Foire aux questions

1. Sur quels motifs le CCRI s’est-il appuyé pour accueillir favorablement la demande de Radio-Canada pour la révision de sa structure syndicale?

Le Conseil a retenu les trois principaux éléments qui suivent pour arriver à sa conclusion:

  1. L’avènement de nouveaux outils de consommation et l’émergence de nouveaux concurrents dans un environnement de compressions budgétaires obligent la Société à mener ses activités dans un nouvel environnement de travail qui facilite l’intégration de multiples plateformes et l’accès rapide à la programmation.
  2. L’évolution technologique de la dernière décennie a eu des conséquences profondes sur les méthodes de travail.
  3. Les barrières juridictionnelles et les difficultés causées par le travail interunités : bien que le recours aux projets interunités ait pu servir de solution à court terme, ils ont aussi provoqué une multiplication de griefs juridictionnels. Les projets interunités ne sont donc pas une solution favorable au maintien de saines relations du travail. Le Conseil est d’avis que la réduction ou l’élimination des barrières juridictionnelles va permettre une intégration de fonctions plus efficace et va réduire la lourdeur administrative qu’engendre la structure actuelle des unités de négociation.

2. Puisqu’il y a deux unités syndicales, est-ce que cela signifie que ces unités seront composées de l’AR d’une part et du SCRC, du STARF-SCFP 5757 et du SCFP section locale 675, d’autre part?

Oui. L’AR demeurera telle que nous la connaissons présentement. D’autre part, les employés éligibles au vote ont choisi le Syndicat des communications de Radio-Canada (FNC-CSN) dans une proportion de 51,64 % pour les représenter.

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