabrication et l'exploitation d'un cryomodule en Inde. La fabrication de ce cryomodule conçu par TRIUMF sera confiée à une entreprise canadienne, favorisant ainsi la capacité de cette dernière à s'implanter sur un nouveau marché.

Médecine nucléaire

  • Un consortium dirigé par TRIUMF a fait l'annonce d'un record mondial en matière de production semi-régulière de l'important isotope médical Tc-99m à l'aide de cyclotrons médicaux conventionnels, notamment un appareil fabriqué au Canada et actuellement utilisé. Ce résultat permet d'envisager la possibilité que les cyclotrons existants répondent à la demande en matière de Tc-99m dans les principales régions métropolitaines qui comptent quelques millions d'habitants.
  • TRIUMF a produit et recueilli des isotopes astatine-209 à l'aide du séparateur et accélérateur d'isotopes ISAC (Isotope Separator and Accelerator), faisant la démonstration de la production « d'isotopes pour la médecine » à partir de cet emplacement. On a utilisé les isotopes astatine-209 dans le cadre d'une étude sur l'imagerie fantôme qui a démontré l'efficacité des techniques d'isolement et de séparation. Cette procédure est un projet pilote pour les études qui utiliseront l'isotope frère, astatine-211, dans des recherches cliniques visant à étendre son utilisation de l'imagerie au traitement du cancer.

Autre

  • L'hélium est un élément rare et une ressource limitée. TRIUMF a terminé l'installation d'un nouveau système de récupération et de liquéfaction de l'hélium d'une valeur de 1500 000 $. Ce système permet de récupérer pratiquement tout l'hélium provenant des expériences en sciences des matériaux, et de réaliser des économies de 350 000 $ par année. Achevé grâce à un investissement considérable de Kou Enerugi Kenkyu Kiko ou KEK, un organisme de recherche sur les accélérateurs à haute énergie au Japon, ce système est également essentiel à l'installation Ultra Cold Neutron (UCN), qui nécessite de grandes quantités d'hélium liquide.

Programme (en millions de dollars)

  Dépenses réelles
2011-2012
Dépenses réelles
2012-2013
Dépenses prévues
2013-2014
Autorisations totales
2013-2014
Dépenses réelles
2013-2014
Écart
Total des contributions 44,0 44,0 44,3 44,3 44,3 -
Total pour le programme 44,0 44,0 44,3 44,3 44,3 -

Vérification effectuée ou prévue : Étant donné le faible niveau de risque, aucune vérification n'est prévue. Les activités de vérification feront l'objet d'une nouvelle évaluation dans le cadre de l'élaboration du plan de vérification axé sur les risques du prochain exercice.

Évaluation réalisée ou prévue : Une évaluation de la contribution du CNRC à TRIUMF a été réalisée en 2013-2014.

Programme de paiements de transfert 3 : Programme des observatoires astronomiques internationaux

Date de mise en œuvre : 1978

Date de clôture : Continu

Description : L'astronomie s'est mondialisée. En effet, en raison de l'augmentation des coûts des observatoires de pointe et de la rareté des sites d'observation idéaux, on constate actuellement une tendance à la collaboration internationale pour le financement des grands projets qui mèneront à l'avancement des connaissances et à une meilleure compréhension de l'Univers.

En collaboration avec d'autres organismes étrangers, le CNRC contribue financièrement à la gestion et au fonctionnement des observatoires terrestres situés à l'étranger et de leurs installations connexes, comme le Télescope Canada-France-Hawaii (TCFH, mis en service en 1979), le Télescope James-Clerk-Maxwell (TJCM, 1987), les télescopes jumeaux Gemini (Gemini, 1993) et l'Atacama Large Millimeter/sub-millimeter Array (ALMA, 2008). Le CNRC participe également à la supervision et à l'orientation de ces installations et de leurs capacités de recherche.

Les accords internationaux en vertu desquels ces observatoires sont gérés portent sur de longues périodes et prévoient le versement de cotisations précises pour appuyer les travaux préalables à la construction, la construction comme telle, le fonctionnement et l'entretien, les améliorations apportées aux immobilisations (p. ex., le développement de nouveaux instruments astronomiques et la mise à niveau des installations) et le déclassement des observatoires terrestres internationaux et de leurs installations connexes. Ils comprennent aussi des engagements à appuyer la communauté des utilisateurs partenaires de manière à assurer une utilisation équitable et progressive des observatoires. Le CNRC participe à la gouvernance de ces installations internationales au nom des milieux canadiens de la recherche en astronomie et leur offre un soutien approprié qui prend, entre autres, la forme de services perfectionnés de gestion de données et d'instruments. Grâce à la contribution financière du CNRC et à d'autres contributions en nature du Canada, les milieux canadiens de l'astronomie bénéficient d'un accès au mérite à ces installations et du soutien approprié.

Résultat stratégique : Infrastructure de R-D pour une économie du savoir novatrice.

Résultats obtenus : 

  • En 2013, le Centre canadien de données en astronomie (CCDA) a fourni à environ 6 100 astronomes professionnels plus de 22,4 millions de fichiers individuels correspondant à 920 036 téraoctets de données,.
  • Plus de 440 utilisateurs ont eu accès à la part du Canada dans quatre télescopes internationaux.
  • Plus de 25 % des astronomes qui ont présenté une demande d'utilisation du TCFH, duTJCM et des télescopes jumeaux Gemini étaient des étudiants et des chercheurs de niveau postdoctoral, illustrant ainsi l'accès dont bénéficient des étudiants et des chercheurs postdoctoraux compétents à ces télescopes.
  • Les utilisateurs ont publié plus de 420 documents scientifiques en fonction des données obtenues dans le cadre de l'utilisation du TCFH, du TJCM et de l'observatoire Gemini. Soixante-cinq autres documents scientifiques fondés sur les données obtenues à l'aide de l'Atacama Large Millimeter/sub-millimeter Array (ALMA) ont été publiés. La demande d'accès aux télescopes par des astronomes est demeurée élevée, à en juger par les taux d'inscription élevés aux télescopes internationaux du Canada (TCFH : 1.51; TJCM : 3.19; Gemini : 1.96; ALMAFootnote 1 4.05). Un taux d'inscription élevé de (le rapport entre la durée d'accès demandée et la durée d'accès disponible d'un télescope donné) est perçu par la communauté de l'astronomie comme un indicateur fiable de la pertinence et de la demande des observatoires et de leurs instruments.

