Impact et rapports

Suivi de notre empreinte écologique et responsabilisation

Impact

Rapports

Impact

Immeubles

En réduisant notre empreinte écologique, nous réduisons la pression humaine sur l’écosystème. Au 31 mars 2014, le portefeuille immobilier de CBC/Radio-Canada comprenait 77 sites qui logent nos studios de production, infrastructures de transmission et bureaux.

Comme nous l’avons indiqué dans des rapports précédents, nous continuons de déployer notre stratégie visant à réduire l’empreinte globale de notre portefeuille immobilier. Par suite de la vente de sites dont nous étions propriétaires, de la conclusion d’ententes avec des locataires et de l’entrée en vigueur de nouveaux baux, nous sommes en transition à plusieurs endroits, notamment à Halifax, Sydney, Moncton et Rimouski. En raison de cette transition, seuls les sites actifs où travaillent des employés de CBC/Radio-Canada entrent dans le calcul de notre empreinte écologique globale. En 2013-2014, notre empreinte totale a diminué de 27 739 pieds carrés par rapport à 2012-2013.

Au 31 mars 2014, la division Transmission de CBC/Radio-Canada comptait 200 sites actifs appartenant à la Société, et nous avons réduit de 98 à 67 le nombre de sites inactifs dont nous sommes propriétaires. Ce projet pluriannuel a commencé par l’arrêt du fonctionnement de 607 émetteurs de télévision analogique le 31 juillet 2012.

La mise hors service de ces sites signifie que nous éliminerons de façon responsable les tours, antennes, émetteurs et immeubles installés sur le terrain. Au 31 mars, les activités de mise hors service étaient terminées à 360 sites de transmission.

Systèmes de refroidissement, systèmes de chauffage et groupes électrogènes

On utilise des groupes électrogènes pour alimenter, en cas de panne de courant, les sites de diffusion et de transmission de nos émissions dans les foyers canadiens, partout au pays.

En 2013-2014, CBC/Radio-Canada exploitait 180 groupes électrogènes. La capacité estimative totale de ces groupes électrogènes était de 24 994 kW, soit une augmentation de 3 311 kW par rapport à l’an dernier. Cette hausse est attribuable à deux nouveaux systèmes qui ont été installés en 2013-2014. De nouveaux systèmes sont installés pour remplacer notre infrastructure vieillissante par de nouvelles unités plus performantes. Les nouveaux groupes électrogènes, installés à Montréal et à Winnipeg, étaient nécessaires pour accroître la capacité de secours et répondre aux besoins des salles d’équipement informatique des centres de données. Nota : L’augmentation de la capacité ne signifie pas qu’il y a une augmentation de l’utilisation, mais plutôt que nous sommes à même de répondre aux exigences du système, en fonction des besoins.

Nos systèmes de climatisation et de chauffage maintiennent les lieux de travail à une température acceptable pour nos employés et nos équipements (de diffusion et de transmission).

Cette année, nous avons exploité 572 systèmes de refroidissement (comparativement à 604 en 2012-2013) et 59 systèmes de chauffage (comparativement à 52 en 2012-2013).

La capacité totale estimative de nos systèmes de refroidissement a augmenté de 9,8 pour cent, en raison de la mise à jour de nos stocks et de la révision des spécifications de l’équipement de refroidissement. Aucun changement majeur n’a été apporté à la capacité de climatisation de nos immeubles.

Réservoirs de stockage de produits pétroliers

Les réservoirs de stockage sont essentiels à nos principales activités. Ces réservoirs, qui sont utilisés pour stocker les produits du pétrole, alimentent nos systèmes de chauffage et les groupes électrogènes de secours, et nous permettent de demeurer en ondes en cas de panne de courant.

À titre de propriétaire et d’exploitant de réservoirs de stockage de produits pétroliers souterrains et hors-sol au Canada, CBC/Radio-Canada se conforme au Règlement sur les systèmes de stockage de produits pétroliers et de produits apparentés. Au total, 41 de nos réservoirs de stockage sont soumis à cette réglementation.

