J’ai le plaisir de présenter au Parlement le
Rapport
sur le rendement
de l’Agence canadienne d’inspection
des aliments (ACIA) pour la période allant du 1er avril
2004 au 31 mars 2005.
En mai 2005, l’Agence a reçu, du Secrétariat du Conseil
du Trésor (SCT), l’autorisation de fusionner son rapport annuel
avec celui sur le
rendement (décret 05-929). Comme l’information
contenue dans le rapport premier sera comprise dans le second, elle sera
désormais entièrement divulguée au Parlement.
L’Agence a traversé une période riche à la
fois en défis à relever et en réalisations, alors
qu’elle remplissait son mandat axé sur la sauvegarde de l’approvisionnement
alimentaire au Canada et sur la protection de la santé des animaux
et de nos ressources culturales et forestières.
Entre autres enjeux, on compte la découverte de deux nouveaux cas
d’encéphalopathie spongiforme bovine au Canada. Cependant,
en raison de la confiance générale envers les mesures de
lutte avancées de l’ACIA, le Canada a repris l’accès
partiel ou total de 17 marchés internationaux d’animaux vivants
et de produits carnés depuis le premier cas découvert au
pays en
2003. De plus, en juillet 2005, les États-Unis
ont emboîté le pas en ouvrant eux aussi leur frontière
aux bovins vivants. L’ACIA a aussi relevé d’autres défis,
notamment en tentant d’enrayer l’agrile du frêne et en
prenant de vastes mesures pour stopper la propagation d’autres
insectes envahisseurs, comme le longicorne asiatique.
Pendant la période visée, les Canadiens et Canadiennes ont
continué
à témoigner leur confiance dans le programme
de salubrité des aliments et dans les mesures zoosanitaires et phytosanitaires à l’appui
de celui-ci. Cela s’explique en grande partie par la rigueur et l’efficacité des
interventions de l’organisme dans ces dossiers et par l’ouverture
et la transparence dont a fait preuve l’Agence pour expliquer ses
procédés et ses méthodes.
Pendant tout ce temps, l’ACIA a
aussi maintenu un régime
de réglementation efficace fondé sur des partenariats avec
les autres agences et ministères fédéraux, les gouvernements
provinciaux et territoriaux, les producteurs, transformateurs et distributeurs
d’aliments, les professionnels de la santé et les consommateurs.
Ces partenariats ont donné naissance à un solide régime
de gouvernance réglementaire — un régime fondé sur
la
capacité d’inspection et d’application de la loi
de l’ACIA.
Le Canada est renommé dans le monde entier pour la qualité supérieure
et la salubrité de ses produits alimentaires et agricoles. Dans
une large mesure, cette renommée repose sur un régime de
surveillance réglementaire scientifique et efficace. L’Agence
s’efforce de protéger la santé des Canadiennes et des
Canadiens et à préserver nos
ressources agricoles et forestières.
Sa capacité de relever les défis dans ce contexte a été éprouvée
et démontrée.
L’ensemble des Canadiens bénéficieront des services
de l’Agence canadienne d’inspection des aliments. En ma qualité de
ministre responsable, je m’engage à tabler sur l’excellente
renommée de l’ACIA comme organisme de réglementation
des aliments, des
animaux et des végétaux, dont les décisions
réglementaires reposent sur des connaissances scientifiques de pointe.
L’honorable Andy Mitchell, CP, député
Ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire
À titre de nouveau président, je suis heureux de présenter
le
Rapport sur le rendement
de
l’Agence canadienne d’inspection
des aliments (ACIA) couvrant la période du 1er avril 2004 au 31 mars
2005.
Au cours de la dernière année, l’ACIA a connu d’importants
défis et réussites. En raison de la hausse de la demande
de services, l’ACIA demeure déterminée à remplir
son mandat qui consiste à préserver le caractère sûr
de la filière alimentaire canadienne,
ainsi que les ressources végétales
et animales sur lesquelles reposent la salubrité et la grande qualité des
aliments.
