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Les peuples autochtones du Canada sont les Premières Nations, les Inuits et les Métis.

Plusieurs centaines de nations autochtones sont présentes au Canada depuis plusieurs milliers d'années, faisant vivre autant de sociétés, cultures, langues, spiritualités. La culture métis est issue des rencontres au XVIIe siècle entre les Premières Nations et les Inuits avec des colons européens.

Différents traités et lois fixent les statuts des Autochtones et leurs relations avec les gouvernements du Canada. Le droit à l'autonomie gouvernementale permet à des groupes autochtones de disposer de leurs propres gouvernements afin d'exercer certaines compétences et protéger leurs cultures et modes de vie.

Selon le recensement de 2011, il y aurait plus d'un million de Canadiens autochtones, soit 4 % de la population. Parmi eux, 64 % font partie des Premières Nations, 30 % sont métis et 4 % inuits.

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  Lumière sur…
Fort Resolution.

Les pensionnats autochtones ou écoles résidentielles étaient des établissement d'enseignement public en internat destiné aux Premières Nations du Canada. Ces institutions étaient destinées à scolariser, évangéliser et assimiler les enfants autochtones.

Au cours du XXe siècle, le ministère des Affaires indiennes encouragea les internats pour autochtones afin de favoriser leur assimilation. Cette pratique, qui séparait les enfants de leur famille, a été décrite comme un génocide culturel ou le fait de « tuer l'indien dans l'enfant ». Ces pensionnats ont existé des années 1820 jusqu'aux années 1990, le dernier ayant fermé ses portes en 1996.

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  Une personnalité marquante
Louis Riel

Louis « David » Riel (22 octobre 184416 novembre 1885) était un homme politique canadien, chef du peuple métis dans les Prairies canadiennes et fondateur de la province du Manitoba. Il a dirigé deux mouvements de résistance contre le gouvernement canadien dans le but de protéger les droits et la culture des Métis alors que l'influence canadienne se faisait de plus en plus sentir dans les Territoires du Nord-Ouest.

La première révolte est la rébellion de la rivière Rouge de 1869 à 1870. Le gouvernement provisoire établi par Louis Riel négocie finalement l'entrée de la province du Manitoba dans la Confédération canadienne. Celui-ci doit s'exiler aux États-Unis en raison de l'exécution de Thomas Scott pendant ces événements, malgré cela il est largement considéré comme le « Père du Manitoba ». Durant cette période, il est élu à trois reprises à la Chambre des communes du Canada, bien qu'il n'ait jamais pu occuper son siège. C'est là qu'il commence à souffrir de troubles mentaux par intermittences, notamment d'illusions mystiques lui dictant qu'il était prophète de son peuple et le fondateur d'une nouvelle chrétienté. Cette conviction réapparaît plus tard dans sa vie, et influence très probablement son action.

Louis Riel revient en 1884 dans l'actuelle Saskatchewan pour présenter les doléances du peuple métis au gouvernement du Canada. Cette résistance dégénère en confrontation armée connue sous le nom de rébellion du Nord-Ouest de 1885. Celle-ci est écrasée et se conclut par l'arrestation, le procès puis l'exécution de Riel pour trahison. Jouissant d'un certain capital de sympathie dans les régions francophones du Canada, sa mort a des répercussions durables sur les relations entre la province du Québec et le Canada anglophone.

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  Histoire
Médaille commémorant la signature des traités 3 à 7.
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  Gouvernement et politique
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  Une image…
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  Une communauté autochtone

Tasiujaq est un village nordique du Nunavik situé au bord de la rivière aux Feuilles formant un lac conduisant à la baie aux Feuilles, elle même située sur la baie d'Ungava.

Le toponyme du village signifie « Qui ressemble à un lac ».

En 1905 la compagnie de fourrures Révillon Frères, puis en 1907 la Compagnie de la Baie d'Hudson installèrent successivement leur poste de traite de la fourrure au bout d'une piste de chien de traineau traditionnellement connue des Inuits. Ils ont fermé tous les deux leurs portes en 1935.

En 1963, le gouvernement québécois décide de créer un village sur la rive sud du lac aux Feuilles, où les ressources fauniques étaient plus abondantes qu'à Kuujjuaq.

En 1966, les Inuits eurent à choisir l'implantation du futur village. Deux sites étaient envisagés : l'endroit nommé « Qaamanialuk Paanga » et l'ancien emplacement des postes de commerce de la fourrure. Ils ont finalement choisi Qaamanialuk Paanga parce qu'il est facilement accessible depuis la mer, qu'il y a l'eau potable de la rivière Bérard à proximité et qu'il y a un espace suffisant pour construire une piste d'atterrissage.

La région est riche en bœufs musqués, caribous, phoques, bélugas, saumons de l'Atlantique, faucons gerfauts, faucons pèlerins, bernaches du Canada et oiseaux de mer.

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  Carte
Carte du Canada
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  Portails connexes
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