CBC/Radio-Canada utilise une méthode de gestion des risques afin de garantir la conformité des aires de transfert des produits ciblés. En 2013-2014, un incident relatif aux réservoirs de stockage a été signalé, à propos d’un ancien réservoir dont la présence a été observée sur un site ayant été mis hors service. Le réservoir d’origine n’appartenait pas à CBC/Radio-Canada.

Afin de prévenir proactivement la contamination des sols et des eaux souterraines, nous continuons d’améliorer des systèmes de réservoirs de stockage que nous possédons partout au pays. Au cours de la dernière année, la division Transmission a ramené de 190 à 172 le nombre de ses réservoirs, soit une réduction de plus de 36 000 litres de capacité. Les Services immobiliers comptaient, en 2013-2014, un total de 65 réservoirs en service, soit une augmentation de six réservoirs par rapport à 2012-2013. La capacité totale a ainsi augmenté de 36 159 litres, atteignant 223 305 litres. Pour l’ensemble de la Société, le nombre de réservoirs a été réduit de 250 à 237 et la capacité totale a affiché une baisse négligeable (0,01 pour cent).

Consommation d’énergie

Notre consommation d’énergie comprend la totalité de l’électricité, du gaz naturel, du mazout et de la vapeur utilisée par les installations de production de CBC/Radio-Canada.

En 2013-2014, la consommation d’énergie de nos immeubles a été de 141 742 948 équivalents kilowattheures (ekWh), soit une baisse de 1,8 pour cent par rapport à l’année précédente. Si l’on ajoute la consommation d’énergie totale de la division Transmission en 2013-2014, qui a été de 61 964 555 ekWh, notre performance globale montre une diminution de 4,68 pour cent. Cette réduction est principalement attribuable à la mise hors service de la télévision analogique, à la vente de sites de la division Transmission et à une réduction de la superficie occupée de notre portefeuille immobilier.

L’indice de consommation d’énergie moyen de nos installations de radiodiffusion est de 32,9 équivalents kilowattheures par pied carré, c’est-à-dire plus de 4,3 kWh par pied carré en deçà des points de référence établis par le Conseil du bâtiment durable du Canada. Comme pour tous les autres aspects environnementaux sous notre surveillance, nous continuerons de chercher des moyens de consommer le moins possible d’énergie.

Consommation d’eau

La consommation d’eau de CBC/Radio-Canada comprend l’eau qui se trouve dans les fontaines, les toilettes, les tours de refroidissement des installations de climatisation, etc. – essentiellement, tout ce qui, dans nos immeubles, est relié aux réseaux de distribution d’eau municipaux ou autres.

La consommation d’eau dans nos immeubles en propriété demeure meilleure que les points de référence standards de l’industrie établis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC), l’Association des biens immobiliers du Canada (REALpac) et la Building Owners and Managers Association (BOMA).

Cette année, la consommation d’eau totale estimée dans nos immeubles en propriété a diminué de 12 pour cent, passant de 78,6 à 69,3 litres par pied carré. Ce résultat s’explique surtout par une forte réduction de la consommation d’eau à CBC/Radio-Canada Montréal (baisse de 36 303 m3, ou de 21 pour cent). Toutefois, en raison d’une hausse des activités de production, ainsi que de l’arrivée de nouveaux locataires (pour lesquels les données de consommation d’eau ne peuvent être séparées pour des fins de comptabilisation) et de l’installation d’un robinet à régulation numérique de température dans la chambre de vapeur à CBC/Radio-Canada Vancouver, la réduction totale est négligeable; la consommation à CBC/Radio-Canada Vancouver, en fait, est passée de 52 à 115 litres par pied carré. Dans les autres installations, la consommation d’eau est comparable à celle de l’année financière précédente.

Nous nous efforçons toujours de minimiser les hausses de consommation d’eau, dans la mesure du possible, et cela se reflète clairement dans notre performance depuis 2011-2012.

Émissions atmosphériques – Infrastructure

Les émissions atmosphériques comprennent tout ce que nos installations émettent dans l’air, notamment les gaz d’échappement des véhicules, des groupes électrogènes, des systèmes de chauffage des immeubles, etc.