Programme (en millions de dollars)

  Dépenses réelles
2011-2012
Dépenses réelles
2012-2013
Dépenses prévues
2013-2014
Autorisations totales
2013-2014
Dépenses réelles
2013-2014
Écart
Total des contributions 10,2 10,7 10,0 11,3 11,3 1,3
Total pour le programme 10,2 10,7 10,0 11,3 11,3 1,3

Commentaires sur les écarts : Le montant des dépenses prévues de 10,0 M$ représente les autorisations mentionnées dans le Budget principal des dépenses. Les autorisations totales de 11,3 M$ englobent les dépenses prévues et les crédits additionnels de 1,3 M$ reçus dans le cadre du processus du budget supplémentaire des dépenses et d'un transfert interne. Plus précisément, une somme de 1,0 M$ puisée dans le crédit de fonctionnement a été convertie en contribution au portefeuille Infrastructure scientifique nationale et une somme de 0,3 M$ a été transférée du crédit Subventions et contributions (S et C) du CNRC au financement des programmes. L'écart de 1,3 M$ s'explique par la différence entre le montant des dépenses réelles et celui des dépenses prévues, et découle de l'augmentation des autorisations. Les besoins de financement de ce programme sont fondés sur les obligations qui découlent d'accords internationaux en vertu desquels les besoins financiers des observatoires internationaux sont approuvés par le conseil d'administration de chaque observatoire (dont le Canada est membre). Ces besoins fluctuent d'une année à l'autre. Il a été convenu de gérer cette incertitude en affectant une somme fixe du crédit Subventions et contributions reflétant environ 90 % des coûts annuels prévus de 10,0 M$, puis de procéder ensuite aux redressements nécessaires dans le cadre du processus d'établissement du budget supplémentaire des dépenses et par des transferts internes. Conformément à l'autorisation donnée par le Conseil du Trésor, les augmentations de coûts sont normalement financées par la réaffectation de sommes provenant des services votés inclus au crédit Dépenses de fonctionnement du CNRC.

Vérification effectuée ou prévue : Étant donné le faible niveau de risque, aucune vérification n'est prévue. Les activités de vérification feront l'objet d'une nouvelle évaluation dans le cadre de l'élaboration du plan de vérification axé sur les risques du prochain exercice.

Évaluation réalisée ou prévue : On a réalisé une évaluation en 2011-2012, et la prochaine devrait se terminer en 2016-2017.

Note de bas de page

Table note 1

Le Canada participe à l’ALMA dans le cadre d’un partenariat nord-américain; par conséquent, ce ratio reflète la demande nord-américaine.

Return to footnote 1 referrer

Programme de paiements de transfert 4 : Programme pilote d'adoption de la technologie numérique (PPATN)

Date de mise en œuvre : 1er décembre 2011

Date de clôture : 31 mars 2014

Description : Le PPATN est un programme pilote visant à accélérer l'adoption des technologies numériques au sein des PME en offrant des conseils et un soutien financier aux PME et aux organismes, dans le cadre de la Stratégie sur l’économie numérique. Par le biais du PPATN, le PARI-CNRC est directement impliqué dans le soutien et l’adoption des technologies numériques au sein des PME. Le PARI-CNRC offre aussi une aide aux PME de la façon suivante :

  • en leur fournissant des services consultatifs;
  • en leur fournissant du financement sous forme de contributions pour mener à bien des projets portant sur l'adoption des technologies numériques;
  • en encourageant les collèges et d'autres organismes à offrir aux PME une expertise dans le domaine de l'adoption des technologies numériques.
  • et à collaborer avec d’autres organisations gouvernementales à la de toutes les ressources disponibles dans le cadre de la Stratégie sur l’économie.

Le PPATN s'appuie sur la capacité technologique existante du PARI-CNRC, incluant ses structures, ses processus et ses ressources, mais vise également des entreprises non traditionnelles. Les connaissances acquises dans le cadre de ce programme pilote seront utiles aux entreprises susceptibles d'adopter des technologies numériques et continueront d'avoir une incidence positive sur le potentiel de croissance de l'économie canadienne.

Résultat stratégique : Les entreprises canadiennes prospèrent grâce à l'innovation technologique

Résultats obtenus : Dans le cadre du Programme pilote d’adoption des technologies numériques (PPATN), on a versé 31 600 000 $ (89 % des fonds) à 442 PME, ce qui leur a permis d’entreprendre 578 projets novateurs en matière d'adoption et de mise en œuvre des technologies numériques, et de soutenir 4 940 emplois. Le montant maximal pouvant être versé à une PME était fixé à 99 999 $ par projet, et la contribution moyenne (70 202 $) correspondait à 28 % du coût total d’un projet d’adoption des technologies numériques. Par conséquent, les PME ont obtenu 2,58 $ pour chaque dollar provenant du financement du PPATN. Au total, 23 projets du PPATN ont été menés avec des collèges, et 33 autres projets avec d’autres organisations.

