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Patrick Masbourian
Tout un matin
Audio fil du jeudi 7 novembre 2019

Raconter la mort simultanée de ses parents pour sensibiliser au don d'organes

Publié le

Un coeur devant des chirurgiens qui font une transplantation.
Le don d'organes est aussi salutaire pour les bénéficiaires que pour les familles des personnes décédées : « On sent que leur mort n'est pas inutile », raconte le fils de deux donneurs.   Photo : getty images/istockphoto / vchal

« Avant le décès de mes parents, c'était une semaine infernale. On compte les journées, on compte les heures... » Jean-François Boucher, dont les parents ont reçu l'aide médicale à mourir simultanément, raconte ce matin son histoire familiale parce qu'il souhaite voir s'implanter le don d'organes obligatoire.

Ça s’est fait en douceur. Il faut reconnaître que l’aide médicale à mourir a ça de particulier : ils font un petit dodo ensemble, mais c’est un dodo pour la vie. C’est un privilège.

Jean-François Boucher, fils des défunts

Jean-François Boucher souhaite sensibiliser la population à la notion de « présomption de consentement ». Selon lui, les autorités devraient considérer qu'une personne consent au don d'organes avant son décès, et ce, jusqu'à preuve du contraire.

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