Les émissions atmosphériques totales des immeubles de CBC/Radio-Canada ont diminué de 9,54 pour cent par rapport à 2012-2013. Cette amélioration peut être attribuée à plusieurs initiatives d’économie d’énergie, notamment l’installation de lampes DEL dans des studios et des bureaux, ainsi qu’à une réduction globale de notre empreinte écologique.

Nos données ont été normalisées pour la dernière année financière et ont indiqué que, pour une autre année d’affilée, nos résultats sont favorables lorsqu’on les compare aux points de référence de la Building Owners and Managers Association (BOMA).

Émissions atmosphériques – Déplacements

Les émissions de dioxyde de carbone (CO2) ne se limitent pas aux seules émissions de nos immeubles et de nos véhicules. Dans le cadre des déplacements de nos employés, les moteurs des véhicules utilisés sont associés à l’émission de particules, de gaz et à des niveaux de bruit, qui ont également une incidence sur l’environnement. Nota : les émissions liées aux déplacements en avion, en train et en automobile varient selon la taille du véhicule de transport utilisé, le nombre de passagers et la distance parcourue.

Nous avons poursuivi en 2013-2014 notre analyse des émissions de dioxyde de carbone attribuables aux déplacements.

Les données, tirées de nos relevés de déplacements, révèlent que les émissions de CO2 liées aux déplacements ont augmenté en 2013-2014. Les résultats montrent des émissions totales de 5 914 533 kilogrammes (kg) de CO2 et comprennent une analyse des déplacements de courte, de moyenne et de longue distance, comme le résume le tableau qui suit. Ces valeurs ont été normalisées en fonction du nombre d’employés permanents à temps plein de CBC/Radio-Canada au 31 mars 2014 et indiquent des émissions de CO2 totales de 647,39 kg par employé, une augmentation de 16,9 pour cent par rapport à 2012-2013. Ce changement est attribuable à une augmentation du nombre total de kilomètres parcourus, particulièrement durant les vols long-courrier (p. ex., pour les Jeux olympiques et la Coupe du monde de la FIFA ).

Types de voyage Distance de déplacement CO2 total en kg 2012-2013 CO2 total en kg 2013-2014
Courte distance 0-499 km 317 611 356 029
Distance moyenne 500-1499 km 1 323 867 1 526 133
Longue distance 1500 km 3 378 608 4 032 370
Émissions totales de CO2* 5 020 086 5 914 533
* Le total suppose que les émissions de CO2 lors des déplacements par train sont équivalentes à celles des déplacements par avion.

Les émissions dues aux déplacements comprennent aussi celles associées à la location de véhicules pour les déplacements ou les besoins de la production. En 2013-2014, nous avons parcouru 500,66 km par véhicule loué, comparativement à 536,1 en 2012-2013. Cela équivaut à 113,75 kg de CO2 émis pour chaque location de véhicule au cours de l’année financière écoulée. Le léger écart observé peut être attribué au fait que nous avons changé de fournisseurs de véhicules de location en juillet 2013. Chaque fournisseur a sa propre façon de recueillir et d’analyser les données.

CBC/Radio-Canada est consciente qu’en raison de ses activités, elle ne peut éliminer les déplacements essentiels (p. ex. couverture de l’actualité ou présentation d’événements sportifs tenus à l’étranger comme les Jeux olympiques). Toutefois, nous faisons preuve de diligence et examinons régulièrement des approches différentes pour réaliser notre production.

La connaissance de nos émissions atmosphériques et l’exploration d’options répondant à nos exigences opérationnelles nous permettent de nous fixer des objectifs réalistes qui aident à diminuer notre impact sur l’environnement, ainsi que de réduire nos déplacements non essentiels.

Déchets non dangereux

Les déchets non dangereux comprennent le papier, le plastique, le verre et le métal, de même que tous les produits d’usage quotidien dont le recyclage ne porte pas atteinte à la santé des personnes et à l’environnement. Nous souhaitons, lorsque cela est possible, détourner les déchets non dangereux des sites d’enfouissement. Autrement dit, nous voulons accroître notre taux de détournement.