La salubrité des aliments est et continue d’être la
priorité absolue de l’ACIA. En se fondant sur ces principes,
l’ACIA a réussi, grâce à la collaboration du
secteur alimentaire, à améliorer et à maintenir la
conformité dans les domaines réglementés par
l’Agence.
L’ACIA a poursuivi ses efforts en vue de limiter la propagation
de l’encéphalothie spongiforme bovine (ESB) au moyen de mesures
visant à réduire le risque de transmission de la maladie,
en augmentant la surveillance et faisant subir des tests de dépistage
aux bovins à risque. L’ACIA a donc surpassé ses objectifs
relativement aux tests de surveillance. De plus, un certain nombre de pays
ont examiné le statut du Canada
à l’égard de
l’ESB et on déterminé qu’il correspond à la
règle sur le risque minimal établie par l’Organisation
mondiale de la santé des animaux.
L’Agence a également pris des mesures pour mettre à jour
un certain nombre de règlements en vue d’améliorer
sa capacité et son efficacité conformément à la
Stratégie sur la réglementation intelligente du
gouvernement
du Canada. L’ACIA continue de collaborer étroitement avec
d’autres ministères et organismes fédéraux et
provinciaux, ainsi qu’avec des partenaires internationaux, des producteurs,
des dirigeants d’entreprise de transformation et de distribution
d’aliments, des professionnels de la santé et des consommateurs.
Grâce à ces partenariats, l’Agence aussi a résolu
un certain nombre de questions
bilatérales et multilatérales
En se fondant sur ses programmes de surveillance et de contrôle
visant à prévenir l’entrée et la dissémination
de maladies végétales et animales, l’ACIA n’a
trouvé aucune preuve que des nouvelles maladies sont effectivement
entrées au Canada et qu’elles se sont propagées. L’Agence
a fait preuve d’efficacité en contrôlant la dissémination
de certaines
maladies et ravageurs établis.
En ce qui concerne la planification des mesures d’urgence, l’ACIA
continue à mener un certain nombre de projets spéciaux et
participe à des activités de façon permanente en
vue de maintenir et d’améliorer sa capacité à répondre
rapidement et efficacement à une situation d’urgence. Tout
au long de l’année, l’ACIA a examiné comment
elle a
géré la situation d’urgence créée
par la flambée d’influenza aviaire de 2003-2004, et a appris
de précieuses leçons qui l’aideront à se préparer
aux situations d’urgence qui pourraient survenir à l’avenir.
L’ACIA peut être fière du travail accompli durant cette
période. J’ai très hâte de diriger cette équipe
qui fait preuve de dévouement, de
compétence et de professionnalisme
dans la prestation de services à la population du Canada.
François Guimont
Président
Mandat de l’ACIA
L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a pour
mandat de protéger l’approvisionnement alimentaire, les animaux
et les végétaux du Canada dont dépendent la
salubrité et
la qualité supérieure des aliments.
En s’acquittant de ce mandat, l’ACIA s’engage à servir
les Canadiens en assurant une protection contre les risques évitables
pour la santé, en fournissant un régime de réglementation équitable
et efficace, en préservant les ressources animales et végétales,
en faisant la promotion de la sécurité de l’approvisionnement
alimentaire et des
ressources forestières et agricoles du Canada,
et en gérant ses activités.
L’ACIA est le plus grand organisme de réglementation canadien à vocation
scientifique. Elle obtient régulièrement la rétroaction
et l’avis de spécialistes scientifiques à l’interne
et à l’externe lorsqu’elle élabore, examine et
améliore les règlements, les normes internationales ainsi
que les
politiques et programmes portant sur l’inspection, les analyses
et les interventions en cas d’urgence.
L’ACIA est tenue d’administrer ou d’appliquer 13 lois
fédérales et leurs règlements d’application.
