Thomas J. Carter

Économiste principal

Thomas Carter est économiste principal au département des Analyses de l’économie canadienne. Il s’intéresse principalement aux domaines de l’économie monétaire et financière. Mr. Carter est titulaire d’un doctorat de l’Université de Princeton.

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Thomas J. Carter

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Dernières parutions

Optimal Interbank Regulation

Document de travail du personnel 2017-48 Thomas J. Carter
Les dernières années ont vu renaître un intérêt pour la réglementation des marchés interbancaires. Une revue de la littérature sur ce sujet souligne deux lacunes. D’abord, la plupart des auteurs se basent sur des hypothèses ad hoc quant à l’univers des contrats du marché interbancaire. Par conséquent, il est difficile de tirer des conclusions convaincantes pour la formulation des politiques.

Redistributive Effects of a Change in the Inflation Target

Note analytique du personnel 2017-13 Robert Amano, Thomas J. Carter, Yaz Terajima
À la lumière de la crise financière et de ses répercussions, plusieurs économistes ont soutenu que les banques centrales appliquant un régime de ciblage de l’inflation devraient revoir le niveau de leur cible d’inflation. Même si le niveau optimal reste à déterminer, il importe de noter que toute transition vers une nouvelle cible comporterait certains coûts.

Comparing Forward Guidance and Neo-Fisherianism as Strategies for Escaping Liquidity Traps

Note analytique du personnel 2016-16 Robert Amano, Thomas J. Carter, Rhys R. Mendes
Quelle trajectoire les banquiers centraux devraient-ils choisir pour le taux nominal lorsqu’ils sont confrontés à une trappe à liquidité qui se produit dans un contexte marqué par la contrainte de la valeur plancher?

A Primer on Neo-Fisherian Economics

Note analytique du personnel 2016-14 Robert Amano, Thomas J. Carter, Rhys R. Mendes
Dans les modèles traditionnels, les banques centrales qui entendent faire augmenter l’inflation doivent abaisser les taux d’intérêt nominaux, ce qui stimule la demande globale. Or, plusieurs économistes ont récemment remis en question cette conception généralement admise, en mettant en avant le point de vue dit « néo-fishérien » selon lequel une hausse des taux nominaux pourrait en fait provoquer une élévation du taux d’inflation.

Inflation and Growth: A New Keynesian Perspective

Document de travail du personnel 2012-23 Robert Amano, Thomas J. Carter, Kevin Moran
La relation à long terme entre la croissance et l’inflation n’a pas encore été étudiée dans le contexte de rigidités nominales des prix et des salaires, même si celles-ci figurent en bonne place dans les principaux modèles macroéconomiques actuels.

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Formation

  • Doctorat en économie, Université Princeton (2016)
  • Maîtrise en économie, Université Princeton (2011)
  • Baccalauréat en économie, Université Queens (2007)

Intérêts de recherche

  • économie monétaire
  • économie financière