La prestation du programme servira à la conception de la prochaine génération d’initiatives d’adoption des technologies. Dans l’intervalle, les technologies numériques adoptées grâce au PPATN continueront d’avoir une incidence positive sur le potentiel de croissance de la productivité de l’économie canadienne.

Programme (en millions de dollars)

  Dépenses réelles
2011-2012
Dépenses réelles
2012-2013
Dépenses prévues
2013-2014
Autorisations totales
2013-2014
Dépenses réelles
2013-2014
Écart
Total des contributions 2,3 24,2 34,7 34,8 34,8 0,1
Total pour le programme 2,3 24,2 34,7 34,8 34,8 0,1

Commentaires sur les écarts : Le montant des dépenses prévues de 34,740 M$ représente les autorisations mentionnées dans le Budget principal des dépenses. Les autorisations totales de 34,778 M$ englobent les dépenses prévues plus des crédits additionnels de 38 000 $ financés par un transfert interne. Ce transfert a été effectué à même les autorisations du CNRC au titre des subventions et contributions ainsi que dans le cadre des autorisations de dépenses totales approuvées pour le PARI. La différence entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est de 38 000 $ et elle s'explique par les autorisations de dépenses approuvées pour ce programme. Tous les crédits consacrés au PPATN ont été engagés et leur montant se situe à l'intérieur de la limite fixée par les crédits parlementaires globaux de 68,3 M$ octroyés au cours de la période de trois ans.

Vérification effectuée ou prévue : Étant donné le faible niveau de risque, aucune vérification n'est prévue

Évaluation réalisée ou prévue : Aucune évaluation n'est prévue.

Programme de paiements de transfert 5 : Programme canadien des accélérateurs et des incubateurs (PCAI)

Date de mise en œuvre : 1er octobre 2013

Date de clôture : 31 mars 2018

Description : Le Programme canadien des accélérateurs et des incubateurs (PCAI) offre du financement sur une période de cinq ans sous forme de contributions non remboursables afin d'établir une masse critique d'incubateurs et d'accélérateurs exceptionnels capables de créer des entreprises novatrices, à fort potentiel de croissance, qui offrent des occasions d'investissement supérieures très tôt dans leur développement. À l'appui des efforts du gouvernement pour renforcer le capital de risque au Canada, le Budget de 2013 a permis d'annoncer de nouvelles initiatives en complément du Plan d'action pour le capital de risque et pour promouvoir le système de capital de risque élargi. Le PCAI fait partie de ces initiatives.

Résultat stratégique : Les entreprises canadiennes prospèrent grâce à l'innovation technologique

Résultats obtenus : À la suite du Plan d'action économique de 2013 et de l'annonce d'un plan d'action sur le capital de risque mené par Finances Canada, on a demandé au PARI-CNRC de mettre en œuvre le PCAI, un projet quinquennal à admission unique auquel on avait initialement affecté 60 000 000 $; cette somme a été augmentée à 100 000 000 $ dans le Budget de 2014. En 2013-2014, le PARI-CNRC a conçu et mis en œuvre le programme, en collaboration avec Finances Canada et Industrie Canada. On a reçu et examiné 90 demandes de financement dans le cadre du programme et on les a acheminées à un comité d'experts formé en vertu du plan d'action sur le capital de risque. Le PCAI est maintenant prêt à verser les contributions de 2014-2015 aux candidats retenus, conformément aux recommandations du comité.

Program ($ millions)

  Dépenses réelles
2011-2012
Dépenses réelles
2012-2013
Dépenses prévues
2013-2014
Autorisations totales
2013-2014
Dépenses réelles
2013-2014
Écart
Total des contributions s.o. s.o. s.o. 6,9 0,0 0,0
Total pour le programme s.o. s.o. s.o. 6,9 0,0 0,0

Commentaires sur les écarts : Dans le Budget de 2013, le gouvernement annonçait l'octroi d'une somme de 60 M$ sur cinq ans pour aider les incubateurs et accélérateurs d'entreprises du Canada offrant un rendement exceptionnel ou ayant un potentiel élevé à élargir la gamme de services offerts aux entrepreneurs. Une présentation au Conseil du Trésor a été approuvée à cette fin le 26 septembre 2013. On y prévoyait l'attribution d'une somme de 57,0 M$ sur cinq ans au CNRC afin de lancer le Programme canadien des accélérateurs et incubateurs (PCAI). Les autorisations totales de 6,9 M$ pour l'exercice 2013-2014 reflètent les autorisations fournies dans le cadre du processus du budget supplémentaire des dépenses. Étant donné le très long processus d'examen et d'approbation du PCAI, et comme l'identité des bénéficiaires recommandés du financement n'a pas été connue avant mars 2014, il a été impossible de verser les crédits de 6,9 M$ au titre des contributions pendant l'exercice 2013-2014, d'où l'écart nul pour ce programme. La différence de 6,9 M$ entre les dépenses réelles et les autorisations totales représente les crédits qui sont venus à échéance et qui ont été reportés aux exercices 2014-2015 et 2015-2016.

Vérification effectuée ou prévue : Étant donné le faible niveau de risque, aucune vérification n'est prévue. Les activités de vérification feront l'objet d'une nouvelle évaluation dans le cadre de l'élaboration du plan de vérification axé sur les risques du prochain exercice.

Évaluation réalisée ou prévue : Comme indiqué dans la présentation de base du programme au Conseil du Trésor, une évaluation de mi-exercice du programme devrait être achevée en 2015-2016, et une évaluation finale devrait être réalisée en 2017-2018.