Grâce aux inspections et à d’autres services connexes – notamment
l’inspection des usines de transformation et de production, la certification
des exportations et le contrôle des importations –,
l’Agence élabore
des politiques sur les facteurs de production agricole et la santé animale
et végétale, en plus de vérifier et d’assurer
la conformité aux 13 lois et règlements connexes. Les pouvoirs
de réglementation de l’ACIA s’étendent à l’agriculture, à l’agroalimentaire,
aux poissons, aux fruits de mer, à l’horticulture et à la
foresterie. L’Agence inspecte ou certifie
les produits, depuis les
facteurs de production agricole (comme les semences, les aliments du bétail
et les engrais) jusqu’aux animaux, aux végétaux et
aux aliments. Les aliments incluent la viande, le poisson, les œufs,
les produits laitiers, les fruits et légumes, ainsi que les aliments
transformés et emballés.
Le cadre légal de l’ACIA est
composé des
lois suivantes :
-
Loi sur les sanctions administratives pécuniaires
en matière d'agriculture et d'agroalimentaire
-
Loi sur les produits agricoles au Canada
-
Loi sur l'Agence canadienne d'inspection des aliments
-
Loi sur l'emballage et l'étiquetage des produits
de consommation
*
-
Loi relative aux aliments du bétail
-
Loi sur les engrais
-
Loi
sur l'inspection du poisson
-
Loi sur les aliments et drogues*
-
Loi sur la santé des animaux
-
Loi sur l'inspection des viandes
-
Loi sur la protection des obtentions végétales
-
Loi sur la protection des végétaux
-
Loi sur les semences
* Pour ce qui est des aliments
|
L’ACIA travaille en étroite collaboration avec
d’autres
organismes. Ces derniers ont tous la responsabilité d’établir
ou de faire observer des normes qui appuient l’intégrité des
systèmes canadiens
de protection de la salubrité des aliments et de la santé des
animaux et des végétaux. Plus précisément,
ses partenaires englobent des administrations provinciales, territoriales
et municipales et d’autres ministères fédéraux.
Par
exemple, dans le domaine de la salubrité des aliments, Santé Canada
et l’ACIA partagent des rôles et des responsabilités
uniques et complémentaires. Le ministre de la Santé est tenu
d’établir des politiques et des normes ayant trait à la
salubrité et à la qualité nutritionnelle des aliments
vendus au Canada et d’évaluer l’efficacité des
activités menées par l’Agence dans le domaine
de la
salubrité des aliments. L’ACIA est responsable de toutes les
activités d’inspection des aliments, de conformité et
d’application de la loi, ainsi que de l’élaboration
de règlements et de politiques ayant trait à l’étiquetage
des aliments et de normes visant les aliments.
Les principaux partenaires fédéraux de
l’ACIA
sont entre autres :
-
Santé Canada
-
Agriculture et Agroalimentaire Canada
-
Agence de santé publique du Canada
-
Sécurité publique et Protection civile Canada,
entre autres :
-
Agence des services frontaliers du Canada
-
Protection des infrastructures essentielles et Protection
civile
-
Pêches et Océans Canada
-
Ressources naturelles Canada, entre autres :
-
Service canadien
des forêts
-
Affaires étrangères Canada
-
Commerce international Canada
-
Environnement Canada, entre autres :
-
Service canadien de la faune
-
Agence du revenu du Canada
-
Commission canadienne des grains
|
L’ACIA travaille également en étroite collaboration
avec les industries qu’elle réglemente et avec des associations
représentant notamment les
consommateurs ou des intérêts
environnementaux ou s’occupant de la santé publique ou de
la protection des animaux. Enfin, l’Agence est à la tête
de plusieurs ententes internationales et organismes internationaux de normalisation
ainsi que d’ententes à l’appui des objectifs de réglementation
du Canada, ou y participe.
Appui aux priorités du gouvernement
Pour mener à bien son mandat, l’ACIA a
établi cinq
objectifs stratégiques, qui sont énoncés dans son
Plan
d’entreprise 2003-2008
. Le tableau ci-après explique
la contribution directe de chaque objectif aux priorités du gouvernement.