Notre taux de détournement en 2013-2014 a légèrement baissé, passant de 66 pour cent à 64 pour cent, selon les relevés des transporteurs de déchets. Il importe de noter que ces statistiques sont calculées en fonction des estimations de poids des transporteurs de déchets et de l’horaire de ramassage. Elles ne tiennent pas compte des efforts déployés en vue de favoriser le détournement des déchets dans le cadre de l’exécution de nos programmes, par exemple le recyclage des plastiques souples, le compostage des matières organiques et le recyclage des boîtes de carton. De plus, certaines initiatives en cours permettent de réduire l’utilisation du papier à CBC/Radio-Canada. De nouvelles technologies comme les outils de communications en ligne aident à améliorer nos processus et à réduire la production de déchets, ce qui influe sur notre taux de détournement. Par exemple, de 2009 à 2013, la quantité totale annuelle de déchets à CBC/Radio-Canada Montréal a diminué de 83 tonnes et de ce total, les déchets recyclés ont représenté 64,4 tonnes (77 pour cent). Cet exemple montre qu’au cours des cinq dernières années, CBC/Radio-Canada Montréal a produit moins de déchets (baisse de 20,6 pour cent) malgré le fait que notre taux de détournement a diminué, passant de 56 à 51 pour cent.

Nous continuons de chercher, dans le cadre de notre programme, des façons de continuer à détourner les matières non dangereuses des sites d’enfouissement. Le Centre de radiodiffusion de Toronto contribue considérablement à nos résultats, grâce à un taux de détournement global de 70 pour cent, pendant que Montréal présente un taux de 51 pour cent sans encore compter sur un programme de collecte des matières organiques.

Ces taux se comparent avantageusement aux objectifs des gouvernements provinciaux, mais nous visons plus haut, à savoir un taux de détournement de 90 pour cent, la meilleure performance rapportée par la BOMA.

Récupération des déchets électroniques et des déchets dangereux

Par « déchets électroniques », on entend les appareils électroniques comme les ordinateurs, les téléviseurs, les radios et les émetteurs. Les déchets dangereux comprennent, entre autres, les piles, l’huile, la peinture dans les immeubles et les solvants industriels.

Nous avons parachevé en 2013-2014 la mise en œuvre du programme de recyclage des déchets électroniques. Déployé dans chacune des grandes villes du pays et rejoignant 98,5 % des employés au 31 mars 2014, le programme a permis de recycler plus de 850 tonnes métriques au cours des cinq dernières années.

Cette année, nous avons récupéré 170,18 tonnes métriques supplémentaires de déchets électroniques, à l’exclusion de ceux de la transmission. Cette quantité, inférieure de 39 pour cent à celle de l’an dernier, témoigne du succès du programme en ce qui touche le retrait de matériel désuet qui demeurait entreposé sur place. De plus, 48,8 tonnes métriques de déchets électroniques et 606,8 tonnes métriques de ferraille ont été recyclées par la division Transmission par suite de la mise hors service des installations de télévision analogique. De ce nombre, 551,5 tonnes métriques de ferraille ont été recyclées en provenance du seul site de Sackville, au Nouveau-Brunswick.

Globalement, ces chiffres démontrent l’avantage continu du programme, qui permet de remettre à neuf ou de recycler le matériel électronique désuet plutôt que de le conserver indéfiniment sur place. Il est à remarquer que ces résultats n’incluent pas l’équipement électronique qui a été redistribué et réutilisé dans d’autres parties de l’organisation.

Dans le cadre du projet de mise hors service du site de Sackville (N.-B.), 1 435 kg d’éclats de peinture au plomb mélangés au sol ont été retirés et convenablement pris en charge. En outre, 93 667 kg de poteaux de bois ont été retirés du site et recyclés.