Initiatives horizontale

Nom de l'initiative horizontale : Initiative de R-D en génomique (IRDG)

Nom du ou des ministères responsables : Conseil national de recherches du Canada (CNRC)

Programme de l'AAP du ministère responsable : Développement et progrès technologiques

Date de mise en œuvre : avril 1999

Date de clôture : mars 2019

Montant total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 393,8 millions de dollars

Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) : L'Initiative de R-D en génomique (IRDG) appuie la recherche en génomique menée au sein des ministères fédéraux, en favorisant principalement les mandats et les priorités de recherche des ministères et organismes participants. Les champs de recherche auxquels l'IRGD s'intéresse, en collaboration du secteur privé et du milieu universitaire, couvrent notamment la santé, l'innocuité des aliments, la sécurité alimentaire mondiale, la saine gestion des ressources naturelles, la gestion durable et concurrentielle du secteur agroalimentaire et la protection de l'environnement. Depuis la mise sur pied de l'IRDG en 1999, les ministères et organismes qui en bénéficient ont pu constituer une capacité de recherche solide dans ce domaine et leurs efforts ont largement contribué à réaliser les objectifs déclarés de l'Initative, comme le confirment deux études indépendantes (2006 et 2011) ainsi que les conclusions d'une vérification menée par le bureau du contrôleur général (2012). On trouvera des renseignements additionnels sur le site Web de l'IRDG.


Résultats partagés : Une stratégie de mesure du rendement a été élaborée pour cette initiative en 2011. Elle a débouché sur deux retombées intermédiaires : 1) Les responsables des politiques et de la réglementation du gouvernement ont utilisé les résultats de la recherche pour appuyer les décisions en matière de réglementation, de politique et de gestion des ressources, et 2) Les intervenants des secteurs privé et public engagés dans le continuum de l'innovation au Canada ont adopté des outils et des processus innovateurs ou améliorés en utilisant les résultats de la recherche; de même que sur trois retombées à long terme : 1) une meilleure santé humaine au Canada, 2) une plus grande durabilité et une meilleure gestion des secteurs de l'environnement, de l'agriculture, de la foresterie et des pêches au Canada; et 3) une sécurité et une salubrité alimentaires accrues au Canada.

Structures de gouvernance : Un comité de coordination interministériel composé de SMA a été créé pour superviser la gestion et la coordination collectives de l'IRDG fédérale. Ce comité est présidé par l'organisme responsable (CNRC) et regroupe des sous-ministres de chaque organisme qui reçoit du financement, ainsi que des représentants de l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et des représentants invités d'Industrie Canada et de Génome Canada. Il est responsable de l'orientation stratégique générale de l'IRDG et de l'approbation des priorités en matière d'investissement. Il veille à ce que des mécanismes efficaces soient mis en place pour l'établissement des priorités au sein des ministères et des organismes, et à ce que les objectifs et les priorités du gouvernement soient pris en compte. Ce comité s'assure également que des principes de gestion communs sont mis en œuvre et que les collaborations entre les organismes sont encouragées dans la mesure où cela est possible et pertinent. Il se réunit généralement trois fois par année à l'invitation du président, et plus souvent si des besoins particuliers pour une prise de décisions le justifient.

Un groupe de travail interministériel (GTI) appuie les travaux du comité. Il est présidé par l'organisme responsable (CNRC) et regroupe des membres de la direction de tous les ministères et organismes participants, de l'ACIA et d'Industrie Canada. Le mandat de ce groupe de travail est de formuler des recommandations et de fournir des conseils stratégiques au Comité de coordination des sous-ministres adjoints (CCSMA) concernant l'établissement des priorités stratégiques et la gestion générale de l'IRDG. Le groupe de travail est responsable de fournir une orientation pour les activités de programme de l'IRDG liées à la prestation opérationnelle, à la planification de la mise en œuvre et à l'établissement des priorités d'investissement. Le groupe de travail soutient également les exigences en matière d'évaluation et de reddition de comptes associées à l'initiative. Il se réunit environ tous les deux mois, et plus souvent si des besoins particuliers pour des recommandations et des conseils le justifient, ainsi que pour élaborer et approuver le Rapport annuel sur le rendement de l'IRDG.

Une fonction de coordination, basée au CNRC, assure la coordination des programmes et fournit un soutien pour les communications, le réseautage et la promotion des programmes pour l'ensemble du CC SMA. Cela comprend le soutien au CC SMA et aux groupes de travail de l'IRDG, et des communications transparentes et efficaces aux ministères sur le cycle de planification, les exigences du processus, l'administration financière et les autres besoins en matière de gestion des projets, ainsi qu'un soutien pour la planification et la mise en œuvre des projets partagés interministériels. Cette fonction est aussi responsable de réaliser des études et des analyses qui servent à appuyer la détermination des priorités en matière de recherche pour l'ensemble de l'IRDG, et de fournir un soutien sur le plan de la gestion et de l'administration, de même qu'un soutien pour la gestion du rendement, la reddition de comptes, l'évaluation et les communications.

Partenaires fédéraux : Conseil national de recherches Canada (CNRC), Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), Environnement Canada (EC), Ministère des Pêches et des Océans (MPO), Santé Canada (SC), Ressources naturelles Canada (RNCan), Agence de la santé publique du Canada (ASPC), Instituts canadiens de recherche en santé (ICRS), Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA). En 1999-2000, les Instituts de recherche en santé du Canada (ICRS) ont reçu une allocation ponctuelle.