Tableau 1.1
Contributions de l’ACIA aux priorités du gouvernement
du Canada
|
Priorités du gouvernement du Canada
1
|
Contribution de l’ACIA
|
|
-
Protéger les Canadiens contre les risques évitables
pour la santé
|
|
-
Établir un régime de réglementation équitable
et efficace
|
-
Protection de l’environnement
|
-
Assurer la durabilité des ressources animales et
végétales
|
|
-
Promouvoir la sécurité de l’approvisionnement
alimentaire et des ressources agricoles du Canada
|
|
-
Assurer une saine gestion de l’Agence
|
1
Source des priorités
du gouvernement du Canada :
Rendement du Canada, Rapport annuel, 2003-2004
.
Structure de la haute direction de l’ACIA
Un président, qui est le premier dirigeant de l’Agence, se
trouve à la tête de l’ACIA. Ce dernier supervise et
dirige le travail et le personnel de l’Agence. Il relève du
ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire. Un premier
vice-président
épaule le président dans son rôle.
Deux vice-présidents sont responsables de l’exécution
des programmes de l’Agence.
-
Le vice-président, Sciences, appuie les objectifs administratifs
de l’ACIA grâce aux travaux scientifiques effectués
en laboratoire, aux évaluations du risque, au développement
de technologie et à la recherche.
-
Le vice-président, Opérations, est tenu
d’administrer
et de mettre en application les diverses lois et les divers règlements
de l’Agence.
Trois autres vice-présidents, cinq directeurs exécutifs
et un agent vétérinaire en chef offrent un appui stratégique
et interne à l’exécution du mandat de l’Agence.
Ils assument des fonctions comme l’élaboration de politiques
et la conception de programmes, les ressources humaines, les services
intégrés,
les services juridiques, la protection civile, la coordination parlementaire
et réglementaire, les affaires internationales, la planification,
les rapports et la responsabilisation, et les affaires publiques.
L’effectif de l’ACIA
Quelque 5 900 professionnels spécialisés travaillent
pour l’Agence aux quatre coins du pays et occupent un large éventail
de postes scientifiques, techniques, opérationnels et
administratifs.
Le personnel de l’Agence mène les activités suivantes : évaluation
du risque, gestion du risque, élaboration de politiques, dépistages,
et discussions et négociations internationales, certification, inspection
d’établissements et de produits, échantillonnage,
surveillance et vérification, suivi, avertissements, rétentions,
saisies, rappels et autres activités de conformité connexes.
Le personnel
de l’Agence est en première ligne lorsqu’il
intervient dans les cas d’urgence qui relèvent du mandat de
l’Agence – par exemple, un foyer d’influenza aviaire
et d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB).
L’
ACIA
a son siège dans la région
de la Capitale nationale et compte quatre secteurs opérationnels
(l’Atlantique, le Québec, l’Ontario et l’Ouest),
subdivisés
en 18 bureaux régionaux présentés
sur la carte ci-après. Elle exploite également 151 bureaux
locaux et gère 14 laboratoires et établissements de recherche.
L’Agence compte également des employés qui effectuent
ce travail dans sept installations gérées par d’autres
ministères où les employés fournissent des conseils
scientifiques et des services d’analyse, mettent au point de
nouvelles
technologies et effectuent de la recherche.
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La capacité de l’Agence de
réaliser ses résultats
stratégiques dépend grandement de son aptitude à reconnaître, à gérer
et à atténuer les risques. Le processus de planification
de l’ACIA a permis de relever les risques et défis clés
et de préparer un plan qui a été présenté au
Parlement dans son
Rapport sur les plans et les priorités de
2004-2005
(RPP). Le présent rapport sur le rendement repose
sur le RPP de 2004-2005. Il présente le rendement de l’Agence
par rapport aux principaux risques. Le rendement est analysé par
résultat stratégique. Pour chaque résultat, on détermine
les principaux risques. Le tableau ci-dessous présente un résumé des
principaux risques et des mesures prises pour les atténuer.