CBC/Radio-Canada continue de recueillir et de recycler les piles. Au 31 mars 2014, le programme de recyclage des piles a rejoint globalement 89,3 pour cent des employés dans 27 centres de CBC/Radio-Canada à l’échelle du pays. Au total, 3 481 kg de piles ont été recyclés dans le cadre du programme en 2013-2014.

Récupération des déchets dangereux (2013-2014)
Piles
(en kg)
Tubes fluorescents
(en pieds linéaires)
Peinture, colle, huile et autres produits
(en litres)
Déchets électroniques
(en tonnes métriques)
Ferraille des sites de transmission (en kg) BPC
(en kg)
3 481 421 1 594 218,97 651 538,1 82 kg

Rapports

Incidents environnementaux

Les incidents environnementaux à CBC/Radio-Canada vont des rejets d’halocarbures aux déversements de matières dangereuses. Les halocarbures sont des produits chimiques synthétiques utilisés dans les frigorigènes, les agents extincteurs et les solvants, les fumigants et les agents moussants. Classés dans les gaz à effet de serre, les halocarbures contribuent au réchauffement planétaire et à l’appauvrissement de la couche d’ozone stratosphérique.

Entre le 1er avril 2013 et le 31 mars 2014, 36 incidents environnementaux ont été signalés, comparativement à 22 pour l’année financière précédente. Cette hausse est probablement due aux normes élevées de maintenance préventive fixées pour notre équipement. CBC/Radio-Canada a mis en place des processus pour s’assurer que les exigences réglementaires sont respectées. La majorité des 36 incidents signalés ont été détectés lors d’interventions courantes de maintenance ou de vérification des fuites des systèmes.

En 2013-2014, nous avons obtenu les résultats suivants :

  1. 18 incidents ont été classés comme des incidents de niveau 1, c’est-à-dire des incidents pouvant être maîtrisés sur place, dont l’impact environnemental est nul ou mineur, et qui ne dégénèrent pas en situation d’urgence.
  2. 18 incidents ont été classés comme des incidents de niveau 2, c’est-à-dire des incidents nécessitant l’intervention de ressources extérieures et qui pourraient devoir être signalés aux autorités gouvernementales et/ou entraîner l’application des procédures d’escalade interne.
  3. Aucun incident de niveau 3 n’a été signalé. Les incidents de ce niveau doivent être signalés aux autorités gouvernementales et peuvent entraîner l’application des mesures d’urgence.

En 2013-2014, 28 des 36 incidents signalés étaient associés à des déversements ou à des rejets attribuables à la Société. Les six autres ont été attribués à des rejets de tiers sur la propriété de la Société. La majorité (20) étaient des rejets d’halocarbures variant entre 1,05 kg et 95,34 kg. Il n’y a eu aucun rejet dépassant 100 kg, et le plus gros rejet, celui de 95,34 kg, était dû à un robinet d’équipement qui a été remplacé et soumis à une vérification des fuites avant que l’équipement soit rechargé et remis en service. Le rejet a été signalé à Environnement Canada dans les délais prescrits. Il est à noter que, contrairement aux années précédentes, nous avons enregistré une hausse des « autres » types d’incidents, notamment trois déversements d’eau (fuites et inondations) attribuables à des tuyaux gelés en raison du froid intense.

Inspections gouvernementales

Au total, trois inspections gouvernementales ont été menées en 2013-2014 : deux à la division Transmission et une aux Services immobiliers.

Des deux inspections à la division Transmission, la première était une visite de site faite par Environnement Canada pour confirmer qu’un réservoir de stockage de carburant avait été retiré, et la deuxième était une visite de suivi concernant la vente d’un réservoir de stockage.

L’inspection gouvernementale aux installations de télévision et de radio de CBC/Radio-Canada Edmonton (relevant des Services immobiliers) concernait l’application du Règlement fédéral sur les halocarbures. Plus précisément, les agents gouvernementaux ont examiné la documentation sur l’équipement de traitement de l’air et ont été satisfaits de leurs observations.

Pour les trois visites, nous avons répondu à toutes les demandes et aucun avis ou lettre d’avertissement n’a été émis. Avant tout, aucune situation de non-conformité n’a été relevée.

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