Points saillants du rendement

Partenaires fédéraux Programmes de l'AAP Activités/programmes associés Affectations totales (de la mise en œuvre à la clôture) 2013-2014 (en millions de dollars)
Dépenses prévues Dépenses réelles Résultats attendus Résultats des activités/programmes associés (en utilisant des indicateurs spécifiques)
CNRC Développement et progrès technologiques IRDG 108,5 4,8 4,8 Voir
noteVoir note 1
Voir note
Notes Voir note 1.1 and Voir note 3.2
CNRC Développement et progrès technologiques Priorités partagées 28,8 4,0 3,9 Voir
note Voir
note
2
Voir
note Voir
note
2.1
AAC Science, innovation et adoption Projet canadien de génomique des plantes cultivées (PCGPC) 108,5 4,8 4,7 Voir
note Voir
note
3
Voir
note Voir
note
3.1
MPO Biotechnologie et génomique Programme de R-D en biotechnologie et génomique aquatiques 16,5 0,7 0,7 Voir
note Voir
note
4
Voir
note Voir
note
4.1
EC Changements climatiques et qualité de l'air Application stratégique des technologies génomique dans le domaine de l'environnement (ASTGE) 18,6 0,8 0,8 Voir
note Voir
note
5
Voir
note Voir
note
5.1
SC Politique du système de santé canadien IRDG 59,1 1,6 1,7 Voir
note Voir
note
6
See
Notes Voir
note
6.1
RNCan Innovation menant à de nouveaux produits et procédés IRDG 36,1 1,6 1,6 Voir
note Voir
note
7
Voir
note Voir
note
7.1
ASPC Sciences et technologie pour la santé publique IRDG 13,1 1,6 1,6 Voir
note Voir
note
8
Voir
note Voir
note
8.1
ACIA s.o. s.o. 3,6 0 0 Voir
note Voir
note
9
s.o.
ICRS s.o. s.o. 0,5 0 0 Voir
note Voir
note
10
s.o.
Total 393,3 19,9 19,8    

Notes

Note 1

Progrès commerciaux pertinents dans le domaine de la R-D en génomique liée à la santé humaine.

Return to table note 1 referrer

Note 1.1

Avec l'appui de l'IRDG, les chercheurs du Conseil national de recherches du Canada (CNRC) travaillent à l'élaboration d'une nouvelle génération de thérapie ciblée pour le traitement du cancer – les conjugués anticorps-médicaments – et collaborent activement avec des entreprises canadiennes (p. ex., AvidBiologics). Le CNRC et Zymeworks Inc., une entreprise canadienne de produits biothérapeutiques et un chef de file mondial des anticorps thérapeutiques, ont dévoilé leur nouvelle entente de collaboration stratégique aux fins de développement de produits biothérapeutiques. Cette entente triennale de plusieurs millions de dollars portera sur l'élaboration de thérapies novatrices pour le traitement du cancer et de maladies inflammatoires et auto-immunes. Jusqu'à présent, le CNRC a créé et caractérisé virtuellement plus de 6 000 protéines afin de répondre aux besoins de Zyneworks et d'accélérer grandement les thérapeutiques et l'élaboration de plateformes.

Return to table note 1.1 referrer

Note 2

Recherche interministérielle concertée pour avancer des priorités et des objectifs communs sur des sujets qui vont au-delà des mandats des ministères individuels et à laquelle l'ACIA peut participer.

Return to table note 2 referrer

Note 2.1

Le projet prioritaire commun intitulé Protection de la biodiversité canadienne et des échanges commerciaux contre les retombées des changements mondiaux par une augmentation de la capacité de surveiller les espèces étrangères envahissantes et de les mettre en quarantaine (le projet sur la quarantaine et les espèces envahissantes) est une initiative concertée de six ministères et organismes (AAC, l'ACIA, le MPO, EC, RNCan et le CNRC) visant à protéger le Canada contre l'introduction d'espèces indésirables grâce à la conception de protocoles novateurs et d'une base de données de référence sur les codes à barres d'ADN qui permettront d'anticiper l'introduction potentielle et d'intervenir rapidement. On a réalisé des progrès importants et constaté de nombreux cas de réussite, qui confirment les retombées économiques de ces recherches.

Le projet prioritaire commun sur l'amélioration de la salubrité des aliments et de l'eau au Canada par le biais d'une initiative fédérale intégrée en génomique (le projet sur la salubrité des aliments et de l'eau) est une initiative concertée de six ministères et organismes fédéraux (AAC, l'ACIA, EC, SC, le CNRC et l'ASPC) visant à traiter les pathogènes d'origine alimentaire et hydrique à l'aide des outils et de l'infrastructure nécessaires à l'application de méthodes axées sur la génomique aux fins d'isolement, de détection et de caractérisation des pathogènes, à partir de diverses matrices, en mettant l'accent sur les souches toxiques de colibacille (E. coli) et de Salmonella Enteritidis. On a réalisé des progrès considérables dans l'élaboration d'une validation de principe, de nouveaux outils de détection et de données séquentielles, qui sont désormais accessibles à tous les collaborateurs.

Return to table note 2.2 referrer

Note 3

Utilisation de la génomique pour augmenter la valeur des cultures de céréales, de canola et de légumineuses.

Return to table note 3 referrer

Note 3.1

La recherche en génomique a soutenu les cultures canadiennes grâce à l'élaboration d'outils et au développement de connaissances visant à accélérer l'amélioration génétique des plantes cultivées, à accroître leur résistance aux principales maladies et aux principaux insectes nuisibles, à réduire au minimum l'utilisation d'intrants comme l'azote, à soutenir la création de nouveaux bioproduits, et à améliorer la qualité nutritionnelle des semences. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de projets de recherche dans le secteur de l'agriculture.

Phytophthora sojae est une bactérie pathogène transmise par le sol qui cause des dommages importants aux cultures de soya et peut entraîner des pertes de production annuelles de l'ordre de 40 à 50 millions de dollars, au Canada, et de 2 milliards à l'échelle mondiale. Des chercheurs ont découvert que la capacité des pathogènes à infecter les plantes est transmise par un mécanisme appelé « silençage génique transgénérationnel ». Grâce au silençage génique, les diverses souches du pathogène peuvent éviter d'être détectées par les gènes de résistance précis d'une variété de soya. Cela a des répercussions importantes sur l'élaboration de démarches visant à contrôler le pathogène. On élabore de nouveaux essais de diagnostic rapides peu coûteux afin de déterminer les souches du pathogène présentes dans les champs de soya des producteurs et de choisir une variété de semences résistante.