Tableau 1.2
Principaux risques et mesures d’atténuation
|
Principal risque
|
Mesures d’atténuation prises en
2004-2005
|
Pour obtenir de plus amples renseignements,
se reporter à la section :
|
Maladies d’origine alimentaire
|
Les
programmes de l’ACIA ont visé à réduire
la menace de maladies d’origine alimentaire. Les programmes
d’inspection ont contribué à la conformité de
l’industrie aux lois et à la réglementation fédérales
et ont fait la promotion de pratiques de gestion du risque axées
sur des données scientifiques ainsi que de programmes visant à informer
le public des mesures et des risques pour la salubrité
des
aliments. Des activités de rappel ont permis de limiter davantage
le risque d’insalubrité des aliments pour les consommateurs.
|
2.3.1a
|
Apparition et propagation de maladies animales affectant
l’être humain (zoonoses)
|
Les programmes de l’ACIA ont contribué à éliminer
ou à freiner la propagation de maladies
animales aux êtres
humains.
|
2.3.1b
|
Cadre législatif national désuet
|
L’ACIA a aidé le Ministre à déposer
des lois et règlements actualisés au Parlement.
|
2.3.2b
|
Non-harmonisation des règlements internationaux
fondés sur des principes scientifiques
|
L’Agence a appuyé l’élaboration
de règles et de normes internationales en apportant son concours
aux organismes de normalisation internationaux.
|
2.3.2a
|
Entrée et propagation de parasites
et de maladies des végétaux et des animaux réglementés
portant atteinte
aux ressources
|
L’Agence a travaillé à la lutte
contre l’entrée et la propagation de maladies et de
parasites animaux et végétaux visés par un règlement
et a contribué à la conformité de l’industrie
aux lois et règlements fédéraux.
|
2.3.3a
et
2.3.3b
|
Bio-terrorisme
|
L’ACIA a réalisé des progrès
en assurant un état de préparation; et elle a amélioré sa
capacité d’intervenir efficacement et rapidement en
cas d’urgence.
|
2.3.4a
et
2.3.4b
|
La demande de services nouveaux et améliorés
peut
dépasser la capacité de l’Agence.
|
L’Agence s’est efforcée de répondre
aux demandes de nouveaux services, en particulier dans le secteur
de l’exportation.
|
2.3.5c
|
Information inadéquate sur le rendement
|
L’Agence a amélioré sa capacité de
mesure du rendement, ce qui
contribue à une gestion efficace
des programmes et à une amélioration de la reddition
de comptes.
|
2.3.5a
|
Ressources financières et humaines qui ne
correspondent pas aux besoins.
|
L’ACIA s’est efforcée de gérer
les ressources peu abondantes et d’accroître et d’améliorer
son effectif.
|
2.3.5b
et
2.3.5d
|
Conception de programmes
|
L’Agence a investi dans la recherche afin
d’élaborer des méthodes d’analyse et a
modifié les programmes pour faire face aux risques changeants
et s’adapter aux progrès scientifiques.
|
2.3.2a
|
L’information ci-dessous donne un aperçu des ressources financières
et des dépenses de l’Agence en 2004-2005. Ces renseignements
sont tirés des systèmes financiers de l’ACIA.
