E22 - Capital; investissement; capacité de production
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What Do Survey Data Tell Us About US Businesses?
La présente étude traite de la fiabilité des données d’enquête sur les revenus, la valeur et les taux de rendement des entreprises, qui sont des données importantes pour étudier les inégalités de richesse et les choix entrepreneuriaux. -
Lending Standards, Productivity and Credit Crunches
Nous proposons un modèle macroéconomique dans lequel l’antisélection dans les investissements amplifie les fluctuations macroéconomiques, ce qui cadre avec le rôle prépondérant qu’ont joué l’étranglement du crédit et l’effondrement du marché des titres adossés à des actifs durant la crise financière. -
Production potentielle au Canada : réévaluation de 2019
La production potentielle devrait afficher une croissance moyenne de 1,8 % de 2019 à 2021 et de 1,9 % en 2022. Même si l’apport du facteur travail tendanciel à la croissance de la production potentielle devrait diminuer entre 2019 et 2022, celui de la productivité tendancielle du travail devrait augmenter. -
Frictional Capital Reallocation I: Ex Ante Heterogeneity
Dans cette étude, nous analysons des modèles dynamiques d’équilibre général où les entreprises font des opérations en capital sur des marchés soumis à des frictions. Les gains liés à ces opérations tiennent à l’hétérogénéité ex ante : certaines entreprises ont de meilleures stratégies d’investissement et accumulent des capitaux sur le marché primaire, tandis que d’autres le font sur le marché secondaire. -
Can Capital Deepening Explain the Global Decline in Labor’s Share?
Nous estimons une élasticité de substitution agrégée entre le capital et le travail qui est près de ou inférieure à l’unité, ce qui signifie que l’intensification du capital ne peut pas expliquer la baisse de la part du revenu attribuable au travail observée à l’échelle mondiale. Notre méthode provient des sentiers de transition du modèle de croissance néoclassique. -
The Role of Corporate Saving over the Business Cycle: Shock Absorber or Amplifier?
Dans la présente étude, nous montrons tout d’abord que les entreprises ont un comportement d’épargne contracyclique, qui varie de façon non monotone avec leur taille. Nous élaborons ensuite un modèle d’équilibre général dynamique et stochastique intégrant des entreprises hétérogènes pour expliquer cette tendance et en étudier l’incidence sur les cycles économiques. -
Disaggregating Household Sensitivity to Monetary Policy by Expenditure Category
Comme la Banque du Canada a commencé à procéder à des relèvements du taux directeur pour réduire la détente monétaire en place, il importera de surveiller la transmission de ces changements de la politique monétaire. Les sous-composantes de la consommation et du logement risquent de réagir différemment à un resserrement de la politique monétaire, tant pour ce qui est des effets globaux que du moment où ces réactions se manifesteront. -
Characterizing Canada’s Export Sector by Industry: A Supply-Side Perspective
Cette note examine l’évolution des facteurs de long terme liés à l’offre dans les secteurs non énergétiques de l’économie canadienne ainsi que ses incidences sur les exportations. Entre 2002 et 2016, le stock de capital et le facteur travail global ont baissé dans de nombreux secteurs exportateurs de biens non énergétiques. Cette évolution des facteurs de production a probablement contribué à la baisse des exportations hors énergie dans environ la moitié des secteurs de biens analysés. -
Production potentielle au Canada : réévaluation de 2018
La présente note résume la réévaluation de la production potentielle à laquelle procède la Banque du Canada et dont les résultats ont été publiés dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril 2018. Globalement, la trajectoire de la croissance de la production potentielle devrait demeurer stable, à 1,8 % entre 2018 et 2020 et à 1,9 % en 2021. -
Credit Crunches from Occasionally Binding Bank Borrowing Constraints
Nous présentons un modèle dans lequel les banques et les autres intermédiaires financiers font parfois face à des conditions d’emprunt contraignantes et à des coûts d’émission d’actions. Près de l’état stationnaire, ces intermédiaires peuvent obtenir du financement par émission d’actions à coût nul, au moyen des bénéfices non répartis.