L'azote est l'un des nutriments les plus limitatifs pour favoriser la croissance des plantes; la plupart du temps les agriculteurs ont recours aux engrais industriels pour améliorer la teneur en azote du sol, car la plupart des cultures agricoles ne peuvent récupérer l'azote directement dans l'air. Le processus industriel de production d'engrais azotés est extrêmement coûteux. De plus, on a déterminé que l'utilisation intensive d'engrais industriels constitue un problème environnemental grave à l'échelle mondiale. Cependant, un petit nombre de familles de plantes, principalement les légumineuses comme les pois et le soya, n'ont pas besoin d'azote industriel, car elles transforment l'azote atmosphérique en composés utilisables avec l'aide de certaines bactéries du sol. Des chercheurs ont découvert le mécanisme génétique qui permet aux légumineuses de produire leur propre azote utilisable. Cette connaissance essentielle ouvre la voie à des recherches approfondies sur le transfert de ce puissant mécanisme vers d'autres cultures alimentaires, en particulier les céréales, afin de réduire leur dépendance aux engrais industriels.

Return to table note 3.1 referrer

Note 3.2

Le programme-phare Amélioration du blé canadien, financé en partie par l'IRDG, constitue la contribution du CNRC à une alliance de recherche à grande échelle visant à améliorer le rendement, la viabilité et la rentabilité du blé canadien au profit des agriculteurs et de l'économie du Canada. L'Alliance canadienne du blé (ACB) englobe d'importantes contributions du CNRC, d'AAC, de l'Université de la Saskatchewan et de la province de la Saskatchewan. On a continué de réaliser des progrès sur le plan de l'amélioration des ressources génomiques afin d'accélérer la découverte de gènes : on a établi les séquences codantes de 43 variétés de blé du Canada afin de dresser un important inventaire des variations génétiques, et l'on a identifié les gènes candidats de certaines caractéristiques ciblées.

Return to table note 3.2 referrer

Note 4

Connaissances et conseils en génomique pour la gestion des pêches et des océans.

Return to table note 4 referrer

Note 4.1

La recherche en génomique soutient la gestion des pêches et la protection des poissons et des fruits de mer. On a respecté les étapes de la recherche (notamment l'élaboration et la mise à l'essai de marqueurs, le génotypage, le séquençage et la caractérisation du génome, l'optimisation et l'application du panel de microsatellite, l'analyse des profils d'expression génétique, et l'analyse statistique) de huit projets afin d'atteindre les objectifs suivants : identifier correctement les espèces (poissons de l'Arctique); comprendre la génétique et la structure des stocks d'espèces de poissons importantes sur le plan commercial et d'espèces en péril (sébaste, saumon de l'Atlantique, morue de l'Atlantique); détecter, surveiller et réduire au minimum l'impact des maladies (notamment le virus de la nécrose hématopoïétique infectieuse et le virus de l'anémie infectieuse du saumon); et utiliser des marqueurs génomiques aux fins de gestion des ressources aquatiques (crabe vert, pétoncle géant).

Return to table note 4.1 referrer

Note 5

Amélioration des applications des outils et des technologies génomiques d'Environnement Canada pour faciliter une prise de décisions responsable.

Return to table note 5 referrer

Note 5.1

La recherche en génomique appuie Environnement Canada dans la prise de décisions liées à l'évaluation des risques des produits chimiques, à la gestion de la faune et des oiseaux migrateurs, et à la surveillance des écosystèmes du Canada. Environnement Canada mène des recherches en génomique dans le cadre du programme Application stratégique des technologies génomique dans le domaine de l'environnement (ASTGE). Environnement Canada a mis au point des démarches et des outils génomiques afin d'atteindre les objectifs suivants : mieux déterminer et prévoir les répercussions de produits chimiques industriels hautement prioritaires aux fins d'évaluation environnementale, comme les retardateurs de flammes sur les espèces aquatiques et terrestres; surveiller les populations d'animaux sauvages exposées à des facteurs de stress comme les changements climatiques et l'exploitation des sables bitumineux; et mieux prévoir les répercussions cumulatives sur la santé de l'écosystème de divers facteurs de stress qui interagissent au fil du temps. On a également orienté la recherche sur l'élaboration d'un microréseau de crustacés afin d'évaluer l'innocuité des échantillons de produits chimiques que l'on songe à rejeter en mer, à l'appui des plans de surveillance des ministères et pour contribuer au Programme d'immersion en mer.

Return to table note 5.1 referrer

Note 6

Connaissances en génomique à l'avantage du système canadien de réglementation de la santé.