Tableau
1.3
Ressources financières
|
Dépenses prévues
(millions de dollars)
|
Total des autorisations
(millions de dollars)
|
Dépenses réelles
(millions de dollars)
|
521,1 $
|
595,8 $
|
560,4 $
|
Tableau 1.4
Ressources humaines en équivalents temps plein (ETP)
|
Prévues
(ETP)
|
Total des autorisations
(ETP)
|
Réelles
(ETP)
|
6 124
|
5 993
|
5 518
|
Tableau 1.5
Sommaire du rendement par rapport aux résultats stratégiques,
aux priorités et aux engagements du Ministère
2
|
Résultat stratégique
|
Dépenses prévues (millions
de dollars)
|
Dépenses réelles
(millions de dollars)
|
Pour obtenir de plus amples
renseignements, voir la section :
|
Protéger les Canadiens contre les risques évitables
pour la
santé ayant trait à la salubrité des
aliments ou à la transmission de maladies animales aux humains
|
223,8
|
254,6
|
2.3.1a
|
Établir un régime réglementaire équitable
et efficace
|
137,4
|
138,8
|
2.3.2a
|
Assurer la durabilité des ressources animales
et végétales
|
128,4
|
136,7
|
2.3.3a
|
Promouvoir la sécurité de l’approvisionnement
alimentaire et des ressources agricoles du Canada
|
31,5
|
30,3
|
2.3.4a
|
2
Toutes les priorités
renferment les volets des initiatives actuelles et des initiatives spéciales.
Il est fait état des progrès réalisés dans chaque
section portant sur la priorité. Les ressources attribuables au
résultat
stratégique « Assurer une saine gestion de l’Agence » ont été allouées
au prorata aux quatre autres résultats stratégiques de l’Agence.
Tableau 1.6
Tableau de concordance financière entre l’architecture
des activités de rendement (résultats stratégiques)
et les secteurs d’activité antérieurs
|
|
Secteurs d’activité
|
Salubrité des
aliments
|
Santé animale
|
Santé végétale
|
Total
|
Résultat stratégique
|
Protéger les Canadiens contre
les risques évitables
pour la santé ayant trait à la salubrité des
aliments ou à la transmission de maladies animales aux êtres
humains
|
(millions de dollars)
|
Budget principal des dépenses
|
213,4
|
10,4
|
0,0
|
223,8
|
Dépenses prévues
|
213,4
|
10,4
|
0,0
|
223,8
|
Total des autorisations
|
244,2
|
11,0
|
0,0
|
255,2
|
Dépenses réelles
|
246,8
|
7,8
|
0,0
|
254,6
|
Établir un régime réglementaire équitable
et efficace
|
(millions de dollars)
|
Budget principal des dépenses
|
87,2
|
20,9
|
29,4
|
137,5
|
Dépenses prévues
|
87,2
|
17,8
|
32,4
|
137,4
|
Total des autorisations
|
99,7
|
22,3
|
26,8
|
148,8
|
Dépenses réelles
|
100,8
|
15,7
|
22,3
|
138,8
|
Assurer la durabilité des ressources
animales et végétales
|
(millions de dollars)
|
Budget principal des dépenses
|
0,0
|
54,2
|
30,7
|
84,9
|
Dépenses prévues
|
0,0
|
94,6
|
33,8
|
128,4
|
Total des autorisations
|
0,0
|
126,5
|
31,9
|
158,4
|
Dépenses réelles
|
0,0
|
109,5
|
27,2
|
136,7
|
Promouvoir la sécurité de l’approvisionnement
alimentaire et des ressources agricoles du Canada
|
(millions de dollars)
|
Budget principal des dépenses
|
17,6
|
8,4
|
4,7
|
30,7
|
Dépenses prévues
|
18,0
|
8,7
|
4,8
|
31,5
|
Total des autorisations
|
20,1
|
9,1
|
4,2
|
33,4
|
Dépenses réelles
|
20,3
|
6,4
|
3,6
|
30,3
|
TOTAL
|
(millions de dollars)
|
Budget principal des dépenses
|
318,2
|
93,9
|
64,8
|
476,9
|
Dépenses prévues
|
318,6
|
131,5
|
71,0
|
521,1
|
Total des autorisations
|
364,0
|
168,9
|
62,9
|
595,8
|
Dépenses réelles
|
367,9
|
139,4
|
53,1
|
560,4
|
Nota
: Les ressources attribuables
au résultat stratégique « Assurer une saine
gestion de l’Agence » ont été allouées
au prorata aux quatre autres résultats stratégiques
de
l’Agence.
|
|