Return to table note 6 referrer

Note 6.1

La recherche en génomique a favorisé le développement de connaissances qui ont contribué à la réglementation sur les produits thérapeutiques et biologiques, l'innocuité des aliments et leur valeur nutritionnelle, les contaminants environnementaux et les produits de consommation. Par exemple, des outils ont été conçus pour mesurer l'effet de contaminants chimiques sur le développement d'allergies alimentaires. L'information à cet égard a été publiée et constitue une source utile pour les toxicologues et les organismes de réglementation dans le cadre de l'évaluation de nouveaux additifs et contaminants alimentaires (p. ex., agents colorants, nanomatériaux). Un processus de séquençage génomique intégral des pathogènes d'origine alimentaire a été mis en place afin de déterminer quelles propriétés pourraient constituer une menace pour la salubrité des aliments et de l'eau. En outre, les chercheurs ont mis au point des outils génomiques servant à évaluer les risques pour la santé des contaminants de l'environnement, ce qui a mené à la rédaction de lignes directrices à l'intention des organismes de réglementation. Les intervenants ont été informés des progrès réalisés à ce chapitre dans une publication des Hamner Institutes for Health Sciences. Les travaux de recherche en génomique ont également mené à la production de biomarqueurs candidats permettant d'identifier les cellules souches qui se transforment en cellules cancéreuses, et ont permis de déceler et de valider des biomarqueurs qui pourraient contribuer à la mise au point d'une méthode de mesure de l'efficacité des cellules souches dans le traitement du diabète. L'information à cet égard a été publiée dans plusieurs journaux internationaux et présentée à l'International Society for Cellular Therapy. Enfin, des outils génomiques ont été conçus pour évaluer les effets, sur la santé, des toxines fongiques et d'autres contaminants de l'environnement, ainsi que des produits chimiques utilisés dans la transformation des aliments.

Return to table note 6.1 referrer

Note 7

Connaissances génomiques pour la régénération et la protection des forêts.

Return to table note 7 referrer

Note 7.1

On a élaboré des marqueurs moléculaires pour les caractéristiques souhaitées des épinettes, la résistance à la rouille vésiculeuse du pin blanc, et l'identification des populations de la tordeuse des bourgeons de l'épinette aux fins d'amélioration des arbres ou de lutte antiparasitaire. On a identifié des gènes liés à la diapause et à l'antigel chez la tordeuse des bourgeons de l'épinette, ainsi qu'à la mue et à l'olfaction chez l'agrile du frêne, en vue de la production de produits antiparasitaires écologiques. On a poursuivi le séquençage de 50 des pathogènes fongiques les plus indésirables afin d'empêcher l'introduction d'agents pathogènes dans les forêts canadiennes. On a également examiné les gènes liés à la pathogénicité afin de détecter la signature de pathogénicité potentielle dans les pathogènes non identifiés.

Return to table note 7.1 referrer

Note 8

Connaissances en génomique pour renforcer les programmes et les mesures de santé publique liés aux maladies infectieuses et aux maladies chroniques.

Return to table note 8 referrer

Note 8.1

Des projets de recherche ont mis l'accent sur l'étude des agents pathogènes liés aux maladies infectieuses, la détection et le contrôle de ces pathogènes, l'identification des sous-populations vulnérables aux maladies chroniques, et le développement de la bio-informatique. Par exemple, on a mis au point des outils afin d'éviter et de gérer les agents pathogènes infectieux (notamment le VIH, le Mycobacterium tuberculosis, et les bactéries résistantes aux médicaments et d'origine alimentaire), et des recherches ont permis d'améliorer la compréhension des facteurs génétiques qui ont une influence sur le métabolisme du folate et la prédisposition au diabète.

Return to table note 8.1 referrer

Note 9

L'ACIA recevra des fonds à partir de l'exercice 2014-2015 jusqu'en 2018-2019 inclusivement. Aucun résultat attendu ne s'applique à l'exercice 2013-2014

Return to table note 9 referrer

Note 10

En 1999-2000, les ICRS ont reçu une allocation ponctuelle pour la création du Secrétariat de Génome Canada. Aucun résultat attendu ne s'applique à l'exercice 2013-2014.

Return to table note 10 referrer

Commentaires sur les écarts (le cas échéant) : L'écart de 100 000 $ correspond à la différence entre les dépenses réelles et les dépenses prévues, et est le résultat d'un nombre de déplacements inférieur aux prévisions initiales, à des prestations aux employés inférieures aux prévisions, et à l'utilisation de ressources existantes en matière de dépenses.

Personne-ressource : Roman Szumski, vice-président, Sciences de la vie, Conseil national de recherches du Canada, 613-993-9244.

Vérifications internes et évaluations

Vérifications internes (période visée par le rapport)

Titre de la vérification interne Type de vérification interne État Date d'achèvement
Vérification de la planification des investissements Gestion et contrôles financiers achevé 2013-2014
Vérifications continues du PARI-CNRC, gestion des dépenses et approvisionnement ou passation de marchés Gestion et contrôles financiers achevé 2013-2014
Cadre de vérification de la gestion du programme de recherche Gestion et contrôles financiers /Gouvernance achevé 2013-2014
Vérification de la gestion des installations Gouvernance en cours 2014-2015
Vérification de la sécurité opérationnelle Gouvernance en cours 2014-2015

Évaluations (période visée par le rapport)

Titre de l'évaluation Programme État Date d'achèvement
Vérification du Programme de la plateforme nord-américaine Services internes achevé 2012-2013
Évaluation du Plan d'action sur les sites contaminés fédéraux (PASCF – horizontal) Services internes achevé 2013-2014
Évaluation du portefeuille Construction du CNRC (sous-programme de l'AAP) Développement et progrès technologiques achevé 2013-2014
Évaluation du Programme pilote d'adoption de la technologie numérique Programme d'aide à la recherche industrielle (PARI) achevé 2013-2014
Évaluation du Centre de technologie des transports de surface du CNRC Développement et progrès technologiques achevé 2013-2014
Évaluation de la contribution du CNRC à TRIUMF Infrastructure scientifique et mesures achevé 2013-2014
Évaluation du portefeuille Technologies de l'information et des communications (sous-programme de l'AAP)Note de table1 Développement et progrès technologiques reporté 2017-2018
Évaluation du portefeuille Thérapeutiques en santé humaine (sous-programme de l'AAP) Développement et progrès technologiques en cours 2014-2015
Évaluation du portefeuille Science des mesures et étalons (sous-programme de l'AAP) Infrastructure scientifique et mesures en cours 2014-2015

Notes de bas de table

Note de bas de table

Cette évaluation a été reportée et remplacée par une autre évaluation de sous-programme, à la demande de la haute direction.

Retour à la référence de la note de bas de page 1

Réponse aux comités parlementaires et aux vérifications externes

Réponse aux comités parlementaires

Le CNRC s'est présenté devant les comités parlementaires à six occasions en 2013-2014.

  1. Devant le Comité sénatorial permanent des finances nationales sur l'examen des dépenses énoncées dans le Budget principal des dépenses de l'exercice financier se terminant le 31 mars 2014. Le CNRC était représenté par Bogdan Ciobanu, Michel Piché et Gail McLellan. Cette séance s'est déroulée le 17 avril 2013.
  2. Devant le Comité permanent des finances de la Chambre des communes, au sujet de l'examen du projet de loi C-4 intitulé Loi no 2 portant exécution de certaines dispositions du budget déposé au Parlement le 21 mars 2013 et mettant en œuvre d'autres mesures. Le CNRC était représenté par Patricia Mortimer et Dick Bourgeois-Doyle. Cette séance s'est déroulée le 18 novembre 2013.
  3. Devant le Comité sénatorial permanent des affaires sociales, des sciences et de la technologie, au sujet des sections 5, 10 et 11 de la partie 3 du projet de loi C-4 (Loi no 2 portant exécution de certaines dispositions du budget). Le CNRC était représenté par Patricia Mortimer. Cette séance s'est déroulée le 20 novembre 2013.
  4. Devant le Comité sénatorial permanent des peuples autochtones sur les dispositions relatives à la prévention des incendies des codes du bâtiment locaux et leur applicabilité aux réserves et aux collectivités éloignées. Le CNRC était représenté par Guy Gosselin et Philip Rizcallah. Cette séance s'est déroulée le 12 février 2014.
  5. Devant le Comité permanent de l'industrie, de la science et de la technologie de la Chambre des communes, sur le Budget supplémentaire des dépenses (C) de 2013-2014. Le CNRC était représenté par Gail McLellan. Cette séance s'est déroulée le 5 mars 2014.

Réponse au vérificateur général (y compris au commissaire à l'environnement et au développement durable)

Aucune vérification du rendement n'a été effectuée par le vérificateur général en 2013-2014.

Vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada ou le Commissariat aux langues officielles

Aucune vérification externe n'a été effectuée par la Commission de la fonction publique du Canada ni par le Bureau du commissaire aux langues officielles en 2013-2014.

Rapport sur les frais d'utilisation

Frais d'utilisation : Frais exigés pour le traitement des demandes d'accès à l'information déposées en vertu de la Loi sur l'accès à l'information

Type de frais : Autres biens et services

Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur l'accès à l'information

Date de la plus récente modification : 2014

Performance Standards : Réponse fournie dans les 30 jours suivant la réception de la demande. Ce délai peut être prolongé en vertu de l'article 9 de la LAI. Un avis de prolongation doit cependant être expédié dans les 30 jours suivant la réception de la demande. Le site Web du CNRC renferme d'autres renseignements sur les exigences de la Loi sur l'accès à l'information, les services offerts par le groupe de l'AIPRP en plus des rapports annuels que le CNRC présente au Parlement.

Résultats en matière de rendement : Le CNRC a reçu 42 demandes d'accès à l'information et 40 demandes de consultation d'autres ministères.

2013-2014 (en dollars) Années de planification (en dollars)
Prévision des revenus Revenus réels Coût total Exercice Prévision des revenus Coût total estimatif
500 210 148,338 2014-2015 500 275 000
2015-2016 500 275 000
2016-2017 500 275 000
Frais externes
Frais externes Norme de service Résultats en matière de rendement Consultation auprès des intervenants
2013-2014 ou avant
Matériaux de référence certifiés Trois (3) jours ouvrables entre la réception et l'expédition de la commande

On a expédié 86 % (464 sur 539) des commandes de matériaux de référence certifiés (MRC) de biotoxines dans les trois jours suivant la réception du bon de commande rempli par le client.

On a expédié 98 % (604 sur 617) des commandes de matériaux de référence certifiés organiques ou inorganiques dans les trois jours suivant la réception du bon de commande rempli par le client.

Les clients avaient accès aux formulaires de commentaires pour toutes les commandes, conformément au protocole normalisé. Aucun problème majeur n'a été cerné.
Vente des codes nationaux du bâtiment et d'autres documents Commandes traitées (expédiées) 1 à 14 jours après la réception de toute l'information requise On a expédié 97,8 % des commandes dans le délai visé de 14 jours. On a traité 5 233 commandes à partir de la boutique virtuelle, et l'équipe des ventes de publications en a vendu 856 manuellement. De ce nombre, il y avait 2 461 documents imprimés (13 593 documents papier au total), livrés au client (parmi ces documents, il y avait 82 copies, 19 transactions, échanges ou remboursements), et 3 628 documents électroniques (132 ont été renvoyés). De la mi-octobre à la mi-décembre, on a tenu une consultation publique sur 360 modifications proposées au Code. On a ainsi recueilli plus de 2 000 commentaires du public. Des comités permanents désignés examineront et traiteront ces commentaires au cours de leurs réunions du printemps 2014.
Frais de stationnement Délai de trois jours entre la demande et la remise des laissez-passer; surveillance continue des parcs de stationnement On a répondu à toutes les demandes de permis de stationnement en temps opportun, et l'on a assuré la surveillance régulière des emplacements. Le CNRC a publié, sur son intranet, sa politique en matière de stationnement ainsi que les tarifs approuvés, les lignes directrices, et les questions et réponses. Ces tarifs feront l'objet d'un examen au plus tard le 1er janvier 2015.